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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ce très gros plan montre l’œil d'un éléphant, et les longs cils qui le protègent du sable et des débris. Les éléphants ont une vue relativement bonne , mais ce sont leurs larges oreilles qui leur permettent de détecter les dangers
IL y a des espaces de notre vie où le temps s'arrête , respecte ton rythme , tu vis toi aussi au rythme de tes saisons. Tu es enfant de mère terre . comment pourrait il en être autrement?
Inédit : Une girafe blanche
On retrouve beaucoup d'individus albinos et leucistiques dans le règne animal, de l'écureuil à la langouste en passant par la girafe.
Omo, le girafon blanc observé récemment dans le parc national de Tarangire en Tanzanie, est d'une grande rareté. Il arrive parfois qu’un individu tout de blanc vêtu naisse chez d’autres espèces, des aigles aux ours en passant par les langoustes. Il existe trois conditions qui peuvent être responsables de ce phénomène : l’albinisme, le leucisme et l’isabellisme. Les vrais albinos ne peuvent produire aucun type de pigment, d’où leur couleur blanche et leurs yeux rouges.
Les vaisseaux sanguins habituellement masqués par la couleur des yeux se voient au travers. L’albinisme est une mutation génétique récessive, c’est-à-dire qu’elle doit être transmise par les deux parents à leur progéniture.
Flocon de neige, un gorille des plaines de l’Ouest albinos, a reçu de ses deux parents la copie d’un gène que l’on retrouve chez d’autres animaux albinos comme les souris, les chevaux et les poules.
Les animaux leucistiques sont majoritairement blancs mais peuvent, eux, produire certains pigments. Par exemple, certains individus gardent la couleur de leurs yeux.
Deux atèles albinos récemment observés dans une forêt tropicale de Colombien étaient très probablement atteints de cette condition. La troisième condition, l’isabellisme, est causée par une mutation génétique qui dilue la couleur des plumes pigmentées des pingouins.
Les animaux atteints d’isabellismes se distinguent des albinos car ils peuvent quand même produire des pigments. Les adjectifs leucistique et isabelle sont parfois utilisés de façon interchangeable pour décrire la coloration brun pâle ou « blonde » des pingouins atteints de cette condition.
Comment sauver le plus grand animal du monde?
Des défenseurs de l'environnement travaillent sans relâche pour sauver les girafes d'une «extinction silencieuse». Si chaque écolier connaît l'animal le plus grand au monde, la girafe est souvent oubliée lorsqu'il est question de conservation. Au cours de ces 15 dernières années, ces herbivores africains sont passés d'environ 155 000 à près de 97 000 aujourd'hui, ce que certains scientifiques qualifient d'« extinction silencieuse ».
La perte et la fragmentation de leur habitat, associées au braconnage, seraient les principales causes de leur déclin, mais en l'absence d'efforts de conservation sur le long terme, il est difficile de connaître les raisons exactes. Les scientifiques en savent très peu sur le comportement des girafes, ce qui n'arrange rien : leur mode de vie, l'espace dont elles ont besoin pour survivre, les lieux où elles évoluent et les raisons de la longueur de leur cou.
D'après l'Union internationale pour la conservation de la nature, toutes les girafes appartiennent à une seule et même espèce, divisée en neuf sous-espèces. Cependant, une étude publiée en 2016 remet en cause cette idée et suggère qu'il y aurait quatre espèces distinctes, chacune vivant dans une région différente de l'Afrique. Si tel est le cas, les girafes du Nord ainsi que les girafes réticulées pourraient compter moins de 10 000 spécimens chacune.
Connue pour sa robe aux motifs reconnaissables entre mille, la girafe réticulée vit principalement dans le nord du Kenya, mais il est possible que certaines populations subsistent au sud de l'Éthiopie et en Somalie. Le nombre de girafes réticulées a chuté de 80 % ces dernières décennies à cause de la destruction de leur habitat et du braconnage. David O'Connor (écologiste spécialisé dans la conservation pour l'organisation San Diego Zoo Global), Julian Fennessy (directeur général de la Fondation pour la conservation des girafes basée en Namibie), l'ONG Northern Rangelands Trust, qui rassemble plusieurs refuges communautaires du nord du Kenya, et l'organisation The Nature Conservancy collaborent sans relâche afin de démêler le mystère qui se cache derrière leur déclin rapide.
Les gardes-forestiers du Service de la faune kényan ont attendu que le calmant fasse effet. Après 5 à 10 minutes, la girafe s'est mise à adopter une démarche hésitante, signe des effets du médicament. Une équipe a ensuite entouré les jambes de la girafe d'une corde afin de l'amener au sol en toute sécurité.
Pendant la première semaine de juin, les scientifiques ont muni de colliers 11 girafes des refuges de Loisaba et de Leparua et leur ont accroché de minuscules GPS fonctionnant à l'énergie solaire au niveau des ossicônes, ces protubérances osseuses en forme de cornes situées au sommet de leurs crânes. Le processus n'est pas une mince affaire.
Au cours des récents travaux de terrain, Mathew Mutinda, le vétérinaire du Service de la faune kényan, a lancé une flèche sur l'épaule ou l'arrière-train d'une girafe réticulée à la fois depuis une voiture et d'un hélicoptère. Signe que le médicament fait effet, la girafe se met à adopter une démarche semblable à celle d'un cheval lipizzan. Quatre homme entreprennent ensuite d'entourer rapidement et calmement les jambes de la girafe avec une corde afin de l'amener au sol en toute sécurité. Après environ 10 minutes, les spécialistes posent les GPS et relâchent l'animal.
Ces GPS fourniront des données précieuses sur l'habitat de prédilection des girafes réticulées ainsi que sur leur aire de répartition, entre autres. Il est essentiel pour leur survie de connaître quelles sont les régions qui leur sont vitales aux différentes périodes de l'année et la façon dont elles se déplacent sur l'ensemble du territoire. Si le dispositif porte ses fruits, la pose de colliers sur les girafes pourrait être une solution afin d'assister les communautés et les refuges dans la protection de ces icônes africaines majestueuses.
Au sein du refuge Namunyak situé au Kenya, une girafe orpheline est nourrie par son soigneur de la communauté des Samburu. Les Samburu sont traditionnellement des éleveurs nomades. La population de cette région a été très impliquée dans la création et la gestion de la zone de conservation Namunyak dédiée aux espèces sauvages.
Des girafes réticulées courent à travers la zone de conservation de Leparua située au nord du Kenya. Au cours des 30 dernières années, leur nombre a chuté de près de 40 %.
Ces photos de bébés paresseux rappellent le besoin de les protéger Dans son nouveau livre intitulé Slothlove, la photographe Sam Trull nous fait découvrir les coulisses d'un sanctuaire pour paresseux au Costa Rica.
Âgé de quelques mois, Kermie, un paresseux à deux doigts, développe ses compétences en escalade. Malgré leur large sourire, les paresseux (pantouflards câlins au poil hirsute du royaume animal) sont en danger.
Les six espèces qui vivent en Amérique centrale et en Amérique du sud sont soit menacées d'extinction, soit en net déclin, en raison de l'invasion ou de la destruction de leur habitat. La photographe et protectrice des primates Sam Trull a consacré plusieurs années à la description de ces charismatiques habitants des arbres.
« J’ai déménagé au Costa Rica afin de travailler aux côtés des primates, puis j'ai rencontré mon premier paresseux », et on connaît la suite, explique-t-elle. Dans un refuge géré par l'association américaine à but non lucratif Kids Saving the Rainforest, Sam Trull a participé aux soins de nombreux bébés paresseux orphelins ou abandonnés, dont la plupart sont ensuite relâchés dans la nature. Tout au long de son expérience, elle a rendu compte de son travail à travers ses photos, publiées dans son premier livre intitulé Slothlove. Dans la pouponnière gérée par l'association Kids Saving the Rainforest, Kermie, Ellen et Pelota, paresseux à deux doigts, se pelotonnent les uns contre les autres.
Comment vous êtes-vous intéressée à la photographie ?
Je travaillais en Afrique de l'ouest pendant un certain temps et j'avais un appareil photo numérique basique : c'est à ce moment-là que j'ai commencé à m'exercer. Lorsque vous découvrez un autre pays, tout vous paraît photogénique, et c'est comme ça que je me suis mise à prendre des photos de tout ce que je croisais. À mon retour en Caroline du Nord, je me suis lancée dans la photographie de familles et de mariages, et des photo-reportages pour quelques journaux. Par la suite, j'ai déménagé au Costa Rica avec Kids Saving the Rainforest, où j'ai commencé à travailler dans un centre de soins pour animaux sauvages.
Âgé d'un mois, ce paresseux à trois doigts répondant au prénom de Monster joue avec la tige d'un hibiscus, l'un de ses péchés mignons.
Qu'est-ce que ça fait de travailler auprès des paresseux après avoir passé autant de temps aux côtés des primates ?
Je suis tout bonnement tombée amoureuse et me comportais en maman de substitution. Puisque j'avais souvent mon appareil photo sous la main, je me suis mise à prendre des photos d'eux. J'en suis venue à les aimer et à les respecter, à tel point que j'ai voulu tenter de les sauver. Ma première motivation consistait à sensibiliser les gens au sujet des paresseux, car il y a énormément de fausses informations qui circulent. J'entends des choses insensées, telles que « les paresseux ne sont jamais stressés », ce qui est absolument faux.
C'est peut-être dû à cela que les paresseux ne sont pas très respectés. De nombreuses personnes ne réalisent pas qu'être renversé par une voiture, attaqué par un chien ou se retrouver coincé dans des fils électriques sont des menaces particulièrement dangereuses. Les gens pensent simplement que les paresseux sont mignons, câlins et ne ressentent jamais le stress ; ils prennent donc des selfies avec eux, ne s'imaginant pas une seconde que le paresseux est contrarié.
Mon petit chouchou est un paresseux à trois doigts prénommé Monster. Nous l'avons accueillie quand elle n'avait que deux semaines et elle était comme hystérique. C'était une minuscule boule de poils que nous avons trouvée alors qu'elle traversait la route et elle n'arrêtait pas de pleurer. La première nuit, j'étais incapable de la calmer ; je l'ai tenue dans mes bras, j'ai marché avec elle... mais impossible de la tranquilliser.
Je n'en ai pas dormi de la nuit. Le lendemain matin, un des autres bénévoles est venu et a demandé comment allait le nouveau bébé paresseux. Je lui ai répondu : « ce paresseux est un petit monstre ! » et c'est de là que son nom est venu, ce qui me semble fou désormais puisqu'il s'agit de l'animal le plus adorable qui ait jamais existé.
Tout au long du livre, je parle de Monster et des origines de son prénom ironique, mais le livre a été publié avant qu'elle ne soit relâchée dans la nature. Elle a maintenant deux ans et demi, a été libérée et se porte comme un charme. Comme pour tous les paresseux que nous avons relâchés, nous la suivons au moyen d'un collier émetteur, grâce auquel nous voyons comment ils se portent.
Nous étudions différents aspects de leur comportement et apparemment elle n'a jamais été aussi heureuse ! Nous avons fondé le Sloth Institute of Costa Rica (« Institut pour les paresseux du Costa Rica ») en 2014 et il s'est considérablement développé depuis. Notre principal objectif consiste à remettre en liberté les paresseux élevés par les humains car il s'agit là d'un processus long et fastidieux.
Nous avons également entrepris des recherches comportementales sur les paresseux dans leur habitat naturel, au cours desquelles nous avons pu constater qu'ils sont en pleine forme ; cela nous permet d'obtenir toutes sortes d'informations afin de les préserver des conséquences négatives que peuvent avoir sur eux les humains.
Les hippos hippopotame
Bien que l'hippopotame rassemble toutes les conditions pour être un "gros herbivore gentil"... Il est en fait extrêmement violent. Ils sont extrêmement difficiles à étudier, pour la simple et bonne raison qu'ils chargent les humains à vue. La plupart des cas d'attaques sur les humains sont sur les habitants même, mais il arrive parfois qu'ils attaquent les touristes en safari. Une touriste chinoise au Kenya a été tuée en essayant de prendre des photos d'hippopotames.
Tanzanie: Une girafe blanche rarissime naît dans un parc national
La girafe blanche Omo est le seul spécimen dépigmenté connu du parc national en Tanzanie dans lequel elle est née…
L’image est exceptionnelle. Le scientifique Derek Lee, chercheur et fondateur du Wild Nature Institute, a réussi à immortaliser Omo, une jeune girafe atteinte de leucistisme, une maladie génétique qui entraîne une dépigmentation.
L’animal, âgé de seulement 15 mois, est parvenu à survivre à sa première année dans le parc national de Tarangire en Tanzanie. Ces premiers mois sont souvent les plus dangereux pour les girafons, leurs prédateurs étant particulièrement nombreux.
« Omo évolue au sein d’un grand groupe de girafes au pelage classique. Elles n’ont pas l’air de se préoccuper de sa couleur blanche », a précisé le scientifique Derek Lee. Si des spécimens d’antilopes sing-sing, d’autruches ou de buffles albinos ont déjà été observés, Omo est la première girafe blanche connue dans le parc.
Le chercheur se dit toutefois inquiet, les cas de braconnages étant fréquents, la couleur unique de son pelage pourrait attirer des chasseurs mal intentionnés.
Il photographie un point d’eau pendant 26h et nous livre ce cliché époustouflant
De nombreuses photographies capturent l’étonnante beauté naturelle de l’Afrique, mais certaines ont un petit quelque chose en plus. Ce cliché lui, est tout simplement époustouflant. C’est un travail de composition...
De nombreuses photographies capturent l’étonnante beauté naturelle de l’Afrique, mais certaines ont un petit quelque chose en plus. Ce cliché lui, est tout simplement époustouflant. C’est un travail de composition photographique exceptionnel, une prouesse que l’on doit au photographe de renom Stephen Wilkes, dont le travail a déjà été exposé dans de prestigieuses galeries ou encore publié dans des revues telles que le National Geographic.
Dans sa série Day to Night, Wilkes s’amuse à capturer le jour et la nuit sur une même image, créant ainsi la rencontre poétique entre deux ambiances qui se croisent et se chevauchent. De véritables résumés de 24 heures de vie compilés en un seul cliché.
L’un d’eux, capturé au Parc National du Serengeti, en Tanzanie, est particulièrement remarquable. Cette image, simplement intitulée Serengeti National Park, Tanzania, est un composite de 50 photographies sélectionnées à partir de plus de 2200 clichés capturés par le photographe américain.
Zèbres, gnous, hyènes, hippopotames, éléphants, et même quelques mangoustes, au total, pas moins de 26 heures de patience et d’endurance auront été nécessaires pour capturer les allées et venues de certains des animaux les plus emblématiques de l’Afrique au cours de la journée.
L’image, capturée en mars de l’année dernière, n’a pas été prise au hasard. Situé au beau milieu d’un flux migratoire en période de sécheresse, le point d’eau attire en effet du monde. Beaucoup de monde.
Mais contre toute attente, proies et prédateurs semblent enterrer la hache de guerre quand il s’agit de s’abreuver. Finalement, ce sont Wikes et son assistant qui se sont sentis menacés : « Si vous regardez de près dans l’eau à la gauche de l’image, vous pouvez voir le dos bulbeux d’un hippopotame.
Quand nous sommes arrivés, ces hippopotames ont commencé à se parler les uns les autres tout autour de nous, et nous nous sommes sentis en danger. Même si je savais que les hippopotames étaient dangereux, je ne savais pas à quel point. Ce n’est que plus tard que j’ai appris qu’environ 90 pour cent des gens chassés par un hippo finissaient morts. »
Malgré le danger évident, cette journée aura donc été inoubliable. Le moment préféré du photographe restera notamment cette ligne d’éléphants en arrière plan, au centre de l’image, qui a été prise juste à temps, avant le coucher du soleil, alors que Wilkes et son assistant sauvegardaient leurs photos sur ordinateur.
Notre existence s'écoule en quelques jours..Elle passe comme le vent du désert..Aussi..tant qu'il te restera un souffle de vie..il y a deux jours dont il ne faudra jamais t'inquiéter..Le jour qui n'est pas venu et celui qui est passé..