En ce moment, beaucoup de gens ont renoncé à vivre. Ils ne s'ennuient pas, ils ne pleurent pas, ils se contentent d'attendre que le temps passe. Ils n'ont pas accepté les défis de la vie et elle ne les défie plus.

Partir à la rencontre profonde de l'autre, c'est découvrir, avec le temps, que nous avions un rendez-vous important avec nous même.

Chaque personne qu'on s'autorise à aimer , est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.

Nos moments de lumière sont des moments de bonheur; quand il fait clair dans notre esprit, il y fait beau

Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d’hiver, au détour d’une rencontre. Le papa jardin et la maman jardin avaient fait ce qu’ils croyaient le mieux à faire pour ce petit jardin inattendu. Ils lui donnèrent de l’engrais, lui apportèrent leur présence, lui proposèrent leurs attentes et leurs demandes. Ils surveillaient jalousement les pousses. Si d’aventure quelque herbe folle poussait là, elle était aussitôt arrachée. Il fallait que tout pousse droit. Sinon, que diraient « les autres » ? Peu de mots étaient échangés. Pour ces parents là, il n’était pas nécessaire de parler, d’exprimer. Ils avaient la croyance que tout se vit en silence, à l’intérieur, à l’abri de l’extérieur. Et le petit jardin avait grandi, comme cela, sans poser de questions, en jardin obéissant, sans repères, sans mots pour se dire, sans être entendu. Plus tard, devenu grand, le jardin rencontra un jardinier extraordinaire qui avait dans son sac de fabuleux outils.

Ces outils s’appelaient :

- oser se dire,

- oser dire non,

- oser recevoir,

- oser demander,

- se relier à soi,

- se relier aux autres,

- se relier à son histoire,

- utiliser les symbolisations,

- ne pas vouloir agir sur l’autre,

- agir à son bout de la relation,

- et d’autres encore…

Enfin le jardin sentit la vie venir en lui, belle, possible. Dans sa terre, il retrouva ses demandes jamais dites, ses désirs jamais dits, ses besoins. Il entendit, derrière les souffrances, les blessures encore ouvertes. C’était tout cela qui faisait mal, qui empêchait les racines d’aller plus loin, vers l’eau, vers la vie. Les choses changèrent quand le jardin s’autorisa enfin à être « l’auteur » de sa vie… Des fontaines jaillirent et arrosèrent la terre. Cette terre pouvait enfin laisser venir en elle un autre regard, d’autres possibles… Avec, au plus profond du cœur de ce jardin,une infinie yendresse, claire comme l’eau de la fontaine au printemps, lumineuse comme le soleil d’été, chaude comme l’amour offert une nuit d’hiver, légère comme un vent d’automne quand le soir tombe, une douce tendresse pour le jardinier de la vie.

L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.

Toutes les histoires d'amours finissent un jour, toutes ! Certaines se brisent à cause de la trahison, d'autres à cause de la distance ou encore à cause des sentiments qui n'étaient pas assez fort ou bien tout simplement pas réciproque...Mais, il y a aussi les histoires d'amours qui durent longtemps, même très longtemps... Celles-ci aussi se brisent, mais pas de la même façon, ce sont les plus belles histoires d'amours car elles se sont briser à cause de la maladie, la vieillesse ou encore d'un accident ; à cause de la mort...C'est ces histoires-là dont on doit être fière parce que pour une fois ce n'est pas de notre fautes si elles se sont briser mais de la faute du destin..

Transportée par les notes.Invisible sous l’effet de la musique.Son corps est en transit. Impossible de refaire surface. Les notes l’embarquent dans son délire. Les cordes glissent sous ses doigts. La musique l’empoigne.Son archer passionné ne laisse aucun son muet. Harmonie,tout n’est que délice. Les notes s’échappent si violemment que son violoncelle tremble sous ses mains. L’effet est immédiat

L'essentiel c'est d'être aimé. Le reste importe peu,la seule vérité c'est compter pour quelqu'un quoiqu'il puisse arriver. C'est entrer dans son ♥ et n'en sortir jamais

Partir quand il n'y a plus rien à dire, ou partir parce qu 'on y croit si fort. Ce sentier,était le dernier. Ne pas se retourner de peur d'etre à nouveau blesser