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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Stop à l'élevage en cage Plus de 300 millions d'animaux d’élevage souffrent dans des cages à travers l'Europe. Ensemble, nous pouvons mettre un terme à leur souffrance grâce à l'Initiative citoyenne européenne contre les cages. Nous devons collecter 1 million de signatures vérifiées pour interpeller la Commission européenne et lui demander de mettre un terme à ce traitement inhumain des animaux de ferme. Signez dès maintenant pour libérer les animaux et mettre un terme à l'élevage en cage ! 683 254 personnes ont déjà agi contre les cages !
Enfermée pendant des semaines dans une case, incapable de prendre soin de ses petits. Une vie derrière des barreaux n'est pas une vie. Mettons fin aux souffrances des animaux . Signez maintenant.
PETA France
En Australie, la chasse aux kangourous bat son plein
Le gouvernement australien autorise des professionnels à abattre l’animal emblématique du pays, qui a tendance à proliférer. Reportage. De Rédaction National Geographic Chasseur professionnel, Peter Absalom apprête les kangourous roux qu’il a tués près de Mulyungarie Station (Australie-Méridionale). Depuis 2013, seuls les mâles sont abattus, afin que les mères puissent subvenir aux besoins des jeunes.
Quand le soleil se couche sur le Queensland, État du nord-ouest de l’Australie, Brad Cooper se met au travail. L’homme, au physique imposant, est chasseur de kangourous. Il est autorisé par le gouvernement à abattre ces animaux, symboles du pays, pour en réguler la population. Il quitte la route avec son camion, pour se rendre dans un enclos situé à environ 30 km à l’est de Mitchell.
« Ce soir, on va s’en faire autant qu’on peut, dit-il. Mais je n’aime pas ce vent. Et eux non plus. » « Eux », ce sont les kangourous géants. Quand soufflent des rafales, ils deviennent méfiants et se ressemblent en petits groupes appelés mobs. Il est alors plus difficile pour les chasseurs de viser les adultes, seuls individus qu’ils ont droit de tuer. La chasse aux kangourous est très réglementée. Avant de pouvoir œuvrer sur le terrain, un chasseur professionnel doit passer un test de tir et recevoir une formation touchant à l’hygiène et à la protection des animaux.
Chaque mois, il est tenu de communiquer des informations détaillées sur son travail, afin de s’assurer qu’aucun abattage ne dépasse le quota. Seule la chasse commerciale de quatre espèces non menacées (kangourou géant, kangourou gris, kangourou roux et wallaroo) est autorisée par le gouvernement. Que deviennent ensuite ces marsupiaux ? Des marques de sport achètent le cuir, souple et solide, pour fabriquer du matériel.
Et la viande de kangourou se fraie doucement un chemin dans les supermarchés et les restaurants chics. Quatre des huit États et territoires australiens gèrent des abattages fondés sur ces quotas annuels, qui approvisionnent le secteur. Selon ses partisans, la viande de kangourou, faible en matières grasses et riche en protéines, a moins de conséquences sur l'environnement, que celles de mouton ou de bœuf, émetteurs de gaz à effet de serre.
Cooper a 41 ans. Il a tué son premier kangourou à l’âge de 5 ans. Actuellement, il travaille trois nuits par semaine, pendant six à huit heures. Son objectif du soir est de tuer 30 kangourous. Son record en une seule nuit s’élève à 104. Une demi-lune joue à cache-cache au milieu des nuages effilochés qui courent dans le ciel. L’odeur des buissons d’arroche imprègne l’air. Cooper balaie les parages avec les projecteurs du toit du camion.
Au bout d’une minute, il repère un mâle adulte de près de 2 m, à une centaine de mètres de là. Le kangourou fixe les phares du véhicule, comme hypnotisé. Boom ! La détonation de la carabine déchire la nuit. L’animal s’effondre. Brad Cooper roule jusqu’au kangourou mort. Il hisse le corps sur la plateforme du camion et le suspend par une patte postérieure. Œuvrant avec l’efficacité que donne l’expérience, il saigne le marsupial, puis l’éviscère.
Cooper inspecte ensuite la carcasse, à la recherche de lésions ou de parasites qui pourraient en compromettre la valeur marchande. Puis il sectionne les pattes antérieures, la tête et la queue. Vient ensuite la paperasse : tout chasseur doit noter la date et l’heure de mise à mort, le nom de la propriété, l’espèce et tout renseignement exigé par la société de transformation alimentaire et par les autorités de l’État. Les formalités sont parfois pénibles, admet Cooper, mais en valent la peine. Il reçoit 70 cents par kilo pour une carcasse apprêtée sur le terrain. Certaines nuits, il peut gagner environ 850 euros.
Peu avant minuit, le vent forcit pour de bon. Le chasseur s’arrête là pour cette fois. Son score final : dix kangourous. « Ce travail n’a rien de normal », admet-il sur le chemin de retour vers Roma (là où se situe l’entrepôt réfrigéré où sont stockées les carcasses avant leur traitement). Les horaires sont décalés, le travail est brutal et les citadins méprisent sa profession. Pourtant, il considère que son action est utile à la société australienne, car l’animal a tendance à proliférer (lire notre reportage).
« Pour [les citadins], nous sommes des moins-que-rien, observe Brad Cooper. Mais les habitants des villes sont coupés des animaux, dans leur vie. S’il faut faire piquer un chien ou un chat, un vétérinaire s’en charge. Ils n’ont pas de responsabilité directe. Contrairement à nous. »
Extrait du reportage « Un emblème adoré devient gênant » de Jeremy Berlin et Stefano Unterthiner, publié dans le numéro 233 du magazine National Geographic, daté de février 2019.
Quand le fauve cria à l'homme:" Ne ne fais pas souffrir! M'enfermer dans une cage, me rendrait la vie impossible."
L'homme pour son plaisir, et paraître crédible, Lui répond: "Pourquoi te laisserais-je partir?"
Le jour où l'on passera nos actes au crible, pour ceux qui comprennent qu'une vie en vaut deux, s'amuser avec le vivant, c'est bafouer les cieux, a travers la chair la souffrance devient visible.
Le chien retrouvé mort au fond du puits aurait subi des violences
Il s’appelait Hasko.
Ce croisé Jack Russell appartenant à un couple qui vit à Mirabel-et-Blacons, près de Crest, avait été retrouvé mort au fonds d’un puits le 14 mars dernier. En début de semaine, ils viennent d’apprendre qu’il aurait également subi des violences. C’est ce que confirme l’autopsie pratiquée dans un laboratoire à Valence. «Elle a révélé un éclatement du pancréas et de la rate, due sans doute à un coup violent dans l’abdomen d’après la vétérinaire qui a réalisé l’autopsie», raconte Audrey, avec une tristesse mêlée de colère.
Un nouveau coup dur pour le couple qui a décidé de porter plainte à la gendarmerie de Crest.
L'écornage est généralement effectué sans anesthésie et entraîne une douleur aiguë intense, c'est pour cela que le son a été volontairement supprimé et remplacé par une musique... Les animaux qui ne reçoivent pas de soulagement pour la douleur par rapport à ceux qui en reçoivent, ont un appétit réduit jusqu'à deux semaines après cette procédure, ce qui indique une douleur persistante. Tout ce qui est considéré comme une « pratique standard de l'élevage » ne devrait JAMAIS être bloqué. Le but de partager cette information est d'informer sur ce qui se passe derrière des portes closes. Les éleveurs ont peur que cela déroute les consommateurs ..
https://youtu.be/Q4GfvhlMjPA
En ce moment même, des chiens souffrent atrocement dans l'École nationale vétérinaire d'Alfort. Des beagles, des golden retrievers, et d'autres chiens sont élevés exprès pour qu'ils développent une forme extrêmement douloureuse de dystrophie musculaire qui fait qu'ils peinent à se déplacer, à déglutir et même à respirer.
Après 30 ans de ces expériences cruelles, il n'y a TOUJOURS aucun remède pour la dystrophie musculaire chez les humains. Nous avons besoin de votre aide pour mettre fin à cette torture.
Soutiendrez-vous nos efforts pour mettre fin à l'expérimentation animale dès aujourd'hui ?
PETA
Je m'en fous si vous pouvez recréer mon habitat naturel. Si je ne peux pas partir, c'est une prison. Je ne doute pas que vous essayez de sauver des espèces ... mais elles sont en danger PAR VOTRE FAUTE. Je me fiche que les gardiens soient gentils. Et ... j'en ai vraiment rien à foutre de vos prétendus efforts de conservation qui peuvent sûrement être menés sans incarcération de masse.
Derrière le Dumbo de Disney se cache l'histoire vraie de Jumbo, le "plus grand animal au monde" martyrisé de zoos en cirques, enivré d'alcool, exploité jusqu'à l'exhibition de son squelette. Voici l'histoire de cet éléphant star, qui a promené sur son dos Churchill et Roosevelt.
Peut-être avez-vous entendu parler dans l’actualité d’une éléphante de cirque nommée Maya, que la justice des hommes a condamnée à vivre dans la souffrance, enfermée dans une remorque ou attachée à une corde dans des conditions inhumaines, ne lui laissant pas le droit de terminer paisiblement ses jours à la campagne pour y découvrir une liberté qu’elle n’a jamais connue.
Cette terrible histoire m’en rappelle une autre, qui pourtant avait l’apparence d’un merveilleux conte pour enfants. Dumbo, l’éléphant volant de notre enfance Beaucoup de « grandes personnes », comme moi, et d’enfants ont été bercés par les dessins animés de Walt Disney dans leur plus jeune âge, attendus avec impatience à chacune de leurs sorties.
Ce cinéaste de génie avait un flair infaillible pour dénicher des scénarios originaux racontant d’émouvantes histoires, dont on se souvient encore des années plus tard et qu’il est de tradition de faire partager à ses propres enfants dès que ceux-ci sont en âge d’aller au cinéma.
Dumbo, cartoon, film, Walt Disney, elephant, flying elephant, children taleL’un de ces célèbres dessins animés, sorti des studios Disney aux États-Unis en 1941 sous le titre Dumbo, et en 1947 en France sous le titre de Dumbo, l’éléphant volant, est connu dans le monde entier. Il fut présenté au Festival de Cannes la même année et remporta le Grand Prix du dessin animé. Le film, en partie inspiré d’un livre pour enfants de la romancière Helen Aberson paru en 1939, est une sorte de remake du Vilain Petit Canard dans lequel le héro à plumes est remplacé par un éléphanteau. Ce dernier est apporté par une cigogne égarée à Mme Jumbo, une éléphante appartenant à un cirque qui se déplace en train de ville en ville. Affublé d’oreilles démesurées, son petit est l’objet de toutes les moqueries. Le reste de la troupe le surnomme ainsi Dumbo.
Mme Jumbo, après avoir corrigé un garnement qui se moquait une fois de plus de son éléphanteau, est emprisonnée dans un wagon. Dumbo, se retrouvant seul, se lie d’amitié avec Timothée, une souris qui ne le quittera plus.
Handicapé par ses encombrantes oreilles, Dumbo multiplie les maladresses. Le cirque décide d’en faire un clown. Toujours séparé de sa mère, il sombre dans le chagrin. Il est pris un jour d’une crise de hoquet qu’il tente de faire passer en buvant dans une bassine d’eau, dans laquelle de l’alcool a été renversé par mégarde. L’éléphanteau est victime d’hallucinations et se réveille le lendemain dans un arbre. Timothée comprends alors que Dumbo sait voler grâce à ses grandes oreilles, sans le savoir. Il lui fera reprendre confiance en lui et utiliser ce don pour devenir la vedette du cirque. Ce succès lui permettra d’être à nouveau réuni avec sa mère.
Dumbo ou le destin tragique de Jumbo
Derrière l’œuvre de Disney se cache en fait l’histoire d’un éléphant de cirque qui a réellement existé à l’époque victorienne. Il est né à la fin de l’année 1860 ou début 1861 au Soudan (ou Mali selon les sources, ancien Soudan français). Après que sa mère a été tuée devant lui par des chasseurs soudanais, l’éléphanteau décharné est acheté par Lorenzo Casanova, un marchand d’animaux italien, qui l’expédie par bateau en Europe.
D’abord vendu à la Ménagerie ambulante Gottlieb Kreutzberg en Allemagne, il échoue en 1862 à la Ménagerie du Jardin des plantes à Paris. Il est pendant un temps le seul éléphant d’Afrique en France et même en Europe, aucun autre n’ayant jusqu’alors survécu au voyage.
L’animal solitaire est acquis par le zoo de Londres en 1865, où il arrive en mauvaise santé. Il y devient très populaire auprès de la haute société londonienne, en particulier des enfants, qu’il divertit par des promenades et en se laissant nourrir de friandises.
Durant seize années, sous la houlette de son gardien, Matthew Scott, il transporte ainsi des milliers d’enfants, dont Winston Churchill, Théodore Roosevelt et, paraît-il, les enfants de la reine Victoria en toute discrétion. En grandissant, il atteint sa célèbre taille (près de 4 m de haut). Le nom qui lui a été donné — Jumbo — passera à la postérité en désignant par extension ce qui est de grande dimension. Mais en coulisse, le tableau n’est pas aussi reluisant.
L’éléphant, qui ne s’est probablement jamais remis du traumatisme de la mort de sa mère et de l’arrachement à sa terre natale, est sévèrement maltraité pour le rendre toujours plus docile.
Jumbo, en pleine adolescence car ayant atteint l’âge de la maturité sexuelle, est de plus en plus agité et difficile à contrôler. Il souffre de claustrophobie et des attaques de rats dans le box exigu dans lequel il est enfermé. Ses défenses seront tronquées car il se jette contre les murs la nuit. Pire encore, son gardien Matthew Scott l’assomme avec de l’alcool (un tonneau de bière par jour et du scotch…).
Abraham Bartlett, surintendant du zoo, craignant pour la sécurité des visiteurs et du personnel, et désireux de ménager la pudeur victorienne (démonstrations explicites résultant des montées de testostérone de l’éléphant), envisage de l’abattre. Ayant vent de l’affaire, le directeur de cirque américain Phineas Barnum propose à Bartlett de lui acheter Jumbo.
La vente, conclue en 1882 pour un faible prix, sera très décriée dans l’opinion publique anglaise (lettres de 100 000 écoliers à la reine Victoria, pétitions au Parlement, articles dans la presse, procès contre le zoo londonien, etc.). Jumbo, éléphant, départ Amérique Jumbo dans une caisse avant l’embarquement.
Jumbo est donc contraint une nouvelle fois de changer de continent. Terrifié, enchaîné et enfermé dans une caisse, Jumbo hurlera pendant les deux semaines de traversée en bateau à vapeur jusqu’à New York, excepté lorsqu’il sera imbibé de bière et de whisky par Matthew Scott ou nourri de canapés et de champagne par les passagers de première classe.
Dès son arrivée, il intègre avec son gardien le Greatest Show on Earth, le gigantesque cirque ambulant aux trois pistes de Barnum et Bailey qui se déplace à travers l’Amérique du Nord par voie ferrée avec ses 80 wagons. Un wagon spécial lui est même réservé, rouge et or, avec l’inscription Jumbo’s Palace Car. Il est l’attraction phare et sa renommée est désormais mondiale. Grâce à lui, Barnum aura créé le spectacle de cirque le plus lucratif de tous les temps (20 millions de spectateurs).
Étrangement, son comportement change. Il est beaucoup plus calme. Cela est probablement dû au fait qu’il s’est retrouvé au milieu d’un troupeau d’éléphants chez Barnum et qu’il ne souffrait plus de solitude. newspaper, Jumbo, Barnum, Greatest Show on Earth, elephant, circus Publicités dans la presse en 1883. À partir de l’automne 1883, la santé de Jumbo décline, de même que les affaires de Phineas Barnum.
Ce dernier est également dans le collimateur de la Société américaine pour la prévention de la cruauté envers les animaux (ASPCA). En 1885, l’éléphant est toujours malade. Il meurt le 15 septembre à St. Thomas en Ontario (Canada), heurté par un train.
Les circonstances réelles de la mort de Jumbo sont incertaines, des versions différentes ayant été relatées par Barnum, Scott, d’éventuels témoins, ou dans les journaux. La version « officielle », soutenue par Barnum, voudrait que Jumbo se soit précipité devant le train pour sauver héroïquement un jeune éléphant de la troupe. Une autre, par exemple, raconte que la locomotive a déraillé en heurtant le jeune éléphant et qu’elle aurait ensuite fauché Jumbo.
Un livre paru en 2014 soutient que la mort de Jumbo n’était pas un accident et que celui-ci aurait été délibérément incité à marcher sur la voie ferrée par Matthew Scott, son gardien, probablement de connivence avec Barnum. En effet, cet « accident » aurait permis à Barnum d’éviter des investigations de l’ASPCA concernant le mauvais état de santé persistant de l’éléphant, mais également de « rebondir » et sauver son business en planifiant une sortie spectaculaire de l’animal vedette, entretenant ainsi la Jumbomania initiée de son vivant.
Deux semaines avant l’« accident », Barnum avait promis de confier à un ami taxidermiste la peau de Jumbo pour la faire naturaliser, le moment venu… Planifier ce macabre scénario aurait été impossible sans la complicité de Scott, seule personne à qui l’éléphant obéissait.
Ainsi, le résultat souhaité fut obtenu et les restes dispersés afin d’en tirer un profit maximum. Après une longue tournée qui dura deux ans avec le cirque Barnum, le squelette de Jumbo fut donné au Muséum américain d’histoire naturelle à New York.
Le corps reconstitué avec la peau naturalisée, longtemps exposé au Barnum Hall, échoua dans les collections de l’université Tufts (Massachussets), dont il devint la mascotte. En avril 1975 un incendie détruisit l’animal empaillé (seule sa queue, prélevée antérieurement, demeure dans les réserves). Les cendres sont depuis conservées dans un bocal.
Son culte à Tufts est toujours vivace et des effigies de Jumbo ornent le campus. Jumbo, dead elephant, Barnum Museum Jumbo naturalisé, devenu la mascotte de l'université Tufts. Le cœur du pachyderme fut vendu à l’université Cornell (Ithaca, État de New York) en 1889. On ne compte plus les affiches, publicités ou objets « dérivés » sur les lesquels figurent des représentations de Jumbo, produits avant et après sa mort. Des chansons lui ont même été consacrées. Une statue de l’éléphant grandeur nature a été érigée à St. Thomas au Canada en 1985 pour commémorer le centenaire de sa mort.
Retour sur le devant de la scène
La BBC a annoncé en septembre dernier une nouvelle série documentaire présentée par Sir David Attenborough, le journaliste, écrivain et naturaliste britannique. L’un des volets de la série aura pour thème l’incroyable et triste histoire de Jumbo. Le journaliste scientifique a eu accès aux ossements du célèbre éléphant.
Peut-être nous donnera-t-il un éclairage nouveau sur la vie et la mort de Jumbo. Jumbo's skeleton, David Attenborough, true story, BBC Sir David Attenborough devant le squelette de Jumbo au Muséum d’histoire naturelle à New York. Par ailleurs, le réalisateur Tim Burton a débuté l’été dernier le tournage d’un film fantastique dont le scénario est une adaptation du dessin animé des studios Disney.
Les rôles principaux seront tenus par Colin Farrell, Danny DeVito, Eva Green et Michael Keaton. Le héro, Dumbo, sera une création digitale. Sortie du long-métrage prévue en juillet 2019 pour la France. Dumbo 2019, Tim Burton film, elephant, remake, Walt Disney Le Dumbo 2019, vu par Tim Burton. MISE À JOUR 22 décembre 2017 Après la diffusion le 10 décembre dernier sur la chaîne BBC One du documentaire sur la vie et la mort de Jumbo au travers des archives et des études faites par des spécialistes sur les ossements conservés au Muséum d’histoire naturelle de New York, Sir David Attenborough nous apporte quelques précisions ou éléments nouveaux :
Tout d’abord, les accès de rage nocturnes de Jumbo, à l’époque où il se trouvait au zoo de Londres, seraient dus principalement ou en partie à d’importants problèmes dentaires. C’est une alimentation inadaptée depuis son plus jeune âge qui en est la cause. Comme chez les humains, les douleurs dentaires sont exacerbées la nuit chez les animaux. Ensuite, les mesures prises sur son squelette ont permis de confirmer que cet éléphant était très grand, certainement pas le plus grand éléphant du monde comme cela a été dit à l’époque mais environ 20 % plus grand que la taille moyenne pour un éléphant de cet âge-là.
Par ailleurs, sa croissance osseuse n’était pas achevée. Les prélèvements faits sur la queue Jumbo, qui a échappé à la destruction et a été conservée jusqu’à aujourd’hui, attestent que son métabolisme était bien celui d’un éléphant malade. Enfin, les ossements de Jumbo ne montrent pas de signes d’un choc violent et frontal avec la locomotive du train, ce qui écarte définitivement la version héroïque de sa mort, soutenue par Barnum. De plus, une ancienne gravure jusqu’ici méconnue, représentant l’accident et la fin tragique de l’éléphant, le montre se faisant heurter par l’arrière et du côté droit par la locomotive. Il est le seul éléphant sur les rails et se trouve de dos lorsque le train arrive.
Cette vision de l’accident est très certainement la plus proche de la réalité car elle cadre tout à fait avec les lacérations qui sont bien visibles sur les photos prises de la dépouille de Jumbo. On apprend également qu’il n’a pas été tué sur le coup mais a rendu son dernier soupir un peu plus tard. Un mystère demeure cependant, qui ne sera probablement jamais élucidé : la présence de Jumbo était-elle fortuite sur la voie de chemin de fer ou bien a-t-il été conduit là volontairement ?
Sauvetage de 3 chiens étranglés au bout de chaînes en métal
Attaché par sa courte chaîne en métal, le chien ne pouvait pas se coucher sans s'étrangler.
Attachés au mur d’une grange insalubre avec des liens trop courts, trois épagneuls bretons ont été secourus par la Fondation 30 Millions d’Amis dans la Somme.
A leurs côtés, un yorkshire terrifié, un lapin et 4 oiseaux en cage. L’alerte maltraitance a été effectuée via l’appli 30 Millions d’Amis. Une odeur pestilentielle d’urine animale et de tabac froid…
Intervenue avec la gendarmerie au domicile d’un couple sur la commune de Hornoy-le-Bourg (80), la Fondation 30 Millions d’Amis a porté secours à des animaux saisis sur décision de justice. Juste derrière la porte d’entrée se trouvaient un lapin nain, un couple de perruches callopsittes et deux mandarins en cage.
En partie déplumés, ces derniers disposaient d’un espace bien inférieur aux besoins de leur espèce, tandis que le lapin, sans nourriture ni foin, présentait de longues griffes – signes d’un manque de soin flagrant.
Des chiens avec la peau sur les os Dans une grange nauséabonde, trois épagneuls bretons vivaient attachés à un mur en briques par des chaines en métal.
Celle de Léo, un mâle âgé de 6 ans, était si courte – à peine un mètre – qu’il lui était impossible de se coucher sans se retrouver pendu et étranglé. Or, la loi prévoit que la longueur de la laisse ne peut être inférieure à 3 mètres pour les chiens attachés en permanence sans système coulissant (arr. du 25/10/1982).
Agée de 8 ans, la chienne Léa n’avait que la peau sur les os, preuve d’un cruel manque de nourriture dont étaient également victimes ses deux compagnons d’infortune. « Lorsque nous avons donné à manger et à boire à ces chiens, ils se sont rués sur la gamelle », témoigne une enquêtrice de la Fondation 30 Millions d’Amis. Leurs écuelles étaient vides, retournées ou remplies de terre et de moisissures.
Plus loin dans le jardin, Maya, une femelle yorkshire non identifiée ni vaccinée, vivait seule. Privée de contact avec tout autre animal, elle adoptait un comportement extrêmement craintif.
L’alerte donnée avec l’appli 30 Millions d’Amis Afin que ces faits odieux soient punis, la Fondation 30 Millions d’Amis a porté plainte pour abandon et actes de cruauté. L’alerte avait été donnée grâce à l’application 30 Millions d’Amis, qui permet de signaler facilement et immédiatement tout cas de maltraitance envers des animaux.
Une fois secourues, les petites victimes ont été transférées au refuge d’Oisemont (80) afin d’y être soignées.
Si vous souhaitez devenir famille d’accueil pour l’un de ces animaux, veuillez contacter le refuge au 03.22.25.12.37.