Et maintenant je suis seule dans le froid ; Maintenant que tu es parti, que tu m'as laissée là. La neige couvre la ville de son manteau blanc ; Et je reste immobile au milieu des passants. Je croyais que l'amour était le plus beau des présents ; Mais il m'a blessée si profondément… Une rose aux épines tant acérées ;  il y a la lune et les étoiles ; Mais je suis seule à les regarder scintiller cette nuit. Je suis seule sous le ciel, anéantie. J'ai beau penser aux moments passés à tes côtés ; La magie s'est envolée, la rose s'est fanée.

Mes pleurs sont à moi, nul au monde ne les a comptés ni reçus, pas un oeil étranger qui sonde,les désespoirs que j’ai conçus.L’être qui souffre est un mystère parmi ses frères ici-bas ; Il faut qu’il aille solitaire s’asseoir aux portes du trépas. J’irai seule , souffrant mes maux sans les chanter ; Car je sentirais à les dire ,plus de douleur qu’à les porter

L’âme sœur, une sorte d’accord parfait entre deux êtres prédestinés à se rencontrer, quelqu’un capable de nous rendre heureux, quelqu’un avec qui on a envie de vieillir, une seule personne faite pour nous, comme une sorte de part manquante originelle dont on aurait gardé la marque dans notre chair et notre âme

Il ne reste rien, que le vide dans ma mémoire et mon esprit, mais où êtes-vous pour ne jamais me donner de réponses, il ne reste rien dans ma vie... Je vis de mondes imaginaires, de personnages magnifiques et d'aventures fantastiques, car il ne reste rien de bien dans ma vie... Mais l'imaginaire parfois a des limites, et je retombe sur terre, triste et désespérée, et il ne reste rien, juste de pauvres illusions qui s'évanouissent sans un retour...

Ne pas confondre espoir et illusion, car si l'espoir fait vivre, les désillusions peuvent faire le désespoir

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle .Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, et que de l'horizon embrassant tout le cercle ,iI nous verse un jour noir plus triste que les nuits;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées d'une vaste prison imite les barreaux, et qu'un peuple muet vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, des cloches tout à coup sautent avec furie et lancent vers le ciel un affreux hurlement, ainsi que des esprits errants et sans patrie qui se mettent à geindre l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

Tenter tant bien que mal de passer outre, les méandres du passé et ses doutes. Ne pas penser au futur, à ses incertitudes empreintes de brûlures. Vivre pleinement l'instant présent, quand celui-çi rime avec bonheur permanent. Croquer la vie à pleine dent, ne saisir l'image qu'à son firmament. Ne pas se cloîtrer dans les erreurs qu'on a pu faire, au risque de voir sa vie se transformer peu à peu en enfer. Essayer de ne pas anticiper l'avenir, fermer les yeux sur les "que vais-je devenir ?". Avancer au jour le jour, mettre un pas devant l'autre sans jamais faire de détours. Prendre la vie comme elle vient, profiter de tous ces moments magiques auxquels on tient. Faire table rase du passé, Oublier les rêves qu'un à un, on a vu se briser. Ignorer de quoi demain sera fait, ne pas s'en soucier puisque notre destinée est d'hors et déjà tracée.

Mon amour est l'étoile guidante dans la nuit,féerique, éternellement chaleureuse, fondante, jamais sèche,

L'amour c'est comme le feu, faut pas jouer avec

La réalité de nos peurs:

On a pas peur du noir, on a peur de ce qui dedans

On a pas peur des hauteurs, on a peur de tomber

On a pas peur des gens qui nous entourent, on a peur d'être rejeter

On a pas peur d'aimer, on a peur de ne pas être aimé en retour

On a pas peur d'essayer encore, on a peur d'être blesser pour la même raison ...