Fruit de son imagination… Fruit extrême de la passion… Fruits en coulis qui s’étend sans raison. Mot de nulle part… Mot qui s’égard… Mot sans l’ombre d’un regard… Signes indécis… Signes lorsque tu souris… Signes, tu devines. Jouer de son clavier… Jouer à se faire dévoiler… Jouer en se laissant succomber. Monde irréel, et pourtant si réel, Monde à part, et pourtant quelque part, Monde insensé, et pourtant si censé, Monde qui n’est que miroir de notre société.

Dans un dernier souffle, entendez ça colère Pas celle de l'homme mais celle de la terre regardons impuissant ce monde de misère qui ce meurt, ettouffé par nos malheurs

Mes mains vous parlent ! Prolongement de ma pensée, Confirmation de mes paroles, Parfois même devancées !

Elles se lèvent, Elles s’abaissent !

Elles s’ouvrent, Elles se joignent !

Elles se tendent, Elles se replient !

Elles s’agitent, Elles se posent !

Elles caressent, Elles menacent !

Elles acquiessent, Elles rejettent !

Langage émotionnel, Langage universel !

Elles expriment mes émotions, Elles dévoilent mes opinions, moi, je l'avoue.... j'ai beaucoup de pensées... mes mains parlent donc beaucoup...! est ce incensé ? C'est moi, c'est tout ! Les entendez vous ?

J'écoute le silence de mon cœur La patience de son âme sœur J'entends la science de mes blessures L'expérience m'enseigne que rien n'est sûr. Puissance des sentiments vivants Souffrance, j'ai senti que tu me mens Ressentis, ressortis du plus profond passé ,fille aimée, enfant blessé, fille dépassée. Je masque du présent le temps d'avant Les marquants d'hier s'envolent au vent Délaissante et naissante, blessante et blessée

Les peines :

Il y a tant de peines dans une vie, Il y a tout d'abord celle du cœur, Qui renverse à jamais toute une vie, Et que nous perdons ainsi le bonheur.

Il y a également les peines de la souffrance, Qui nous font perdre parfois, la douce espérance, Mais qui nous conduit à des idées tristes et noires, Et qu’ils nous anéantissent, chaque jour chaque soir.

Il y a aussi les peines d’une famille déchirées, Qui nous pousse à dire des choses insensées, À vivre la douleur de son pauvre cœur désespérer, À rester triste par notre obstination tellement bornée.

Il y a tant de peines,oui vous voyez, Que l’on peu rencontrer dans la vie.

La solitude est utile. Il faut parfois ne parler qu'avec soi-même. On entend alors de dures vérités ou d'agréables mensonges selon qu'on s'analyse ou qu'on s'imagine...♥♥♥

La saison de mes humeurs au travers de mes faiblesses...

Quand je suis parfois dans mes états d’âme, que souvent je me sens seule et perdue, alors là réclament mon cœur et mon âme, une paix profonde attristée par mon âme déçue...

J’ai froid et j’ai peur, j’ai le cœur tellement rempli de glace, J’aimerai dans mon ♥ que le printemps reprenne sa place, pour y semer un peu de douceur dans mon âme et mon cœur, afin de retrouver oui le sourire dans le doux et beau bonheur... Alors là je désire que mes pleurs, et mes peines, soient repoussés .

Je veux aussi voir ,oh oui, toujours le soleil briller, dans mon humble cœur ,comme un beau temps d’été...

Dans les épreuves de la vie, Toujours tu grandis, Tu vis tes sentiments, tes émotions, Tu apprends de tes vibrations…

Ton désespoir t’apportera sérénité, Avec le temps, raison équilibrée, De tes déboirs résultera éventuellement, Un cheminement intérieur florissant...

Parfois ouvre le tiroir de ton cœur, Où tu as enfoui tous tes malheurs, C’est une nécessité d’y retourner, Pour voir tes blessures se cicatriser... Cœur blessé restera toujours, Mais tu sauras avancer à ses cotés, Adoucissement de tes souvenirs, Renaissance pour l’avenir…

Je ne suis qu’une ombre qui passe dans cette vie. J’erre dans ce monde à la recherche d’un sens à ma vie. Je n’arrive pas à m’envoler car on a détruit mes ailes à ma naissance. Depuis, je rampe sur cette terre et n’arrive pas à être libre. Libre de m’envoler comme tout les autres qui, autour de moi, sont heureux. J’essaie de passer le temps en attendant.Là où enfin je serai libérée, où je pourrai transcender tout mes défauts génétique. Où je n’aurai plus aucunes contraintes et ou je pourrai enfin accomplir ce que je doit accomplir. Ce n’est pas dans cette vie que je peux me servir de ce que je suis. Ceci, à cause du fait que je suis rejetée de toute cette société.Le fantôme de moi-même qui erre dans le noir de la souffrance à la recherche d’une étincelle.Une étincelle qui fera renaître mon cœur et le fera enfin vibré. Je cris cette souffrance, mais personne ne l’entend car, je ne suis qu’une ombre qui passe dans cette vie. Je ne suis qu’un fantôme.Le temps est long, interminable avant d’être rendue où je dois être.Un mal de vivre étouffant, qui sournoisement me ronge et me détruit en me tuant à petit feu. Qu’est-ce que j’ai fais,pour méritée un tel châtiment, une telle souffrance !!!! Aurais-je commise un crime impardonnable dans une autre vie !!!

Tout ce qui est sous et sur la face de la terre, ne cesse de se tranformer, car la terre est un être vivant, et elle a une âme. Nous sommes une part de cette âme, et nous savons rarement qu’elle travaille toujours en notre faveur