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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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abandon et maltraitance image

a savoir

Publié à 08:13 par fandeloup Tags : belle mort animaux fleurs sur
a savoir

DU SYMBOLIQUE AU CONCRET : 403 OPPRIMÉ.E.S EXFILTRÉ.E.S DES ABATTOIRS DEPUIS JANVIER 

Depuis le mois de janvier 2018, ce sont 403 opprimé.e.s qui ont été exfiltré.e.s des abattoirs par l’organisation 269 Libération Animale. Ce sont 403 existences soustraites au destin spéciste.

Nous remercions infiniment les activistes qui co-résistent aux côtés des animaux et prennent tous les risques pour mener ces actions, les personnes qui accueillent ces réfugié.e.s et toutes celles et ceux qui nous soutiennent financièrement, notamment en participant à la cagnotte ouverte à cet effet :

https://www.leetchi.com/fr/Cagnotte/40245502/29eb2da8 ❌

Il y a bientôt deux ans, nous en avons eu marre de faire du « théâtre de rue », des happenings qui ne sont que des apparences d’action, des marches festives, d’être ridicules avec nos fleurs et nos pancartes pour lutter contre la mort de milliards d’individu.e.s, de nous mettre perpétuellement en scène, de sensibiliser, de culpabiliser, d’être toujours finalement dans le « symbolique » ; alors nous sommes passé.e.s à l’action directe pour gagner en efficacité et en puissance politique.

Bloquer, occuper, libérer : pour perturber le système concrètement, pour enrayer la machine de mort, pour engendrer de réels impacts, pour des effets concrets sur les opprimé.e.s, par « pragmatisme révolutionnaire », pour « mettre le feu aux poudres » et amorcer un virage stratégique. Ces 403 individus qui vivent aujourd’hui grâce à cette jonction des résistances animale et humaine représentent notre plus belle victoire.

#269LibérationAnimale ~:

Une des petites victimes exfiltrée d’un abattoir de lapins le 6 septembre dernier et qui vit aujourd’hui dans un sanctuaire privé. Sanctuaire 269 Libération Animale

horreur

Publié à 17:03 par fandeloup Tags : air vie sur mort animaux nature base film
horreur

Expériences sur les singes: ce que les laboratoires ne veulent pas vous faire voir

Capturés, enfermés dans des cages aseptiques, torturés, soumis à des années d'expérimentations profondément affligeants et douloureuses, conçues pour provoquer, aggraver et mesurer l'anxiété, la peur, l'agressivité, la dépression et les maladies psychologiques.

Les expériences endurées par les macaques, en grande partie chiots, détenus dans les laboratoires sont effrayantes. Pour être presque toujours caché aux yeux de l'opinion publique.

Heureusement, une découverte récente a été faite à l'institut allemand de tübingen, le Max Planck Institute for biological cybernetics (après 7 ans d'enquête), grâce à l'association britannique contre la vivisection-Buav, en collaboration avec la soko tierschutz.

Mais les centaines d'heures de vidéos et de photographies obtenues par la peta sur les expériences des national institutes of health aux États-Unis, où 60 singes sont élevés chaque année pour développer la dépression et d'autres maladies mentales, sont également claires.

Immobilisation - chaque fois qu'une enquête a été faite dans les laboratoires où se pratique la vivisection, ce sont des emersiorrori et des violences inouïes, dans le cas spécifique de l'enquête buav - diffusée en Italie par le lav - dans ce laboratoire allemand : les singes, Objet de recherches de base au cerveau subissent de graves privations et contraintes physiques avec des implants dans le crâne et des immobilisations dans des structures de contenzionechiamate "naïvement" des chaises de primate.

Les macaques au cours de l'expérience subissent des privations très graves, comme le manque d'eau pendant des jours et sont si soif de boire l'urine des autres singes, en outre les structures de contention entraînent des niveaux élevés de douleur où les animaux terrorisés restent immobilisés de la tête vers le bas avec des installations Électriques dans le cerveau et dans les yeux, qui enregistrent des activités mentales avec des signes de douleur évidents, avec des bleus et des saignements qui durent pendant des semaines.

Privation maternelle des petits d'un demi-siècle après que le tristement célèbre chercheur Harry Harlow en premier prouve que les chiots de singe arrachés de leurs mères souffrent de psychose, peta délivre un film qui révèle comment des centaines de petits singes sont encore aujourd'hui soumis, sans aucune La nécessité scientifique, la privation maternelle, l'isolement social et les expériences traumatisantes.

Comme ceux qui prévoient la sédation des mamans pendant que les chiots sont effrayés par des bruits forts et des rafales d'air puissantes. Les petits crient et essaient de se cacher ou de fuir. Mais ils ne peuvent pas. Ils sont dans une cage vide avec leurs mères, réprimée chimiquement et insérées dans un siège auto, pendant qu'ils essaient frénétiquement de les stériliser pour les stériliser. Dans un film, on entend même les expérimentateurs rire pendant qu'une mère se bat pour rester éveillée et réconforter son petit bouleversé.

La vivisection existe et est (encore) légale : il est absurde de continuer à promouvoir l'expérimentation animale comme une procédure peu invasive où les animaux ne souffrent pas, parce qu'il ne correspond pas à la réalité et à la vérité.

Mais l'horreur a des origines lointaines : comme si cela ne suffisait pas, les macaques proviennent de captures invasives à l'île Maurice où ils sont prélevés dans la nature et, contraints dans des boîtes étroites, à des vols interminables dans l'obscurité et au gel des cales des avions, à l'issue desquels ils arrivent dans Jusqu'à la vie et sous le choc à l'usine fournisseur qui les trie comme marchandise à tous les laboratoires Européens. " ne nous leurrons pas que ces expériences ne se produisent pas en Italie ! - affirme Michela Kuan, biologiste, responsable de la vivisection - malheureusement beaucoup de singes trouvent la mort dans nos laboratoires :

ici aussi on effectue des expériences qui ressemblent aux salles des horreurs, comme dans le cas de l'université de modène, objet de contestations depuis des mois, où sous le Le terme "recherche de base" contient des vis sous la conjonctive oculaire, des fils d'acier dans les muscles de la nuque et des chambres d'enregistrement dans le cerveau : des procédures non seulement éthiquement inacceptables, mais scientifiquement inéligibles. Il est temps d'arrêter de justifier la douleur et la violence, au nom d'une pseudo-science qui ne soigne aucun malade."

horreur

Publié à 10:14 par fandeloup Tags : vie moi monde sur photos mort place
horreur

N’hésitez pas Mr Tournier je vous fais une place dans mon camion et je vous emmène au paradis des galgos et des podencos !!

Départ le 27 octobre pour une semaine au cœur de l’enfer, venez avec moi Mr Tournier je vais vous emmener voir ces magnifiques chiens qui crèvent à petit feu dans les perreras Espagnoles, ceux que l’on récupère dans nos refuges avec les membres cassés, blessés, traumatisés et d’une maigreur extrême . Une semaine de rêve Mr Tournier !!

Vous allez voir Mr Tournier comme les galgos et les podencos sont des chiens magnifiques et respectés par leurs propriétaires qui ne sont que des tortionnaires pour la majorité d’entre eux !! Je compte sur vous Mr Tournier pour m’accompagner au cœur de l’enfer Espagnol. Vous en voulez encore Mr Tournier des images comme celles-là , j’en ai plein mes tiroirs et plein ma mémoire !! Non, ce ne sont pas de mensonges Mr Tournier, ces photos nous appartiennent , c’est du vécu , du réel, ils sont des milliers à crever comme ça….

Quand on sait que 50 000 galgos sont sacrifiés chaque année au nom d’une tradition ancestrale et que des milliers d’autres ont la vie sauve grâce aux associations européennes qui se battent d’arrache- pied pour dénoncer le martyr des galgos et des podencos en Espagne.

Une honte !!

Quand on sait dans quel état pitoyable arrivent les galgos et les podencos dans les refuges Espagnols !! Une honte !!

Quand on sait que des bénévoles Espagnols se battent au quotidien dans leur propre pays pour dénoncer l’extermination massive de milliers de galgos et de podencos et les conditions dans lesquelles ils vivent !!

Pendus,battus à mort, torturés, affamés, humiliés, exterminés dès lors qu’ils ne sont plus rentables, utilisés pour la reproduction intensive. Ces chiens vivent en enfer, tout le monde le sait sauf Mr Eric Tournier visiblement !!

Ensemble associations, internautes, adoptants, défenseurs de la cause animale, nous devons dire notre indignation, notre révolte et notre écœurement. Ensemble nous devons dénoncer ce scandale sans précédent !!

Par courrier, par mail, n’hésitez pas à écrire à : Et à Centrale Canine magazine / 155, Avenue Jean Jaurès 93535 Aubervilliers Cedex à l’intention de Mr Eric Tournier, journaliste ???

On se pose vraiment la question ? Ecrire également à à www.fedegalgos.com

horreur

Publié à 09:24 par fandeloup Tags : france
horreur

Incroyable mais vrai !! Centrale canine magazine fait l’apologie de la chasse en Espagne !!

nsemble montons au créneau !!

Une honte, ensemble montons au créneau !! Centrale Canine Magazine fait l’apologie de la chasse en Espagne avec les galgos et les podencos dans sa revue sept/ oct 2018 !! C’est un scandale !!!

En France la revue de la cynophile Française, centrale canine magazine septembre/ octobre 2018 fait l’apologie de la chasse en Espagne .Je vous laisse apprécier la teneur des propos.

horreur

Publié à 09:14 par fandeloup Tags : société france sur
horreur

Incroyable mais vrai !! Centrale canine magazine fait l’apologie de la chasse en Espagne !! Ensemble montons au créneau !!

Une honte, ensemble montons au créneau !! Centrale Canine Magazine fait l’apologie de la chasse en Espagne avec les galgos et les podencos dans sa revue sept/ oct 2018 !!

C’est un scandale !!!

En France la revue de la cynophile Française, centrale canine magazine septembre/ octobre 2018 fait l’apologie de la chasse en Espagne .Je vous laisse apprécier la teneur des propos.

Cette revue est éditée par la société centrale canine Française !!

Alors que 30 millions d’amis publie sur son site cette pétition en ligne que je vous invite à signer en masse.

ours

Publié à 16:10 par fandeloup Tags : monde sur société travail histoire argent animaux nature prix cadre animal
ours

Les derniers ours dansants du Népal ont été libérés

Battus et soumis à des traitements inhumains, ces ours lippus étaient forcés de danser devant un public amateur depuis plus de 10 ans.

Rangeela (ours lippu mâle) avec un de ses propriétaires - Il était forcé à divertir des foules entières.

PHOTOGRAPHIE DE NEIL D'CRUZE, SOCIÉTÉ MONDIALE DE PROTECTION DES ANIMAUX

La longue tradition des ours dansants, décriée pour la cruauté qu'elle impose à ces animaux, pourrait prendre fin au Népal. Le gouvernement népalais, aidé du Jane Goodall Institute Népal et de la Société mondiale de protection des animaux (World Animal Protection), ont permis le sauvetage de deux ours lippus nommés Rangeela et Sridevi, des mains de leurs maîtres, Mohammad Salman et Mohammad Momtaz, membres de la communauté semi-nomade des Nats qui ont fait de ces performances des rues une source importante de revenus.

« Être présent lors du sauvetage du dernier ours dansant du pays était extraordinaire, » raconte Neil D’Cruze, conseiller auprès de la Société mondiale de protection des animaux.

« Nous savons que Rangeela et Sridevi souffraient en captivité. Leurs museaux ont été percés avec des barres en fer brûlantes. » Former des ours de diverses espèces à danser pour un public près à payer pour un tel spectacle était très populaire au Moyen-Âge à travers toute l'Europe et l'Asie, et la pratique était toujours courante en Europe de l'Est et en Asie à la fin du 20e siècle, selon les chiffres de la Société mondiale de protection des animaux. Grâce aux efforts communs de groupes de protection des animaux pour sauver les ours et aider leurs propriétaires à s'orienter vers une autre activité, la pratique a quasiment disparu.

Des pays comme l'Albanie, la Bulgarie, la Grèce, l'Inde, la Serbie, la Turquie et maintenant le Népal interdisent désormais les spectacles d'ours dansants, mais la pratique perdure au Pakistan. Sridevi, l'autre ours lippu sauvé, se repose près de ses trois maîtres devant le poste de police, au sud du Népal. Les deux ours ont sans doute été capturés dans la nature lorsqu'ils étaient petits, avant d'être dressés.

« La triste réalité est qu'il y a beaucoup d'animaux dans le monde souffrant pour divertir les gens, » estime Manoj Gautam, directeur exécutif du Jane Goodall Institute Nepal. « Au moins pour ces deux ours lippus, l'histoire se termine bien. » Plusieurs organisations de défense des animaux ont salué ce sauvetage. « L'importance de ce sauvetage tient au fait que le public ne soutient plus ce types de pratiques protégées par le label "tradition culturelle" », déclare Claire LaFrance, directrice de communication de l'ONG Four Paws U.S., qui a permis la libération de plusieurs ours dans différents pays. « Des pays comme l'Inde, le Népal et le Vietnam, qui ne cessent de viser plus de modernité, mettent progressivement un terme à ces pratiques d'un autre âge. »

 

LE DRESSAGE

Les ours dansants du Népal sont souvent capturés à l'état sauvage et vendus sur le marché noir. Dans certains cas, ils sont capturés alors qu'ils ne sont encore que des oursons - leurs mères sont tuées pour leur bile médicinale ou pour leurs pattes, servies dans des soupes hors de prix ou utilisées en médecine traditionnelle. Un ourson capturé est ensuite dressé selon des méthodes particulièrement cruelles. Son museau est percé et une corde ou un anneau est placé dans le trou pour contrôler l'ours. Parfois ses canines sont arrachées et ses griffes retirées pour prévenir toute blessure. Une corde court dans le trou percé dans le museau de Sridevi. Quand les ours dansants atteignent l'âge de 8 mois, leurs museaux sont percés avec une tige en fer brûlante. Une chaîne ou une corde y est glissée pour permettre aux maîtres de contrôler les animaux.

 Les ours lippus sont connus pour être agressif ; les forcer à la soumission est donc un processus particulièrement traumatique qui inclut de battre les ours avec un bâton pour les faire obéir. « La peur et la douleur sont constamment utilisées contre ces animaux », explique Manoj Gautam. Une fois dressé, l'ours est amené dans les rues pour s'y produire pour de l'argent. « Les ours dansants, tout comme les ours utilisés pour satisfaire la curiosité des touristes, ou les demandes de selfies, ou les restaurants voisins, souffrent énormément, » raconte Claire LaFrance. « Dans le cadre de notre travail avec de grands animaux élevés en captivité, nous constatons que ces individus non formés n'ont pas les compétences nécessaires pour assurer le bien-être de tels animaux. »

LE SAUVETAGE D’Cruze et Gautam suivaient le parcours de ces ours et de leurs propriétaires depuis plus d'un an, attendant le bon moment pour lancer une opération de sauvetage. Le plan était d'approcher les propriétaires et de les convaincre de leur céder les ours. Mais quand Gautam et D’Cruze se sont rendus au dernier domicile connu des propriétaire dans un coin reculé de la ville, ils étaient introuvables. « Au final, nous avons eu beaucoup de chance, » se souvient Gautam.

« Une équipe de la police de terrain a été capable de tracer leurs numéros de téléphones. » La police a confisqué les ours dans la ville de Iharbari, dans le sud-est du Népal, et ont interpellé quatre personnes. Au poste de police, le maître de Rangeela tient la corde passant dans le museau de l'ours. Les dents de Rangeela et Sridevi ont été arrachées, une pratique commune pour éviter que les ours ne se retournent contre leurs maîtres.

 Les ours étaient traumatisés mais leur état de santé global était bon, étant donné qu'ils n'étaient nourris que de lait et de riz depuis des années. « Vous pouvez clairement déceler le comportement stéréotypique d'un traumatisme psychologique. Ils suçaient leurs pattes, sautaient sur les bancs... » raconte encore Gautam. Leurs dents avaient été arrachées, chose commune pour des ours dansants, mais leurs griffes étaient intactes. Les ours attendent désormais d'être transférés dans un refuge, probablement en Inde.

En attendant, ils vivent dans un parc national au Népal - où deux de leurs anciens propriétaires ont été appelés pour les aider à faire la transition. Une partie de la solution pour mettre fin aux utilisations d'animaux à des fins commerciales est de donner à leurs propriétaires de nouvelles sources de revenus - autre raison pour laquelle les deux hommes se sont vus donner cette mission temporaire. Les anciens propriétaires « comprennent que leur ancienne profession ne pouvait perdurer ».

Selon Gautam, les deux hommes ont également signé un document leur promettant une punition beaucoup plus sévère s'ils étaient à nouveau pris à dresser des ours.

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Oise : filmée en train de frapper un lapin, une ado vit un enfer

 Lacroix-Saint-Ouen, vendredi. C’est sur ce chemin de halage, situé entre l’Oise et la forêt, que la courte vidéo de l’ado a été tournée. Une vidéo dans laquelle on voit une jeune fille maltraiter un lapin a été largement relayée sur internet.

Depuis, cette dernière est victime de harcèlement. Son père témoigne. Six petites secondes qui font de son quotidien un vrai calvaire.

Une adolescente de Compiègne, âgée de 14 ans, vit un enfer depuis dimanche, jour de son anniversaire. À cette occasion, comme cela est très répandu chez les jeunes, ses amis ont posté sur les réseaux sociaux des images d’elle.

Sauf que l’une de ses copines, sans penser à mal, a mis en ligne sur Snapchat un film dans lequel on la voit frapper violemment un lapin avec son pied. Rapidement, les images deviennent virales sur les réseaux sociaux. En quelques jours, elles ont été visionnées plus de 40 000 fois.

Et les messages de haine, de menaces, parfois de mort, se comptent par centaines. Une association alsacienne pour le respect des animaux, One Voice, assure même avoir déposé une plainte auprès du parquet de Compiègne, qui n’est pas en mesure de le confirmer pour le moment.

« Elle a voulu, stupidement, abréger ses souffrances »

Cette vidéo, tournée cet été aux abords de la forêt de Lacroix-Saint-Ouen, la jeune fille « avait demandé à son amie de la supprimer », se désole Daniel*, son père abasourdi par tant de violence.

Selon lui, il y a surtout une mauvaise interprétation d’images sorties de leur contexte. « Ma fille a conscience qu’elle a fait une bêtise, elle en a mal au cœur, confie-t-il. Mais le groupe d’amis a ce jour-là croisé un homme qui leur a dit que ce lapin, qui saignait des yeux et des oreilles, n’allait pas s’en sortir. Elle a voulu, stupidement, abréger ses souffrances. »

« Je crois qu’elle a compris son erreur »

Sans ces éléments, les réseaux sociaux ont joué un rôle de tribunal. L’ado a dû supprimer tous ses comptes. « Je crois qu’elle a compris son erreur, a pu s’expliquer avec ses amis. Toute notre famille est impactée. Nous aimons les animaux et nous allons même adopter un chaton », assure son père, très inquiet de voir circuler l’adresse de son domicile sur internet. Il a bien essayé d’endiguer la propagation de la vidéo, en écrivant notamment au ministère de l’Intérieur. En vain. Il a désormais saisi un avocat en droit à l’image pour porter plainte et n’exclut pas de poursuivre en justice toute personne qui menacerait sa fille.

« J’ai été reçu par le responsable de son collège, pour la protéger », raconte ce père, dépassé. Il lance un appel aux parents :

« Prenez garde aux réseaux sociaux avec vos enfants ! Ils ne sont pas prêts à affronter tout cela. »

*Le prénom a été modifié

Que risquent les harceleurs ?

Les messages de haine sont nombreux. Sous la vidéo, relayée par l’association One Voice notamment, l’anonymat des réseaux sociaux a encore fait une victime avec cette jeune fille filmée en train de donner un coup de pied à ce lapin. Si son père tente de l’empêcher d’aller voir tous les messages postés, elle a reçu des centaines d’insultes avant de supprimer ses comptes. Ses amis ont bien essayé de la protéger en la défendant, leurs appels ont été noyés dans le flot d’attaques. Le cyberharcèlement est désormais condamnable.

Depuis quelques années, les personnes majeures qui s’attaquent à des victimes de moins de 15 ans risquent une peine allant jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende. De son côté, la jeune fille peut être punie de 1 500 € d’amende pour avoir blessé ou entraîné volontairement la mort d’un animal. Si les faits sont qualifiés de sévices graves, la peine maximale encourue est de 2 ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende.

tristesse

Publié à 11:46 par fandeloup Tags : sur france mort
tristesse

Une louve a été tuée après une traque effectuée par des éleveurs accompagnés de lieutenants de louveterie.

La veille, une attaque du carnivore avait provoqué la mort d'une dizaine de brebis et beaucoup avaient été blessées.

Les bergers sont inquiets sur l'avenir de leur système d'élevage. Après être restés des heures aux aguets, des éleveurs accompagnés de lieutenants de louveterie ont tué une jeune louve de 25 kilos, dans le secteur d'Ancelle, où une dizaine de brebis étaient mortes la veille, victimes du carnivore, et des dizaines d'autres blessées.

Changer de garde

Mais les bergers sont inquiets, car l'attaque nocturne de mercredi a eu lieu non loin du village, près des bergeries. Les éleveurs sont inquiets. Ils rassemblent leurs bêtes pour les garder, mais la menace du loup risque de les obliger à modifier leurs habitudes.

"On ne peut pas avoir plusieurs chiens dans cinq ou six lots", explique l'un d'eux.

"On ne peut pas avoir non plus une surveillance permanente dans cinq ou six lots...

Pour nous, ça va nous compliquer la tâche et même remettre en question notre système d'élevage si le loup se met à attaquer jusqu'au pied des bergeries Depuis le début de l'été, l'un des éleveurs du secteur Christophe Arnaud a perdu une quarantaine de brebis, sur un troupeau de 500 têtes. Cette année, 33 loups ont été prélevés en France.

a savoir

Publié à 08:45 par fandeloup Tags : animaux image monde sur photo coeur femmes pouvoir
a savoir

J'aimerais que cette photo soit publié dans tous les endroits du monde... Dans les palais du pouvoir... Et aussi dans les laboratoires où s'effectuent des essais inutiles sur les animaux. Qu'il soit vu par tous... Petits et grands, noirs et blancs, des hommes et des femmes. Que cette image ouvrez la conscience afin que nous puissions dire clairement que les animaux ont un coeur et des sentiments... Ainsi que nous, les êtres humains. La seule différence entre nos sentiments et celui des animaux , c'est que les animaux sont mille fois plus nobles que nous °!°

justice

Publié à 18:15 par fandeloup Tags : france rouge homme sur femme mort animaux jeux
justice

Oise : il noie le hamster de son ex dans le bocal du poisson rouge

 Les deux animaux ont été retrouvés morts. 

Un jeune homme éconduit avait saccagé l’appartement de son ancienne compagne, en juin dernier à Beauvais. Il a été condamné à dix mois de prison ferme. La vengeance peut conduire aux pires bêtises. Et à la prison.

Matthieu P. peut en témoigner. Quitté il y a quelques mois par sa compagne, le jeune homme n’a visiblement pas supporté la rupture. Alors, le 11 juin dernier, il décide de se venger. Il pénètre dans l’appartement de Beauvais (Oise) de son ex-petite amie et saccage les lieux. La télé, une console de jeux, le frigo. Tout y passe. Les sous-vêtements de la jeune victime sont volés. Mais Matthieu P. ne s’arrête pas là. Visiblement rancunier, il s’empare du hamster du fils de la jeune femme, qu’il noie dans le bocal du poisson rouge. Les deux animaux seront retrouvés morts.

«Tu vas finir comme ton hamster»

Interpellé la semaine dernière à Beauvais par les policiers, Matthieu P. nie en bloc. Ce lundi, au tribunal, il continue. Tout juste concède-t-il des menaces de mort, caractérisées par ce SMS envoyée à sa victime : « Tu vas finir comme ton hamster ! »

Agressif, désinvolte, parfois menaçant quand il fixe sa victime assise dans la salled’audience, le jeune homme nie pourtant être l’auteur des dégradations. Son avocat, Me Mehdi Boudjenane, évoque « des présomptions mais pas de preuves ».

Si ce n’est, selon Florent Boura, le procureur, ce SMS « lourd de sens » où Matthieu P. explique à sa victime qu’elle l’a « bien cherché ». Un élément qui s’ajoute au casier judiciaire du jeune homme de 23 ans, déjà condamné à douze reprises — notamment pour des violences sur sa compagne. « Tout converge vers lui, souligne Florent Boura. Ce n’est pas un cambriolage, mais un acte de vengeance. »

Conformément aux réquisitions du procureur, Matthieu P. a été condamné à 18 mois de prison, dont 8 avec sursis. Il a été incarcéré.