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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Magnifique paysage d'hiver qui ,peut aussi avoir son charme et sa beauté quand il est comme cela. On l'admire, on le respire, on s'en impreigne dans le silence qui obligatoirement nous habite à cet instant.
Prend le temps de vivre chaque moment comme si c'était le premier et le dernier à la fois... N'oublie pas qu'il n'y a pas d'endroits où arriver, ni aucun but à atteindre... juste "être"... Détend toi dans cet instant présent, et hume le parfum unique de ce moment !
S'enfermer dans le silence... Dans ce mutisme qui m'octroie la voix. Pour n'être plus qu'une proie aux abois. Qu'hurle la bête sans queue, ni tête. Quand le monde l'aveugle de sa bétises, De la cruauté d'une humanité inhumaine...
https://youtu.be/8o_7y2bV7hY
L'ours brun “Goiat” filmé à la frontière espagnole + AA - Souvenez-vous, en 2016, un ours brun nommé « Goiat » faisait son arrivée sur le versant espagnol des Pyrénées.
Provenant de Slovénie, il venait ainsi renforcer la population centrale d'ours dans les Pyrénées, qui avait presque disparu il y a une vingtaine d’années. Aujourd’hui, des images tournées à la frontière espagnole par l'équipe en charge du suivi de ce mâle, témoignent de la bonne santé de l’ours.
L'objectif de cette opération aérienne consistait à vérifier l'état et le bon fonctionnement de son collier de surveillance, car le plantigrade peut parcourir de longues distances, parfois dans des endroits escarpés où le signal GPS peut se perdre. L'équipe d’observation a également repéré tout près de l’animal les restes d'un cerf semi-enterré.
Le cervidé servirait de garde-manger à l’ours à l’approche de son hibernation ! Comme beaucoup de mammifères, c’est aussi le temps des réserves pour l’ours brun. Gourmand, il n’hésite pas à s’engraisser au maximum ! Il accumule des réserves de graisse pour jusqu’à 30 % par rapport à son poids habituel. L’ours brun se régale d’une nourriture riche en calories.
Il profite des fruits secs de saison comme les glands et les châtaignes mais aussi de l’herbe tendre des prairies, des lichens et des mousses dans les sous-bois. Mais l'animal, opportuniste, n'hésite pas à s'attaquer aux gibiers, cervidés et autres grenouilles, qu'il collecte entre les boisements et les pâturages
Près de l’orangerie d'étoile, ton bois supporte, la course des feuilles, le bruit à néant qui exhorte des songes, ciel plongeant, frivole écureuil
Les chasseurs se voient en protecteurs de la nature L’idée est difficile à imaginer dans un contexte de déclin massif de la faune. Pourtant, c’est en tant que défenseurs de la cause animale que les chasseurs justifient leur pratique.
Les chasseurs se voient de plus en plus en protecteurs de la nature, voire en garants de la biodiversité. En Afrique, certains tuent des espèces protégées, moyennant d’importantes sommes d’argent (Lire ici un extrait de notre dossier sur le sujet). Leur axe de défense : les fonds reviennent aux habitants et aux plans de gestion des réserves.
En France aussi, les chasseurs ont recours aux mêmes arguments pour justifier leur pratique. Selon eux, ils participent à la régulation du nombre d’animaux. Un raisonnement difficile à entendre dans un contexte global d’extinction massive : une centaine d’espèces animales disparaissent chaque jour, dont 26 % de mammifères et 13 % d’oiseaux.
David Pierrard est directeur de l’école de chasse du Domaine de Belval, dans les Ardennes. Une propriété de la fondation Sommer, qui gère aussi le musée de la chasse et de la nature, à Paris. Pour lui, le rôle du chasseur est primordial dans la gestion des espèces. En particulier, dans le cas du grand gibier, comme les chamois, les cerfs, les chevreuils ou les sangliers. « On a refusé, par principe, de tuer les bouquetins, regrette-t-il.
Résultat ?
Il y a deux ans, il a fallu organiser une grande battue, en Haute-Savoie, car leur prolifération avait entraîné l’apparition de la brucellose, une infection bactérienne qui peut contaminer aussi les bovins. » En Suisse, le canton de Genève a interdit la chasse depuis 1974. Une initiative qui porte aujourd’hui ses fruits : le nombre d’oiseaux a augmenté, les cerfs ont recolonisé les bois, le petit gibier, comme le lapin, abonde. « Mais, en l’absence de chasseur, précise David Pierrard, le canton doit payer des fonctionnaires pour enrayer la prolifération des sangliers, des lièvres et des cerfs, qui endommagent les cultures. » Les chasseurs participent également, selon lui, à une meilleure gestion des milieux naturels, notamment l’habitat des canards et des gibiers de plaine : « Qui a intérêt, sinon les chasseurs, à entretenir les mares et les étangs, où vivent les canards ? Et, concernant le gibier de plaine, le faisan ou la perdrix, les fédérations de chasse dialoguent avec les agriculteurs pour que les populations se relèvent. »
Des années d’agriculture intensive et d’utilisation de produits phytosanitaires ont endommagé leur milieu de vie, en particulier les haies, et détruit leur nourriture, essentiellement constituée d’insectes. La fondation Sommer vient d’ailleurs de lancer son premier appel à projet en faveur de la biodiversité, dont l’objectif est « de promouvoir la gestion durable de la nature, en particulier de la faune sauvage ». Le guide de chasse et pilote Ray Atkins se détend dans sa cabane, non loin du parc national et réserve de Denali, en Alaska. Dans la zone protégée, un guide peut gagner gros. Atkins facture 14 000 dollars une expédition de chasse de huit à dix jours.
Les chasseurs peuvent-ils réellement être les garants de la biodiversité ? Ce raisonnement peine à convaincre la société , globalement hostile aux chasseurs. Selon un sondage Ifop de 2016, 8 Français sur 10 souhaiteraient que le dimanche soit un jour non chassé. Sur son site internet, l’association Rassemblement pour une France sans chasse explique pourquoi elle veut abolir la pratique. D’abord, parce que la chasse n’est pas éthique, la mort d’un animal ne pouvant faire l’objet d’un amusement ; ensuite, qu’elle est une source de gène et d’insécurité pour les promeneurs ; enfin, qu’elle est préjudiciable à la faune sauvage : la pratique a notamment des répercussions sur la distribution géographique des espèces et engendre des modifications de comportement chez les animaux. Pis encore, selon l’association, le plomb des cartouches s’accumule dans l’organisme des canards, provoquant des cas de saturnisme. Pour défendre les chasseurs, David Pierrard affirme que « les gens ne savent plus ce qu’est la nature.
Quand on montre à la télévision, un renard endormi contre une poule, on devrait ajouter la mention : ceci est une fiction. En réalité, la mort est partout dans la nature : le renard tue le campanile, l’aigrette mange le poisson. Tout ceci est nécessaire au bon fonctionnement des choses. »
Deux oursons jouent dans une des forêt des Carpates en Ukraine. Volodymyr Burdiak raconte qu'il ne s'attendait pas à les voir sortir des buissons, et il n'a eu que quelques secondes pour prendre cette photo avant qu'ils ne retournent dans les bois auprès de leur mère.
À Inuvik, au Canada, deux rennes s'enfoncent dans la neige sur la route reliant Inuvik à Tuktoyaktuk.
Une caméra cachée a surpris un grizzli en train de se nourrir de la carcasse d'un bison dans le parc de Yellowstone.
Des grizzlis se baignent, jouent, s'éclaboussent dans une mare du parc national de Yellowstone.