Avec notre propre mélodie avancer naturellement a petits pas ou grands pas c'est toujours en aimant la vie et ses présents qu'il faut vivre en souriant. A tous les chemins d'avant et de maintenant. C'est chanter et danser chaque jour sereinement

La nuit abaisse ses paupières. Le petit jour cligne des yeux. C'est l'heure du grand chant de la terre porté au ciel par l'oiseau bleu

Au-dessus de l'eau vont les goélands dessinant aux cieux des moutons volants,des vagues ailées que leur plume azure,coupant le ciel bleu comme une césure. Et d'un cri strident ponctuant leurs vers, raturant l'espace à tort et à travers. Ho que ne puis-je être au moins goéland

Amour en cage, veines d'un ♥, attente d'un partage pour brûler de bonheur.

La nature a beaucoup de moments tristes que nous perçoivent pas. Cette fois, vous verrez une série d'images de deux oiseaux Hirundo rustica où l'on peut les voir en bas avec une blessure mortelle, et une démonstration de l'amour inconditionnel de sont ami, qui reste à proximité, couverts de leurs ailes, donne des aliments et de l'eau, et l'accompagne à la mort. Je suis très désolé pour ce poste, mais ça vaut la peine l'amour qu'ils peuvent ressentir les animaux. ?
Les oiseaux quand ils tombent amoureux,ne trompent pas j'usque à la mort

Je m'approche de toi, en te regardant fixement, ton regard profond, ce regard noir, qui n'appartient qu'à toi.Tu hésites un moment, tu me laisses t'approcher, puis d'un coup d'ailes tu t'échappes, hors d'atteinte, tu observes, puis tu te lances, frôles mon bras, laisses ton empreinte,et retournes sur ton observatoire, tes serres, me serrent le cœur et l'âme, marquant ta possession.Tu te décides à nouveau, tu tournes, y-a-t-il une autre proie alentour.Sans doute, plus facile, plus difficile, plus insaisissable.Mais tu reviens.Je te fais sans doute peur,et ça tu n'aimes pas.Il te faut apprivoiser cette peur, pour rester le prédateur.Alors tu t'échappes plus loin.Jouisseur indécent de mes craintes de te perdre.Mais mon audace te manques, alors tu reviens à tire d'ailes.Moi je n'ai plus peur de toi, je m'avance encore un peu, comme je voudrais toucher ton cœur, ta confiance.Tu es mon Aigle, mon aigle royal, mon aigle loyal, tu veux t'envoler loin, mais ton nid, toujours y reviens, tu sais mon indulgence plénière, pour ton désir de liberté totale, tu veux voler, planer, être bercé par les vents, et puis, comme tombé du ciel, plus prés de moi tu reviens te poser, de ton bec, tu viens toucher ma joue, vais-je oser caresser ton cou.Tes yeux, ont allumés en moi le soleil, tu es mon oiseau merveilleux, tes serres me serrent le cœur quand tu t'éloignes saurai-je t'apprivoiser, te donner, cet amour et cette liberté.Maintes fois déjà, tu vas et tu viens.Tu vas et tu reviens.Mon cœur est en danger quand tu es loin de moi, je ne suis qu'un papillon, qui sur ton aile voudrait se poser, sans peser……

L'espérance est un petit oiseau qui se perche sur notre âme et qui chante une chanson sans paroles sans jamais se lasser.

Quand nous mettons en péril l'air, l'eau, le sol et la diversité de la vie, nous volons l'infini à l'avenir pour satisfaire un présent éphémère.

Mere tu es, mère tu seras ; ce que tu donnes tu recevras

Ce qui est vrai, c'est beau! Mais ce qui est beau, est peut- être vrai! Les plus belles choses de la vie ne commence pas par leur beauté, mais par leur vérité!