Allez viens, laisse-toi prendre par la main. Il est temps que tu découvres mon jardin .Il est sorti tout droit d'un autre âge, Parfois dompté, parfois sauvage ,Moitié château, moitié cimetière ,Mariant Versailles et Fougère ,J'y suis depuis toujours seul maître .Mais la solitude est un grand traître ,On s'y sent souvent abandonné, On profite du silence pour méditer. Il a conservé certains fruits du paradis En abritant ronces, chardons et soucis ,Belles roses rouges, rarement sans épines ,Bien qu'aux odeurs fraîches et câlines. Viens, entre dans mon vaste enclos, Où je me ressource, trouve du repos, Prend connaissance de mon moi vrai, Pénètre enfin mon jardin secret

Penser c'est vivre, vivre c'est penser. Pas de pensée sans prise de risque. Pas de pensée qui ne soit un affrontement personnel avec le monde. Penser c'est aussi frôler le précipice, assumer le désespoir et la solitude qui peuvent en résulter

Partir, c'est mourrir un peu ; c'est mourir à ce qu'on aime. On laisse un peu de soi-même en toute heure et dans tout lieu

Beaucoup de personnes cherchent à se représenter l'infini. Imaginez deux glaces ayant les mêmes formes et dimensions, posées en face l'une de l'autre : l'infini est le reflet qu'elles se renvoient.

Ayez la sérénité d'accepter ce que vous ne pouvez pas changer, le courage de changer ce que vous pouvez et, surtout, la sagesse d'en connaître la différence.

Il faut se contenter de découvrir, mais se garder d'expliquer

Avec la liberté de celui que la culture n'a pas entièrement englouti, le vagabond de la musique ramasse le morceau de verre qu'il trouve sur la route et le tend vers le soleil pour en faire jaillir mille couleurs.

Il y a des saisons aux larmes,qui ne sont pas ses larmes. Il y a Des saisons pour parler,qui n'est pas sa voix.Il y a le chagrin de saisons,qui n'a pas été justifié..Il y a des douleurs de saisons vides..Jours semblables et blanc..Il y a l'incertitude et des semaines de nuits..Longue impatience d'heures..et il y'a Parmi eux ceux qui ont gaspillé notre passé et ceux qui insistent sur une perte de notre avenir.

La nature ne pardonne pas, n'oublie rien... Des coups, elle peut en supporter mille et rendre soudain ... non pas oeil pour oeil, mais apocalypse

Les yeux sont le reflet de l'âme