La douleur a effacer toutes les couleurs que tu as dessiné sur mon coeur

Qui saura voir mon véritable MOI que je pourrai exposer sans gêne.. Qui acceptera mes peines et mes joies et m'aimera quand même ?

Les larmes sont un langage qui ne peut être compris que par celui qui a déjà pleuré.

Se sentir impuissante. . Face au mal qui ronge le corp et l'esprit. . Ne plus contrôler nos pensées et se laisser envahir de soucis. Pleurer soulage sur le moment mais ça n'efface rien, Plus les jours passent et plus grand est mon chagrin ! Qu est ce que j'aimerais retrouver l insouciance de mon enfance .. Se contenter de jouer,de rire .. Mais par la force des choses j'ai du vite grandir !. J'ai brûler des étapes et je ne peux plus faire machine arrière. Qui aurai cru que ça serais ça qui me boufferai aujourd'hui ?! Alors pour occulté cette peine,c'est des autres que je me soucie .. Plus le poid sur les épaules est lourd , plus je m affaibli . Mais j'ai toujours été comme ça on ne peux pas me refaire. . Alors j'inonde ma solitude de larmes . Je me renferme et garde tout en moi jusqu'à ce que ça déborde. Je fait semblant ,malgré tout ,je souri .. Parce qu'il y à tant de personnes qui me donne une force incroyable. Je jette les mouchoirs et c'est reparti pour la comédie. . "Comment tu vas ? Tout vas bien pour moi ,je te remercie ". Alors qu'à l'intérieur je hurle que rien ne vas ,que je m effondre parfois et que j'ai plus envie .. Mais au fond qui s'en souci ? Le silence de mes maux tombera forcément dans l'ou

La souffrance morale, c'est comme une idée que l'on pose sur papier. On l'a en tête, et plus on attend, plus elle nous envahit. Sa présence nous ronge à nous rendre fou. Le seul moyen de se libérer l'esprit, c'est de la concrétiser. Alors on l'inscrit. Non pas avec un crayon sur du papier, mais avec une lame sur la peau.

Le temps peut permettre d'effacer certaines douleurs, certains visages, certains sons, certains regards et peut-être même certains sentiments. Mais parfois il suffit d'un seul mot, pour que l'objet de notre oubli refasse surface dans l'océan de la mémoire.

Le temps est mon ennemis il passe mais rien ne bouge la solitude et l'ennuie m'envahis Des larmes cachées montent doucement J'aimerais les retenir , les stoppées Elle submergent mon cœur meurtri Il se noie et ne veut pas se battre Il ne veut plus souffrir , il le supporte plus Lui qui voulais donner amour et sérénité Maintenant il vas se l'interdire Faut le laissé en paix pour de bon Car à chaque fois les cicatrices sont de plus en plus durs à se refermer Et voilà les larmes coulent .De toute façon elles arrivent toujours à leurs fin Elles gagnent à tous les coups A quoi bon lutter cela ne sert à rien

Une vie sans larmes n’est qu’ombre de chimère, C’est dire qu’après l’automne ne vient jamais l’hiver

 Un jour elle réaliserait quelle était sa “vraie nature”. Quelle était la vie qu'il lui fallait mener. Celle qui lui convenait. Celle qui ne la heurtait pas. Qui ne la détruisait pas. Une vie de contemplation. Écrire. Lire. Sentir passer le temps. Respirer le parfum de l'air. Être attentive aux variations de la lumière. Se laisser absorber par l'infini de la mer. Son immobilité parfaite. Ses reflets. Ses couleurs. Ses mouvements. S'adosser à la roche. Toucher l'écorce des arbres. Effleurer le lichen. Guetter les moments où la lumière semble enrober chaque feuille, leur fournir un écrin translucide, les transpercer. Passer des heures sous le ciel en morceaux, lacéré de branches et d'aiguilles. Le vert des pins maritimes sous le bleu profond. L'apparition d'un oiseau. La beauté d'une fleur au milieu du maquis. Les racines rampant sur la terre caillouteuse. Les ocres. Les ravins, les pics, les vallées. La poussière des sentiers. Les parfums d'herbes sèches. L'air allant venant dans ses poumons. Son goût changeant au fil des heures du jour. Sa texture de nuit. Son épaisseur de pluie. Mais peut-être que tout ça, après tout, s'appelle seulement vieillir

Une vie sans larmes n’est qu’ombre de chimère, C’est dire qu’après l’automne ne vient jamais l’hiver. ... Mais quelquefois, dissimulées derrière un sourire ou noyées dans l’azur d’un regard, murmurent des larmes amères et silencieuses. Nées d’un monde sans joie, elles possèdent ce lancinant parfum que l’on ne peut oublier...