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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les chiffres démontrent que ces parcours sont viables. Les filières Technologie et sciences industrielles du supérieur affichent un taux d'insertion supérieur à 91 %. Quant au salaire médian, il s'élève à 2 100 euros nets par mois. C'est mieux que le droit, les langues ou l'économie. Ces formations sont dédiées à de futurs ingénieurs généralistes.
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 91 %
Taux d'emploi stable : 86 %
Salaire net médian : 2 100 €
Prof de sports, mais de plus en plus management, technique, rééducation : les débouchés de la filière S.T.A.P.S. s'élargissent. Les taux d'emplois sont plutôt encourageants en comparaison à d'autres filières plus généralistes (A.E.S., L.E.A....) Néanmoins, cette fillière "passion" peine à transformer l'essai côté salaire : le revenu moyen deux ans après la fin des études se monte à 1 700 euros et 50 % des anciens étudiants seulement bénéficient du statut "cadre".
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 90 %
Taux d'emploi stable : 79 %
Salaire net médian : 1 700 €
Prestigieuses, les études de droit se situent au milieu de notre classement. Si le gros des effectifs parvient à trouver un emploi dans les deux ans, 10 % des diplômés n'ont pas intégré le marché du travail , selon les chiffres fournis par les anciens étudiants. Les salaires demeurent supérieurs à ceux de beaucoup d'humanités (langues, histoire...) mais sont en retrait par rapport à d'autres disciplines où les besoins sont nombreux (ingénierie...)
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 90 %
Taux d'emploi stable : 74 %
Salaire net médian : 1 930 €
Si neuf étudiants en langues sur dix ont un job deux ans après leur sortie, leur parcours est loin d'être simple. En témoigne un salaire médian proche des disciplines voisines (1 750 euros nets par mois contre 1 700 euros pour la linguistique) et un taux d'emploi stable modeste (71 %). Le gros des étudiants se destine au professorat, étant donné la faiblesse des autres débouchés (traduction, recherche...).
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 90 %
Taux d'emploi stable : 71 %
Salaire net médian : 1 750 €
Mécanique des fluides, thermodynamique, chimie organique... Les enseignements des filières génie des procédés semblent profiter à leurs étudiants. 86 % d'entre eux ont un emploi stable deux ans après leur sortie du supérieur selon les chiffres publiés par le secrétariat d'Etat à l'Enseignement supérieur. Le salaire médian attractif des anciens élèves - supérieur à 2 000 euros - démontre les besoins des entreprises en la matière.
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 89 %
Taux d'emploi stable : 86 %
Salaire net médian : 2 070 €
Les chiffres sont dans la bonne moyenne pour les économistes. 89 % d'entre eux ont un job deux ans après leur sortie et le salaire médian net frise les 2 000 euros par mois. Les débouchés possibles - la banque, l'audit, l'assurance - continuent d'embaucher une bonne partie des effectifs. Mais là aussi, les inégalités de ressources et de réseaux se font jour entre parcours universitaires, écoles de commerces et instituts d'études politiques.
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 89 %
Taux d'emploi stable : 74 %
Salaire net médian : 1 990 €
Sans surprise, les généralistes sont dans la moyenne. Les formations AES, qui mélangent droit, éco, socio, langues ou COMPTABILITÉpermettent à presque trois quarts des étudiants de trouver un job stable dans les deux ans. Les salaires médians déclarés par les anciens sont légèrement plus élevés qu'en L.E.A. (langues étrangères appliquées, + 50 euros), mais beaucoup plus modestes qu'en filière gestion (- 300 euros).
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 89 %
Taux d'emploi stable : 72 %
Salaire net médian : 1 780 €
Le champ des débouchés est vaste, mais le secteur est en crise. Deux ans après avoir décroché leur diplôme, un tiers des ex-étudiants en Infocom n'ont pas trouvé d'emploi stable. La précarisation croissante des métiers de la communication, du marketing, du web ou du journalisme expliquent en grande partie ce chiffre. Obstacle supplémentaire : les filières universitaires sont souvent désavantagées par rapport aux écoles de commerce, d'informatique ou de journalisme.
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 89 %
Taux d'emploi stable : 67 %
Salaire net médian : 1 800 €
Comme en sciences de l'éducation, pas facile de faire son trou avec un diplôme en sciences du langage. Ainsi, 38 % des étudiants sortis en 2011 n'ont pas trouvé d'emploi stable fin 2013. La concurrence avec les filières langues et L.E.A. rétrécit les débouchés dans la fonction publique et l'enseignement. Restent des gisements d'emplois rares et spécialisés comme la rééducation au langage, la traduction informatique ou la documentation.
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 89 %
Taux d'emploi stable : 62 %
Salaire net médian : 1 600 €
Trouver un emploi, c'est possible. Mais trouver un emploi stable et bien rémunéré avec un diplôme de "Sciences de l'éducation" s'avère beaucoup plus complexe. Les débouchés dans l'éducation (hors enseignement) la formation professionnelle ou l'insertion sont limités. Deux ans après avoir décroché leur sésame, près d'un étudiant sur deux n'a pas trouvé de job stable (la proportion la plus forte).
Statistiques deux ans après le diplôme :
Taux d'insertion : 89 %
Taux d'emploi stable : 53 %
Salaire net médian : 1 600 €