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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Faites le savoir mais faites un geste pour eux Partagez , commentez .... Signez des pétitions , mais pas n'importe quoi Rendez vous si possible dans des colloques , informez vous ..... Sur le terrain c'est là qu'il manque de jambes , de caméras et de surveillance de ces Bandits de hauts chemins qu'on nomme Éleveurs , Braconniers , piégeurs ..... Détruisez ces pièges ..... Enfin faites quelque chose pour eux
Marcher, c'est retrouver son instinct primitif, sa place et sa vraie position
Si on parle autant du loup , c'est que c'est un animal fascinant avec un ordre bien établi pour chacun dans la meute . Pourtant , un poignée le diabolise encore . Il serait temps de changer ces mentalités Ou l'homme ne voit qu'un bout de viande en chaque animal et éradiquer ce qui les concurrences .... Bien triste ce bas monde gérer par le plus grand incapable ''L'HOMME"
Un chasseur du Chablais reconnaît avoir abattu un loup, il risque jusqu'à deux ans de prison
Le 1er octobre 2017, le cadavre d'un loup était découvert à Féternes, dans le Chablais. Six mois plus tard, le suspect révélé par l'enquête a avoué les faits, selon une information du Dauphiné Libéré confirmée auprès du parquet de Thonon-les-Bains. Il n'était pas menacé Il s'agit d'un chasseur à la retraite, âgé de 65 ans, qui n'est pas "quelqu'un d'engagé dans la lutte contre le loup" précise une source judiciaire.
"Il a vu passer l'animal à une trentaine de mètres de lui et a tiré à trois reprises."
L'auteur du tir, assure-t-on, n'était pas menacé par la bête. Ce sont des témoignages ainsi que des éléments fournis par la police technique et scientifique qui ont permis d'identifier formellement cet habitant du Chablais, qui a été convoqué en audition libre à la gendarmerie de Thonon-les-Bains début avril. Coopératif, il a reconnu les faits et précisé avoir tiré avec une carabine de chasse.
2 ans de prison, 150 000 € d'amende
Pour l'heure, les enquêteurs attendent les retours de l'analyse balistique afin de confirmer s'il s'agit bien de l'arme utilisée avant toute mesure de confiscation. La date de l'audience n'a pas encore été fixée. La destruction d'espèce protégée est un délit dont la peine maximale encourue est de 2 ans de prison et de 150 000 euros d'amende.
Nous n'avons pas domestiqué le loup, c'est lui qui nous a amadoués
Pour expliquer comment le chien est passé des rigueurs du froid au confort de nos canapés, nous avons tendance à nous donner le beau rôle : des chasseurs-cueilleurs attendris par des louveteaux, auraient cherché à adopter des loups. Avec le temps, ces loups domestiqués se seraient montrés d'excellents chasseurs, et les humains les auraient gardés autour de leurs feux de camp ; au fil des évolutions ils sont devenus des chiens. Cette idée largement répandue vient d'être remise en cause.
En regardant de près l'histoire de notre relation avec les loups, c'est une autre histoire qui se dessine. Tout d'abord, le loup a été domestiqué à une époque où l'homme ne tolérait guère de rivaux carnivores. Quand l'homme moderne est arrivé en Europe il y a environ 43 000 ans, il a graduellement éliminé tous les grands carnivores, y compris le chat à dents de sabre et la hyène géante. Les fossiles ne permettent pas de savoir si l'homme moderne a causé la disparition de ces grands carnivores indirectement en les affamant ou plus activement en les éliminant. Il n'en reste pas moins que, la quasi-totalité du bestiaire de l'âge de glace a disparu.
L'hypothèse que l'homme se serait servi du loup pour chasser ne résiste pas non plus à l'analyse : en effet l'homme était déjà bon chasseur (bien meilleur que tous les autres grands carnivores), sans le loup. De plus, les loups sont voraces (il faut environ un cerf par jour pour dix loups) et donc il est difficile de coexister avec eux pour les nourrir.
Enfin, ils ne sont guère partageurs, il suffit de voir leur comportement pendant qu'ils se nourrissent pour s'en persuader. Enfin, loin de les adopter, les humains ont tout fait pour les éradiquer tout au long de l'histoire. Au cours des siècles derniers, presque toutes les sociétés avaient réussi à éliminer les loups jusqu'à l'extinction. Les premières preuves écrites de cette persécution remontent au sixième siècle Avant Jésus Christ : Solon d'Athènes offrant une prime pour chaque loup tué. Le dernier loup a été abattu en Angleterre au 16ème siècle sur ordre d'Henry VII.
En Ecosse, où la densité des forêts faisait obstacle à l'extermination des loups, on n'a pas hésité à mettre feu aux forêts pour s'en débarrasser. Le loup n'était guère mieux loti en Amérique du Nord. Dès 1930, il n'y avait plus de loups dans le bloc des 48 Etats d'Amérique. Dans ces conditions, comment expliquer que cette créature honnie ait pu se maintenir assez longtemps parmi les hommes pour évoluer jusqu'à devenir notre chien domestique ? Une nouvelle hypothèse, construite sur l'évolution, pourrait donner une explication. Elle est issue d'une étude du Dr. Brian Hare qui dirige le Duke Canine Cognition Center et de Vanessa Woods, chercheuse à l'UNiversité Duke (Caroline du Nord - Etats-Unis).
Nous pensons communément que l'évolution implique la « survie du plus fort et du plus agressif » et la « disparition des plus faibles et des plus pacifiques ». Or, avec le chien, c'est le caractère « du plus sociable » qui a permis sa survie. Selon l'étude du Dr. Brian Hare et de Vanessa Woods, il est plus probable que les loups aient fait le premier pas (alors qu'ils cherchaient leur nourriture dans les détritus autour des campements) et non l'inverse. Ceux des loups qui osaient s'approcher mais étaient agressifs ont sans doute été abattus par les humains ; seuls ceux qui osaient s'approcher mais se montraient sociables ont pu être tolérés. La sociabilité a changé bien des choses chez le loup : il s'est transformé, sa robe s'est tachetée, ses oreilles sont tombées et il a commencé à remuer la queue.
En quelques générations, le loup sociable se différencie de son cousin sauvage et agressif. Et, au-delà de l'apparence, il change aussi de comportement (de psychologie) car le proto-chien a appris à interpréter les gestes de l'homme. Habitués que nous sommes à avoir un chien, nous trouvons normal qu'il coure derrière une balle ou un bâton pour nous le ramener. Mais cette faculté des chiens à interpréter nos gestes est tout à fait surprenante. Même nos plus proches cousins, les chimpanzés et les bonobos y arrivent plus difficilement. Le chien se comporte un peu comme le petit de l'homme dans la façon dont il nous observe. Cette faculté autorise un degré de communication extraordinaire avec nos chiens. Certains sont tellement proches de leurs maîtres qu'ils perçoivent des signes aussi discrets qu'un changement de direction du regard.
Une fois doués de cette nouvelle faculté de communication, les proto-chiens sont devenus de précieux alliés pour la chasse. Aujourd'hui encore, les tribus du Nicaragua repèrent leurs proies grâce à des chiens. Dans les montagnes, la chasse aux rongeurs est 56 % plus fructueuse avec un chien que sans. Au Congo, les chasseurs disent qu'ils ne survivraient pas sans chiens. Les chiens font aussi office de gardiens alertant par leur aboiement de l'approche d'intrus des tribus voisines. Ils défendent ainsi leur maîtres des prédateurs. Et pour finir, de bon gré ou non, en cas de nécessité, on pouvait se rabattre sur les chiens comme sur une réserve alimentaire en cas de besoin.
Sans moyen de préservation ou de stockage des aliments, les chasseurs-cueilleurs ont constitué leurs premières réserves alimentaires sur le dos des chiens domestiques. En cas de disette, on pouvait sacrifier les moins bons chasseurs parmi les chiens pour préserver le groupe ou les chiens les plus doués. A partir de la prise de conscience de l'intérêt des chiens comme réserve alimentaire d'urgence, il n'y avait qu'un pas pour comprendre que les plantes pouvaient servir à cet usage.
Ainsi, l'Homme ne s'est pas laissé attendrir par un louveteau avant de l'adopter, mais c'est probablement plutôt une meute de loups qui a amadoué l'homme pour son profit. Lorsque l'homme a réalisé qu'il avait intérêt à posséder un chien, les conséquences pour lui ont été aussi importantes que pour ces animaux. On peut même avancer l'hypothèse que les chiens ont été les catalyseurs de notre civilisation.
Rien ne peut être vendu. Cette terre nous ne pouvons pas la vendre car elle ne nous appartient pas. Nous ne pouvons pas vendre la vie des animaux et des hommes. Pourquoi ne pas vendre l'air ou la mer immense ?
Une beauté forte et fragile, une figure splendide plantée dans l'espace sauvage, je me lasse pas de te regarder.