Je serais ton soleil sur ce ciel d'été, la plume dansant sur un bout de papier. Tu seras mon rayon de lune, l'inspiration de ma plume. Je serais cet iris de feu, celui qui brillera dans tes yeux. Tu seras l'air de mes poumons, car vivre sans toi c'est l'oppression. Je serais cette douce neige qui tombe, de tes paroles tu me feras fondre. Tu seras cette saveur, cette essence, celle qui donnera à ma vie un sens. Je serais ce grand vent de passion, celui qui balayera ta raison. Tu seras cette douce lueur, celle qui éclaireras mon coeur. Je serais pour toi, et pour moi, tu seras.

Merci d'être la, merci de votre gentillesse, merci de votre amitié, merci de faire vivre cette page, merci d'aimer, merci pour vos commentaires merci à ce qui me suivent chaque jours sur cette page,

Pour chaque beauté il y a un oeil quelque part pour le voir. Pour chaque vérité, il y a une oreille quelque part pour l'entendre. Pour chaque amour il y a un cœur quelque part pour le recevoir.

Bonjour, Réveil matinal pour certains, plus tardif pour d'autres. Sucré pour certains, salé pour d'autres. Soleil pour certains, pluie pour d'autres. ...et la liste est infinie

Que l'on soit l'un ou l'autre il est primordial de partager tous et chacun, cette même envie de mettre tout en œuvre pour rendre cette journée agréable et légère. On prend quelques minutes à soi pour apprécier le calme du matin qui apaise et adoucit, un café, notre sourire et ... hop hop hop .... et c'est parti

L'empreinte laissée par un amour véritable se lit dans la tristesse du regard.

Parfois, je préfère garder mes sentiments pour moi, parce que c’est difficile pour quelqu’un d’autre de comprendre ce que je ressens.

ll arrive qu'on pleure non pas parce qu'on est triste, mais tout simplement parce qu'on a été fort trop longtemps et qu'aujourd'hui on est fatigué de se battre.

Les vieux ne parlent plus ou alors seulement parfois du bout des yeux .Même riches ils sont pauvres, ils n'ont plus d'illusions et n'ont qu'un ♥ pour deux.Chez eux ça sent le thym, le propre, la lavande et le verbe d'antan. Que l'on vive à Paris on vit tous en province quand on vit trop longtemps. Est-ce d'avoir trop ri que leur voix se lézarde quand ils parlent d'hier.Et d'avoir trop pleuré que des larmes encore leur perlent aux paupières. Et s'ils tremblent un peu est-ce de voir vieillir la pendule d'argent qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, qui dit : je vous attends

Change ton regard sur le monde, et le monde changera ...

Les paroles prennent un sens quand en premier, ils sont compris au delà de tous les mépris vers le chemin des conséquences.