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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Il y a toujours, puisque je le dis,puisque je l’affirme,au bout du chagrin une fenêtre ouverte. Une fenêtre éclairée .Il y a toujours un rêve qui veille, désir à combler, faim à satisfaire, un cœur généreux,une main tendue, une main ouverte, des yeux attentifs. Une vie, la vie a se partager.
Au bord de ma fenêtre j’imagine les histoires que mon imagination devine. Je plonge ainsi dans mes souvenirs, dans ce qui m’entoure, pour me retenir, en évoquant chagrins, amours,tendresse .Prés de cette fenêtre, l’esprit se fond, dans le monde qui tourne rond,en plein dans une normalité, qu'il a du mal à assimiler. Ainsi petit à petit, j’ai créé cette position de repli, autour de cette fenêtre où j’imagine, simplement des poésies qui remplisse une vie, ou quelquefois des peurs se devinent….
Chaque conscience n'est qu'une fenêtre par laquelle l'univers se regarde lui-même
Ce matin là, elle se réveilla le ♥ décharné, les yeux harassé par la vie fatiguée, elle se leva péniblement, regarda par la fenêtre. Elle ne vit que le gris de ses visions qui fusait dans sa tête. Elle resta ainsi figée devant cette fenêtre à regarder dans le vide, maugréant contre les oublis de la vie. Elle finit par s'éloigner le pas lourd. Elle alluma une cigarette, la fumée opaque de ses voyages intérieurs dans le regard, elle pensait à sa vie qui s'étiolait, qui s'assombrissait, volait en éclats. Elle avait maintenant la nausée, celle d'un présent pesant, elle avait froid dans sa vie, elle était gelée. Elle aurait voulu mettre des tonnes de pulls sur son ♥, sur son âme en pagaille comme on met des pulls sur sa peau frissonnante mais rien n'aurait pu la réchauffer, elle se sentait tel un cadavre déambulant dans les couloirs des ténèbres des vivants. Elle pansait son organe de battements minutes comme elle pouvait, comme elle savait le faire tant bien que mal mais il n'y était plus, il faiblissait, agonisait, gémissait...
Les évènements de la vie quotidienne, les petites comme les grandes choses, vous savez, tous ces petits détails qui se passent tous les jours, comme quand quelqu'un vous offre un sourire, vous dit bonjour ou lorsque vous voyez un oiseau s'envoler, les branches d'un arbre danser avec le vent mais aussi regarder les gens vivre, l'un attend le bus, l'autre sert un café sur une terrasse, une vieille dame traverse la route avec grande difficulté, chacun occupé à vivre. Tous ces petits détails, ces petites choses sont merveilleuses, elles portent en elles toute la beauté du monde parce qu'elle sont la continuité de la vie. La vie s'exprime à travers tout cela, à chaque instant. La même vie qui coule en nous, qui nous anime et fait être ce que l'on est, un être vivant qui permet à la vie de s'exprimer.
Je ne suis pas très loin... Juste de l'autre coté de la fenêtre .Même si je me fais discrète. Je ne vous oublie pas. Chaque jour je passe vous voir. Même si je ne laisse pas de traces... Vous êtes dans mon ♥.. Je vous tend la main .Submergée par quelques maux. S' il vous plaît n en doutez pas... Vous vivez là .... En moi ... Là ou palpite la vie
La PAIX dans notre monde, est un RÊVE qui s'éveille ;
Il s'étire, il respire, sourit et s'émerveille, regarde par sa fenêtre : Bonheur et pauvreté, amour et solitude, misère et amitié. Pourquoi tant de souffrances ? Pourquoi tant d'injustices ? Quand on peut s'entraider en devenant complices .Des Sourires de la vie, des caresses enjouées où s'évaporent la haine, et la rivalité. Rêve qui s'éveille, s'étire, respire et m'émerveille
Se lever alors qu'il fait encore nuit et assister au lever du jour. Voir le ciel se parer de rose puis découvrir au fil des heures un soleil magnifique
Je suis là, immobile. Enfermée entre deux mondes. Je suis comme sur un fil surplombant un abîme profond. Le monde s'agite autour de moi. Des cris, des rires, des pleurs. Les sentiments fusent mais ne me touchent pas. Cette vie n'est qu'un leurre. Sous ma peau s'infiltre la peur. Comme un poison parcourant mon corps, qui imprime mes yeux de terreur et me laisse impuissante face à mon sort. Chaque étoile, scintillante jusqu'alors, brutalement, s'est éteinte. Le ciel n'est plus d'or. Voilé par les noirceurs dont mes pupilles se sont teintes. Mes sanglots retentissent au fond de l'abîme, dans un profond éclat qui me blesse, détruisant mes espoirs les plus infimes, m'abandonnant, dans une ultime détresse. Les mains attachées, le ♥ vidé, il ne me reste plus qu'à plonger dans l'abîme,monde inconnu et tant espéré...
Prisonnière de ma détresse, mon ♥ refuse de parler ..J'aimerai pourtant juste une fois me librérer, me confier ..Peu m'importe les infos, la politique et l'hymne national.. Entourée mais pourtant je suis seule avec mes angoisses.. J'accumule les soucis, c'est à croire que je porte la poisse .Toujours souffrir et encore faire semblant de s'aimer C'est un pa de plus vers cette obscurité.