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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Je suis figée. Je ne suis plus rien, comme immobilisée dans l'espace temps, dans l'hyper espace... Je suis comme une feuille d'automne qui se fane, écrasée par le pas des passants. Quelque chose qui se meurt et qui n'attend plus... Les choses m'échappent et l'indifférence me tient lieu d'etre. Je suis, mais je plane au-dessus de tout. Je voudrais, mais je ne fais plus, j'aimerais, mais je ne peux plus... Toute tristesse, toute crainte ont disparues. VIDE...voilà, je suis vide dans cette maison habitée par notre absence : un objet, là, inutile, même plus décoratif. Je regarde sans voir, j'écoute sans entendre, je sens sans apprécier, je veux sans pouvoir, ni oser mourir... Coincée là dans cette vie qui ne veut plus de moi , cette vie qui me repousse et m'enchaîne au vide de mon âme. Même plus envie de sortir, d'aimer, de le prouver, incapable de sortir de cette impasse, coincée, vidée de ma substance, immobile, éteinte, presque morte déjà, muette sur ma douleur qui ne dit pas son nom, qui ne dit plus rien du tout, mais me cloue au mur du désespoir...
Sur mon visage glissent les couleurs de toute une vie, les moments de joie intense et les peines se mélangent formant un arc-en-ciel sur ma peau, étrange palette faite de diverses sensations coulant sur mon visage comme des tas de mots, je songe à se passé à la couleur douce amère, à ce présent que rien ne retient et a ce futur si incertain et j'ai peur, peur de me tromper quand dans ton regard je découvre une lueur d'amour qui semble me dire non n'ait plus peur des toujours, car je t'aimerais à jamais mon amour
Comme tu es parti, mon cœur se perd dans ma vie, est ses méandres Je te rêvais si fort .Tu étais mon calmant, mon repos. Comme tu es parti, de mes yeux coulent de l’eau.Je croyais être forte, mais je pleure sur ma vie est sur mes doigts .Ici le soleil me semble froid .Ton départ et mauvais pour le cœur.Avec toi j’étais dans un monde où je pouvais attendre que le bonheur m’inonde.Si loin de mes rêve et de mes nuits. Aujourd’hui je n’en dort plus .Aujourd’hui sans toi je suis perdu ,je ne plus m’endormir dans ce monde idéal. Ce paradis clair entouré d’aurore boréales .Ce monde créer pour et par toi mon ange. Comme tu es parti je me perd dans mon monde etrange.
On vit très bien avec une douleur, vous verrez, une fois que la connaissance est faite. On lui découvre des subtilités, des replis. On en devient le spécialiste.
Douleur sourde qui gronde, prisonnière rugissante, captive de mon être, comme le noir de l’abîme, elle renaît dans ma chair en lames gémissantes.
Mes pleurs sont à moi, nul au monde ne les a comptés ni reçus, pas un oeil étranger qui sonde les désespoirs que j’ai conçus ,l’être qui souffre est un mystère parmi ses frères ici-bas ; Il faut qu’il aille solitaire s’asseoir aux portes du trépas. J’irai seule et brisant ma lyre, souffrant mes maux sans les chanter ; Car je sentirais à les dire plus de douleur qu’à les porter
Le temps passe si lentement et je me sens si fatigué ,le silence des morts est violent quand il m'arrache à mes pensées ,je rêve de ses ténèbres froides, électriques et majestueuses, où les dandys se tiennent roi des loin de leurs pulsions périlleuses
Tu dis elle est fade.. Elle est laide.. Ses yeux sont ternes..Oui mais elle était gaie.. Elle était belle.. Ses yeux brillaient quand elle aimait
,La confiance, c'est comme une larme, Si elle tombe, elle ne reviendra jamais.