Quand le rêve met les voiles .. Quand l'espoir fout le camp .. Quand le ciel perd ses étoiles .. Quand tout devient insignifiant

Pour que nos nuits deviennent jours... sans détour, ce ciel de nuit, je parcours ...á la recherche de ton navire pour qu'a ton sourire, mon coeur chavire...de mes rivages du souvenirs, je veux partir pour vivre

Qui vivra verra » et je veux voir, je veux voir le monde et me perdre dans ses paysages, et qu’importe si ce ne sont que des mirages il y a une route devant moi et je surmonterai les obstacles, au diable les virages et dérapages je mènerai mon navire vers de nouveau rivages avec l’aide de mon équipage

Vogue, vogue sur les lames de l’aurore .Mille feuillets d’écume portant mes adieux. Notre bateau ivre tanguant sur l’eau  a fait naufrage loin de mes rêves. Les vagues imprégnées d’amertume portent je crois, des couleurs de deuil. Le fleuve du chagrin noyé en ma peine, rempli l’urne de ma solitude. Où es-tu  mon ange, long est ce temps qui vagabonde sur l’eau ,se mirant au pouls de l’ombre. Les voiles du vent emmêlés de cordages claquent forts en leurs détresses. Je n’entends plus l’écho de ta voix murmurer à l’onde grise des je t’aime. Les paysages de mes yeux ne sont plus qu’une forêt de voiles sur la mer. Mort est mon cœur en longue agonie de larmes…..

L'amour est un petit bateau qui s'en va, tout joyeux, sur l'onde, voguant vers des pays nouveaux au hasard de sa course vagabonde

Ce soir tu ne le sais pas mais je suis là… Cachée entre des bosquets d’arbres avec au cœur des ruisseaux de larmes. Tu ne sais pas que sur mon corps tremblent les grands frissons blancs ,que loin de mes berges blanches s’en vont à la dérive le naufrage de mes rêves doux… Ce soir caché du soleil de ton ombre, Je contemple le visage de la solitude. Mille bateaux ivres secoués et perdus quittent le port de mes yeux. Dis moi si la lune de ses nuits est plus douce que la lune de mes rêves….

Embarquez sur son Navire pour une traversée éternelle dans le plus beau des ciels qu'est celui de mes mots..naufragére des maux

Je suis portée par le courant. Les vagues me bercent puis viennent s'écraser contre les rochers. Je m'accroche, tente de suivre le balancement. Surtout ne jamais perdre pied, ne pas me laisser engloutir par le tsunami de la vie. La surface de l'eau est couverte d'écume, celle des souvenirs, des éclats de rire, des images de rencontres et de bulles de chagrin. Une vague plus haute, saurais je la passer? Mais où est ma planche de surf, j'ai perdu mon voilier. Derrière la mer est calme, une mer d'huile saturée en sel, une mer morte? Non, un océan d'espoir, chaud, avec une eau qui enveloppe, qui caresse. A l'horizon, j'aperçois une île, "mon île". Je nage à toute vitesse, j'étends mes bras pour fendre l'eau, pour atteindre cette plage de sable fin. Ce n'est pas un mirage, le bonheur est peut etre  là.

Le "dragon boat" ou bateau-dragon est une pirogue traditionnelle originaire d'Asie du Sud-Est, notamment du Sud de la Chine. Cette très longue embarcation surmontée d'une tête de dragon à la proue est utilisée lors de courses qui mobilisent une vingtaine de personnes par bateau

Il ne faut pas lier un navire à une seule ancre, ni une vie à un seul espoir