Quand on perd ce qu'on a petit à petit, c'est là qu'il ne faut pas baisser les bras. Il faut se battre pour ceux qu'on aime, même seule contre tout

Dans le monde, vous avez trois sortes d'amis : vos amis qui vous aiment, vos amis qui ne se soucient pas de vous, et vos amis qui vous haïssent.

J'ai arrêté de regretter mon passé. Maintenant, j'ai réalisé que je dois l'accepter, car il est une partie de mon présent et la base de mon futur. C'est grâce à tout ce que j'ai vécu que j'ai appris que je ne pouvais pas tout contrôler, que les évènements allaient et venaient. J'ai réalisé que la vie n'est pas celle que je croyais, qu'elle n'est pas toujours facile. La vie est dure et on doit se battre pour ce que l'on désire, ce que l'on veut..

"Elle ouvre ses yeux immenses et m'explique que malgré le temps, les rides et la mémoire qui flanche, les jolies choses restent intactes. Alors quand la vie fait sa garce, parce que la vie peut facilement nous faire dérailler et prendre un mauvais tournant, il ne faut pas hésiter à descendre au plus profond de soi et refaire jaillir une odeur, une matière, une image, une note de musique, quelque chose de doux pour affronter la violence et, surtout, s'en protéger."

Le monde est plus joli à regarder avec le cœur, les yeux ne voient pas la bonté des gens mais la beauté externe. Les gens ont un cœur, une âme souvent cachée par une apparence. Cette apparence est parfois dure et autoritaire pour masquer un passé difficile, parfois elle est marquée d'un sourire qui masque la souffrance et les larmes. Cette apparence est naturelle et communicative et surtout sincère. Mais tout le monde à au fond du cœur, une joie de vivre, un besoin d'aimer et d'être aimé. Il ne faut pas juger une personne sur son apparence, qu'elle soit grosse, maigre, petite, grande, d'une couleur de peau différente, handicapée, il faut accepter les personnes telles qu'elles sont sans les juger à leurs apparences. L'amour et l'amitié ne peuvent être combinés que par la tolérance et pas sur l'indifférence. Tout le monde à droit à un instant de bonheur dans sa vie, tout le monde à le droit de vivre en toute harmonie sans être dévisagé ou montré du doigt. Soyez solidaire et regardez autour de vous, je suis sure qu'il y a des gens très bien que vous voyez différemment à présent.

Si les psys proclament qu'il est toujours préférable de "dire les choses", je crois que c'est un leurre. Parler revient seulement à formuler le mal qui vous ronge, non à l'expulser. Ce n'est pas comme de vomir un repas indigeste, une réaction naturelle qui vous laisse purgé, lavé et prêt à vous remettre à table. Tout ce que l'on peut penser, après s'être confié, c'est "Voila, je l'ai dis et... rien n'a changé

Les caresses des yeux sont les plus adorables, elles apportent l'âme aux limites de l'être et elles livrent des secrets aucunement ineffables dans lesquels seul le fond du cœur peut apparaître et comprendre; leur langage est plus fort que toutes les paroles prononcées.

Pour moi peut importe le physique d'une personne , le plus important c'est la mentalité .

Les souvenirs sont comme des post-it. On les griffonne dans le désordre, puis ils vont se coller à d'autres pages de la mémoire et ne ressurgissent que par hasard, coupés de leur sens.

J'ai existée... et puis j'ai découvert que j'ai des yeux ...j'ai médité sur ce qui m'entoure et puis j'ai constatée que j'ai la faculté de raisonner..Alors j'ai voulu comprendre.. comprendre tout, le monde, l'homme, la nature, l'existence.. j'ai commencé à m'interroger, à poser des questions, à analyser .. Et quand mon cerveau a baissé les bras pour une première fois avouant que son entendement est limité, j'ai assimilé la loi du coeur, j'ai compris l'importance du reve..quand ces questions m'ont fatiguée, j'ai découvert que j'ai droit au repos, droit à la sérénité ..que le rêve et l'imagination me garantissent les voyages les plus merveilleux dans le temps et l'espace..... Voyage terminé, je reviens pour recommencer le cycle merveilleux de mon bonheur modeste