inaugurée le 22 novembre 2011 par Christophe de Margerie, le PDG de Total, la plateforme pétrolière de Pazflor, au large de l'Angola, affiche des dimensions titanesques : 325 mètres de long, 62 mètres de large, 120 000 tonnes. La plateforme permet d'exploiter quatre réservoirs distincts, qui cumulent une superficie gigantesque : 600 kilomètres carrés, soit six fois la superficie de Paris, à environ 1 200 mètres de profondeur d'eau.C'est la plus grande barge flottante du mondeSous l'eau, un réseau de 180 kilomètres de lignes et 10 000 tonnes d'équipements relient les 49 puits (25 producteurs, 22 injecteurs d'eau et 2 injecteurs de gaz). Une structure extraordinairement complexe pour laquelle Total a du développer des techniques inédites.180 personnes travaillent sur Pazflor, dont 60% d'Angolais. Les employés de Total enchaînent quatre semaines detravail à bord, de 6h30 à 18h30, suivies de quatre semaines de repos. Un rythme éprouvant.L'un des principaux défis techniques consiste à produire deux huiles aux caractéristiques très différentes, issues de quatre champs distincts. Il a donc fallu inventer des pompes hybrides pour séparer le gaz des liquides au fond de la mer afin d'amener l'huile vers la surface.Total estime le gisement à 590 millions de barils, l'équivalent de 56 jours de la production mondiale de pétrole. La production doit atteindre 220 000 barils par jour, ce qui fera de Total la première compagnie opératrice en Angola et dans l'offshore profond africain.Le projet Pazflor a nécessité près de 9 milliards de dollars d'investissement. Les installations des premiers équipements sous-marins ont débuté à l'été 2010. Elles ont duré un an et mobilisé jusqu'à 6 bateaux de pose et 40 bateaux de support.La plateforme a été construite sur un chantier coréen et acheminée sur plus de 20 000 kilomètres vers l'Angola. Elle déploie une puissance électrique record de 120 MW, fournie par cinq turbo-générateurs de 24 MW, nécessaire pour faire face à l'alimentation des pompes. La nuit, la torchère brûlant le gaz excédentaire éclaire à plusieurs kilomètres à la ronde. Total prévoit de récupérer ce gaz pour alimenter son usine de liquéfaction qui entre en service en 2012. 10 à 15% du gaz extrait devrait être réservé pour les besoins énergétiques de l'Angola.Maintenue par 16 lignes d'ancrage, la plateforme est capable de stocker 1,9 million de barils dans sa coque. Tous les quatre jours, le pétrole est transféré dans des super tankers. Total est l'opérateur du bloc de production dont dépend Pazflor et détient 40% des parts aux côtés de Statoil, Esso et BP

Le silence et la brume. Le calme, la solitude. L'air frais qui se hume .L'eau miroir de quiétude .La barque et le pêcheur recherchent cette douceur .Celle du temps qui s'arrête. Du vide dans la tête ,ainsi le lac feutré ,baigné de nuages bleutés ,impose le silence

Encore combien de jour de mer en solitaire au gré des vents porteurs, gonflant ma voile sous les mugissements des lames déferlantes,j'entends dans cette immensité, gronder ses vagues, rien ne s'efface ,flottant sur l'écume amer je suis en partance vers l'incertaine latitude de ma longue solitude ,il me plais à plonger au sein de ton image douce, au bruit de cette plainte de ma propre rumeur sauvage dont jusqu'à lors je n'ai pu sonder ses abîmes, puis je reprend ma course de ce moment suspendu vers les endroits tourmentés d'une côte sauvage

Oui, c'est vrai : nous n'avons aucune emprise sur le vent ni sur la pluie ni sur les autres caprices du temps, mais nous pouvons virer de bord de façon à diriger notre navire dans la direction que nous souhaitons.

Parce que les maux sont parfois si forts…on ne trouve plus les mots…. Parce que le plus beau des voyages est celui que l’on fait dans son cœur… Même si cela nous fait mal, on en ressort plus fort… Parce qu’il existe d’autres rivages où l’on aimerait faire naufrage… Fais ce long voyage pour mener tes batailles…nous serons là à ton retour… Le Navire de tes mots flottera sur les nuages pour atteindre tes rivages… Pars si tu dois partir…dans ton revenir…nous t’offrirons nos sourires

Mon cœur ne suit pas ma pensée, je m'enlise dans le gouffre de mon âme ,les paroles s'ancre dans mes songes, mais rien ne devient peinture, juste une esquive au fusain ,les contours sont flous ,les lignes sont grossières, la couleur n'y es pas ,j'ai beau rechercher les primaires, rien ne vient ,aurais-je oublier la notion du dessinateur.Je met une touche de bleu, quelques traces de blanc se profile les vagues de l'océan ,dans le ciel gris bleuté ,la touche de l'oiseau est blanche, c'est une mouette la bas a l'horizon ,une touche d'orange ,c'est l'horizon qui s'embrase, a quelque doigt la majestueuse coque du voilier de mes envies, pas de terre a l'horizon, juste le voilier dans la tourmente ,attention une lame de fond va faire chavirer mon cœur, je me tiens a la barre, je suis le capitaine ,tu es mon matelot ,nous sommes seuls dans la tempête ...........................c'e?st drôle je n'ai pas peur

Naviguer dans le vent..naviguer dans le ciel à la recherche d'une vie plus belle... Un Bateau volant á la manière de Peter Pan...sans un Capitaine...non pas Crochet..juste notre un ami,ou l'équipage ne fait pas naufrage

Votre raison et votre passion sont le gouvernail et les voiles de votre âme qui navigue de port en port. Si votre gouvernail ou vos voiles se brisent vous ne pouvez qu’être ballotté et aller à la dérive ou rester ancré au milieu de la mer. Car la raison régnant seule est une force qui brise tout élan. Et la passion livrée à elle-même est une flamme qui se consume jusqu’à sa propre extinction.

Une mer calme n'a jamais fait un bon marin...

Sur la façade de mes joues, la tempête c’est abattu et retourner par le vent j’ai crié, pleuré comme le temps qui s’affole .Par cette mer maudite je pleure dans la demeure de l’océan ,mes larmes naviguent dans l’eau de mes yeux ,mon cœur hisse un navire de tristesse, et amarre un mouchoir blanc aux mâts de mes pensées