Lentement le temps glisse il insiste, il persiste il nous entraine de force pousse pour nous, certaines portes en ferme aussi d’autres… A qui la faute ? Au temps qui passe, qui jamais ne se lasse d’éroder tout ce qu’il touche de tout user jusqu’au bout… Les premières rides, les rires qui deviennent sourires les premiers cheveux gris tout nous ternis… Qu’on le veuille ou non, que l’on soit bon ou con irrémédiablement nous s’usons nous changeons… Avec le temps, nous nous refermons, pour un tas de raisons, des autres, nous nous éloignons d’autres rencontres nous faisons… Mais au final, au fondde soi, au fond de nous que trouvons – nous ? Des sentiments différents, pour chacun de nous, probablement… Des sentiments érodés avec le temps, et au final que reste-t-il ? Un grand vide, un sentiment d’abandon, le ressenti de la solitude… On peut vivre accompagné être très bien entouré, et pourtant au fond de soi ressentir la solitude et l’abandon parce que plus personne ne se donne la peine d’essayer de comprendre les autres, de voir en face qui est réellement l’autre. Et ce n’est pas parce qu’il est sur l’autre rive qu’il faut l’ignorer…

Se taire , pour plaire, pour ne pas faire pour ne pas déplaire… Se taire, pour de bonnes raisons, parce que c’est la meilleur solution pour éviter les questions Se taire, faut-il toujours se taire, faut-il mieux se taire que de relever les affaires ? Se taire, un temps, un moment longtemps… Se taire, peut-être pas toujours l’idéal, surtout pour éviter de faire mal oublier des choses pas banales. Se taire, un jour, pour toujours… Le silence est d'Or, la parole est d'argent... Ne dit-on pas?

Parce que un sourire peut cacher tellement de choses, qu'une larme dévoile tout un secret !

J'ai trempé ma pacifique plume dans les reflets tendres de l'écume, vagues émouvantes de nos souvenirs évaporés, ondes bleues aux miroirs flottés, a la recherche des récifs magnétiques de mes bonheurs, oubliant les sombres abysses de mes douleurs, trouvant des bateaux de liberté a mes vastes silences embarqués, vaisseaux arrimés aux ancres indélébiles, voguant, errants, vers ces lointaines îles,aux lames de mes rencontres inspirantes, migrateurs rendez-vous de nos fragiles destinées,ou les gestes solidaires aux eaux reliées nous apprennent de leur houle apaisée Combien "donner" est le voilier du mot "aimer". Océan des possibles aux multiples regards, la mémoire est le port du hasard.

Savoir se contenter de ce que l'on a constitue le plus haut degré de bonheur

Rien ne sert de courir pour attraper le bonheur. Au contraire, ralentissons. Il finira bien par nous rejoindre.

Les larmes, qui ne s'écoulent plus sur le visage, s'écoulent dans le coeur

On rêve d’un idéal, on le prie, on l’appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves

La musique seule a une place dans le monde actuel, précisément parce qu'elle ne prétend pas dire des choses déterminées.

Il faut parfois tomber de très haut pour se rendre compte qu'on a des ailes...il faut parfois tomber bien bas pour se rendre compte qu'on peut remonter très haut...il est bon de s'asseoir un instant...au milieu des autres ..regarder , écouter la vie