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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abandon et maltraitance image

lévriers

Publié à 08:33 par fandeloup Tags : chiens bonne mort
lévriers

Chaque année au Royaume Uni dizaines de milliers de lévriers sont soit couru à la mort ou tué aux mains de l' industrie des courses de lévriers. On estime que près de 10.000 lévriers sont tués avant même qu'ils font sur la piste comme ils ne sont pas "assez bon" pour la course. Quand ils ne font finalement sur la piste il est estimé que plus de 10% font la course avec blesse comme des déchirures musculaires ou arthritiques. Beaucoup de chiens prennent leur retraite à un âge très précoce, très peu réussissent à trouver une bonne maison par la suite. Au lieu de nombreux chiens sont abandonnés ou tués soit. La seule façon dont nous pouvons aider à arrêter c'est de boycotter toutes les courses de lévriers.

abandon

Publié à 14:46 par fandeloup Tags : animal animaux voiture
abandon

Tiens, pourquoi pars-tu en courant après m'avoir lancé un bâton en pleine forêt ? Pourquoi te précipites-tu dans ta voiture? Pourquoi démarres-tu en trombe ?Sait-tu que tu me condamne

Nous connaissons tous la réponse à ces questions. Cet animal fait parti des 60 000 animaux abandonnés chaque été. Ensemble, mobilisons-nous pour un été sans victime !

mail

Publié à 14:22 par fandeloup Tags : article photo moi merci histoire france animaux chien amis
mail

PARTICIPEZ A LA CYBERACTION : Vivisection:

les IDIOTS UTILES demandent l'annulation du PETIT DEJEUNER DE LA HONTE Le restaurant parisien "AU CHIEN QUI FUME" accueille le 28 juin prochain un petit déjeuner de vivisecteurs :

http://www.ajspi.com/activites/invitations/petit-dejeuner-le-28-juin-8h30-experimentation-animale-ce-qui-va-changer

Dans un lieu clairement choisi pour son nom (AU CHIEN QUI FUME...) avec un cynisme des plus écoeurants, et totalement méprisant à l'égard des animaux et de leurs défenseurs, confortablement installés autour d'un café-croissant, des vivisecteurs - parmi lesquels leur gourou en personne, Mr Lachapelle, directeur du bureau expérimentation animale de l'INSERM - vont expliquer à la presse que les cages seront désormais plus grandes dans les labos, en application des nouvelles réglementations.

Bref, que du bonheur en perspective pour les animaux, afin qu'on foute la paix aux vivisecteurs qui oeuvrent pour le bien de l'humanité, comme chacun sait.

Les "Idiots Utiles", C'EST VOUS, C'EST MOI, ce sont TOUS LES HUMAINS opposés à cette fraude scientifique qu'est la vivisection qui se fait désormais appeler sous le terme pompeux de "recherche animale", histoire de plonger définitivement dans le coma la population déjà largement anesthésiée.

Merci à Mr Lachapelle lui-même qui a qualifié les opposants à la vivisection d'Idiots Utiles :

http://www.lemauricien.com/article/interview-lexperimentation-animale-mal-necessaire-declare-dr-francois-lachapelle Les Idiots Utiles, qui s'étaient déjà manifestés à Montpellier en octobre dernier à l'occasion d'un congrès de vivisecteurs (toujours en présence de Mr Lachapelle) :

http://www.stop-animaux-labos.org/info/idiots-utiles-experimentation-animale/ , ont décidé de répondre à cette nouvelle provocation en s'adressant directement à la Direction du restaurant AU CHIEN QUI FUME pour leur demander d' ANNULER CE PETIT DEJEUNER DE LA HONTE. ------------------------------- IDIOTS UTILES QUE NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS, R E A G I S S O N S ! ------------------------------- ==>

ENVOYONS UN MAIL même très court au restaurant AU CHIEN QUI FUME ! (voir coordonnées ci-dessous)

ATTENTION ! Merci DE RESTER POLIS DANS VOS PROPOS ! N'oublions pas de signer "Un Idiot Utile" (et joignons à votre mail une photo ou un lien vers une vidéo de vivisection, il y en a plein sur Youtube...)

Nous pouvons aussi copier/coller ceci sur la page Facebook du restaurant : https://www.facebook.com/auchienquifume : "AU CHIEN QUI FUME collabo des vivisecteurs et de leur cruauté" 

Coordonnées du restaurant AU CHIEN QUI FUME----------- 33, rue du Pont- Neuf, 75001 Paris, France Métro : Châtelet - Les Halles Email : auchienquifume@wanadoo.fr ==>

REJOIGNEZ L'EVENEMENT ET INVITEZ Y VOS AMIS: https://www.facebook.com/events/134201446786171/ MOBILISEZ-VOUS ! ET PARTAGEZ ! Merci.

maltraitance

Publié à 09:31 par fandeloup Tags : animal merci
maltraitance

"BAAS GALGO" ont dénoncé la pratique de la pendaison de Galgos (lévriers) dans la municipalité de Toledo (Toledo).

Plus de quatre ans avec plusieurs plaintes déposées, et aucun procès en cours, rien n'a changé. Hier, de nouveaux cadavres pendus de Galgos sont apparus dans Fuensalida (Toledo), et nous sommes pleinement conscients qu'il ya encore plus d'être trouvé.

Nous appelons les autorités compétentes de Toledo, SEPRONA et du Conseil des Communautés de Castilla La Mancha pour enquêter, poursuivre et punir toutes les ressources que la loi donne à ceux qui sont coupables de tels délits de maltraitance animale, des délits sanctionnés pénalement dans notre pénal code.

Nous appelons tous les bons citoyens, qui savent ou sont au courant de ces faits, pour dénoncer et mettre fin une fois pour toute cette torture cruelle, qui se reproduit année après année, surtout avec l'impunité absolue. Nous vous demandons d'aider le Galgo espagnol, et se joindre à notre lutte Merci!

"SAD"> UNIS CONTRE LA CRUAUTÉ ANIMALE ~ UNIDOS CONTRE LA Crueldad ANIMAL@www.facebook.com / ShameOfSpain

seulement

Publié à 13:11 par fandeloup
seulement

L’homme croit quelquefois qu’il a été créé pour dominer, pour diriger. Mais il se trompe. Il fait seulement partie du tout. L’homme n’a ni pouvoirs, ni privilèges, seulement des responsabilités.

abandon

Publié à 11:02 par fandeloup Tags : animal amis
abandon

Depuis ce jour, chaque matin j'ai peur des éventuels coups que je vais me recevoir dans la journée. Depuis ce jour, chaque matin j'ai peur de finir tout seul sur la route ou au milieu d'une forêt dans la journée. Depuis ce jour, chaque matin j'ai peur de ne plus être aimé dans la journée. De quel jour je parle ? Je parle du jour où mon ancien propriétaire à commencer à me haïr, à me maltraiter puis à m'abandonner. Je suis choqué et je resterai choqué.. Un animal n'oublie jamais ses amis certes mais aussi ses ennemis, sachez-le !

aimer

Publié à 19:15 par fandeloup Tags : aimer
aimer

On ne commence vraiment à aimer que lorsqu'on a moins peur, qu'on n'a rien à défendre

stop

Publié à 18:36 par fandeloup Tags : animaux
stop

Défendons les animaux des injustices crées par les hommes et soutenons notre Planète

adopter

adopter

Lettre d'un galgo Je suis un galgo et je vis en Espagne. J’ai un maître qui s’occupe de moi... Ça fait des jours et des lunes que mon maître m’a traîné dans un box. Il fait noir, je peux à peine me tourner et me lever. J’ai faim et soif, alors je dors. Je dors sur mes excréments ; ça pue à m’en étouffer ! Mais voici la lumière qui m'aveugle, l’air frais rentre doucement dans mes poumons, mon maître me prend par la peau du cou. Ma mère me portait ainsi lorsque j’étais un chiot ; j’ai grandi, aujourd'hui, et ça me fait mal. Je vois ma mère attachée à sa corde. Elle en a fait tant de bébés, qu'elle en a les tétines qui pendent. Mon maître me pose au sol devant la voiture. Comme à son habitude, il me salue à coups de bottes et me jette dans la voiture. Ca fait mal ! Je tremble. Il me regarde et rit ! On prend une route que je connais. Les virages me font perdre ma place. Je me retrouve sur le sol de la voiture et mes douleurs sont amplifiées par les chocs de la route. Ca me fait mal sur tout le corps. Il sort de la voiture ; j’entends d’autres hommes et des chiens. J’entends, aussi, les oiseaux. Ça sent bon la campagne et l’odeur de la viande rôtie sous des flammes. J’ai faim ! Très faim ! Mon maître me sort, enfin, de la voiture, toujours par la peau du cou. Je vois des chiens, je les connais, mais me souviens que quand nous sommes ensemble, ça se finit toujours mal. Je n’ai pas le temps de penser, mon maître prend une corde qu’il attache au fil de fer qui me sert de collier. Il serre fort. Très fort ! Je peux voir d’où vient cette odeur de viande qui me donne des crampes d’estomac. C’est étrange, cette viande a la morphologie d’un chien comme moi... Mais pas le temps de réfléchir, je me retrouve aligné comme les autres et nos maîtres qui nous serrent le cou. Ils sont comme moi, ces chiens, ils ont peur et faim ! Il y en a même qui tombent au sol... Leur maître tire et tire sur la corde. Non, ils ne bougent plus, il ne reste que du vide dans leurs yeux ! Voilà un animal au loin. Mon maître me lâche, enfin, et tous les autres aussi. Il faut manger et ce qui court la bas. C'est à manger. Il y a de l’électricité dans l’air, les hommes crient des choses que je ne peux pas comprendre. Les chiens se battent pour avoir cette proie. Moi, je cours de toutes mes forces. J'en oublie mes côtes cassées par les coups du matin. Ma copine, une galga plus jeune d’un an, me rattrape et chope l’animal à pleines. dents. Il ne bouge plus. Elle le pose aux pieds de son maître, qui la frappe avec ses bottes ferrées en guise de merci ! Je n’ai même pas le temps de lui dire bravo ; mon maître est furieux. Il me frappe avec un gros bâton qu’il ne quitte jamais. Je prends des coups et ma copine aussi ! Elle est devant sa voiture, me regarde mais ne bouge plus. Son maître la prend comme un sac et la jette sur ce grand feu. Elle ne bouge pas, ne pleure pas. Elle est libre, enfin ! Moi, je suis jeté dans la voiture. Il me regarde et crie de plus en plus, me frappe de plus en plus. J'ai des plaies qui recouvrent mon corps. Je ne dis plus rien et serre les dents. Non je n’ai pas mal. La douleur couvre la douleur. Je suis en boule sur le sol de la voiture. On rentre à la maison. Il me sort, me jette au sol et me traîne par terre en hurlant. Je ne comprend pas pourquoi : on l’a prise cette bête, il devrait être content. Il m’attache au soleil. La corde est trop courte pour atteindre la gamelle d’eau croupie. J’ai peur, j’ai mal, j’ai faim ! Ma mère, que l’on a détachée pour que je prenne sa place, vient me voir et doucement lèche mes plaies. Ca fait du bien. Elle ne peut rien faire pour le fil de fer qui me serre le coup. Le soleil craque mes plaies, la douleur m’empêche de respirer et la chaleur m’écrase. Je voudrais que tout s’arrête, comme mon amie. Mon maître prend ma mère et part avec en voiture. La nuit est tombée, je suis toujours là, au sol. Il y a un peu de rosée, je la lèche pour humidifier ma langue ; mon maître est revenu ; Il est toujours fâché. Mais... où est ma mère ? Le matin arrive enfin. J'ai eu froid cette nuit. Peur aussi et mal, très mal ! Et ma mère qui n’était pas là... Je ne pense même plus à la faim qui bouffe mon ventre. Je le vois. I est devant la porte de la maison ou je n’ai jamais mis les pattes et me regarde d'un air qui me glace le sang ! Je ne bouge pas, il va peut-être m’oublier ! Non ! Il vient, me frappe (bonjour, mon maître), ne prend pas la peine de me prendre par la peau du cou mais me traîne par mon fil de fer (ça change !) ! Les cailloux, ça fait mal sur mes plaies et mes os cassés. Je suis dans le coffre de la voiture. Il fait noir. Un moment est passé, j’ai senti la route, le moteur ne tourne plus. J'entends les oiseaux. Il ouvre le coffre et me jette au sol. C'est de l’herbe, c’est doux et humide. Oh ! Merci mon maître ! Il fume un de ses cigares, moi je reste au sol. Ca fait du bien l’air, l’herbe... Puis, il me traîne au sol devant un arbre, tire une corde au dessus d’une branche et tire. Mon corps se soulève, je suis étranglé par le fil de fer. Mes pattes arrière se tiennent encore un peu au sol. Ne flanche pas, tu vas t’en sortir. Il s’éloigne et part en voiture. Je suis seul et l’air ne passe presque plus dans ma gorge. Je vois ma mère dans la même position. Elle me regarde, mais il n’y a plus de vie dans ses yeux. Je ne comprend rien ! J'ai envie que tout s’arrête ; ne plus avoir mal, ne plus avoir faim, ne plus avoir peur. Mes pattes flanchent de plus en plus et l’air passe de moins en moins. Là, doucement, mes douleurs partent. C'est étrange, je ne sens plus rien. Je suis bien, je ne respire plus. Je me réveille ! Il y a des gens autour de moi. Ils crient aussi. "Non, laissez moi, j’ai peur !". Ils ont du plastique sur les mains. Une femme me tient, elle a coupé la corde. Je suis sur elle, au sol. Les autres, je les voient, ils coupent la corde de ma mère sans vie. Un homme laisse couler sur son visage des larmes. On me parle doucement, on me touche. Mais pourquoi font- ils cela ? De toute façon je sais qu’ils vont me faire mal comme les autres, les hommes font mal. On me prend dans les bras doucement, on me pose sur une couverture. Je sens l’odeur de ma mère dans une autre couverture. Je n’aime pas ça. J’ai toujours faim, soif, mal et peur. La voiture se gare et une femme arrive devant moi. Je tremble, je ne grogne pas. Elle me caresse la tête. "Non, ne me frappe pas !". Je me recourbe le plus possible, ferme les yeux, je sais que les mains de l'homme font très mal. Pas celles-la ! Elles sont douces. C'est une nouvelle sensation. Elle me fait entrer dans la maison. Je suis dans les bras d’un homme et je bouge un peu car je sais très bien que je n’ai pas le droit de rentrer. Il y a du monde ici ; d’autres chiens comme moi. Ils jouent. Il y en a un que je connais. Comment sont-ils arrivés ici ? J’ai peur ! On me pose sur une table froide "Aïe, ça fait mal !". Ils mettent des trucs sur mes plaies, ils s’agitent tous autour de moi mais me parlent doucement. Parfois, je sens une caresse, une main. On me couvre, on me lave, on me met des choses sur mes plaies et mes os cassés. Ca fait du bien, je ne sens presque plus la douleur. On me pose au sol. Je suis épuisé et me couche, les pattes écartées. Bon, il faut dire que je ne tiens plus du tout sur mes pattes. Les gens me regardent avec douceur. Une gamelle d’eau arrive devant moi, je me jette dessus avant qu’elle ne reparte. Je bois jusqu'à plus soif et puis c’est une gamelle de nourriture qui arrive ! Je mange. C'est bon ! Je regarde les gens du coin des yeux. Ils me sourient. Puis, on me met dans une pièce où il y a d’autres galgos mal en point. Ils sont calmes. Des femmes passent et font des câlins. Je crois que j’ai compris. Je suis mort et tout est parfait.Un de mes confrères me dit que ce n’est pas le paradis, que je ne suis pas mort et que les humains ne sont pas tous méchants. Que l’on va bien s’occuper de moi ici et que je vais trouver une famille qui veut de moi et de mes blessures. Une famille où l’on peut manger à sa faim et boire. Où l’on joue avec nous. Il me parle des caresses des enfants qui jouent avec nous. Il me dit que je ne suis pas au paradis mais dans un refuge. Moi, je lui dit que le paradis c’est ici. Je peux dormir, enfin !

maltraitance

Publié à 15:31 par fandeloup Tags : vie sourire moi monde aimer
maltraitance

Né quelque part au milieu du désert des hommes, né quelque part dans le désert de mon cœur, j’ai perdu le sens de l’orientation.Dites-moi où je me trouve, entre ma réalité, mon malheur . Autour de moi tout est froid, je suis aveuglé, de mon regard avide je ressens votre chaleur, autour de moi tout est poisseux, et leurs cœurs saignent de ne plus aimer , et moi qui beuglait dans cette unique peur ! Tout au long de mon corps coule le sang des victimes de la solitude,et cette vieille rivière tarie qui se jette dans les abîmes, par habitude. Toutes les promesses à jamais perdues dans les ondes sonores qui nous percutent si violemment, électrochocs ! Je cherche quelque part une thérapie à mon mal-être, bloc après bloc, je construis mon propre mur dans ce monde. Je rêve d’espoir, je rêve - désespoir- je ne fais que rêver. Blessé Par cette sensation de picotement dans mon cœur chaviré, je rêve d’un autre été.