Je ne vie pas pour aimé,je ne vis pour pleurer.Je sui juste un passage sur la terre.Un passage dans la vie.Tu etais ma vie. Et maintenant tu es ma mort .J'ai marque ton coeur. Marqué la vie C'est fini .Mon temps s' est écoule ,et tu m' as laissé. Est-ce l' enfer ou le paradis? Je ne sais pas,mais mon coeur s' est fané .Par les flammes ou la pureté ,J' attends ton arrive Comme dans le passé......

Une larme coule Sur mon visage Une journée s'écoule Sans voir ton image Je ne sais pas pourquoi Ca c'est terminé comme ça La vie l'a voulue ainsi C'est bel et bien fini J'ai du mal a l'accepter Malgré mes airs, je suis blessée Au plus profond de mon coeur Cette blessure me fais peur,je ne cesse de penser A nos moments passés A notre bonheur inachevé A nous, mais c'est terminé.

Les larmes de la nostalgie

Malgré les jours,les nuits,les mois tu vis encore en moi. Lorsque s'en vient le soir, j'ai froid de ne plus te voir.  Alors s'en va l'espoir et je crois la vie dérisoire. En toi l'existence a trouvé un sens malgré cette absence. Mes songes t'ont fait roi d où je confesse l'oubli de mes promesses. Le verbe s'échappe de ma bouche .Tu pousses en moi comme un cri qui me blesse et me touche .Et coulent les larmes de la nostalgie,

C'est dans mes yeux qu'elle est née, Sur ma joue qu'elle a coulée, Et c'est ma bouche qu'elle a frôlée; Pour continuer son voyage Dans l'osmose d'un paysage, Où tout n'est qu'image. Elle a enfin vu la lumière du jour, Elle c'est qu'il n'y aura pas de retour... ...Que c'est le dernier jour! Et pourtant, elle esquisse parfois un sourir En pensant qu'elle va mourir... ...Enfin cesser de soufrir! Son regard s'assombrit, devient errant, Elle savoure ses derniers instants Qui malgré elle, ne dureront éternelement. Le sol se rapproche, Va-t'elle heurter la roche? Non, elle va rejoindre ses proches... Elle a fermé les yeux! Elle a quitté cette terre de feux; Elle va finir dans un océan,

Je pleure Toutes les larmes de mon corps Toutes les larmes de mon coeur Elles ruissellent de mes yeux Tel un torrent tumultueux Bravant les montagnes immuables Elles creusent des sillons sur mon visage Tel un long fleuve vermeil Traversant les plaines herbeuses Elles sont puissantes et dévastatrices Tel l'orage qui éclate, soudain, en mer Elles sont fragiles et éphémères S'écrasant sur un sol en déchéance Toujours détrempé par mes pleures Pourtant, elles sont immortelles Comme la tristesse qui me transperce Le coeur de son dard empoisonné Je pleure la mort de ce monde maudit Maudit par la folie des hommes qui le foule Je pleure et je pleurerai Jusqu'à ce que le néant me prenne Et que plus rien ne subsiste

Mon coeur est une maison vide,où tu ne viens plus mon amour. Mon coeur est une maison vide, où n'entre plus jamais le jour .Au long de quatre murs humides, s'acroche un éternel hiver. Mon coeur est une maison vide, comme un village après la guerre. Mon coeur est une maison vide, où chaque choses t'aime et t'attend. Mon coeur est une maison vide,où meurt la vie où pleure le temps Mon coeur est une terre aride, que tu as su apprivoiser. Mon coeur est une maison vide, dont tu as emporté la clé..

Une larme , c'est le fruit de la détresse C'est la fleur de la tendresse Une larme , c'est un amour que l'on ose dire C'est ce qui remplace un sourire Une larme , c'est une partie de soi qui fuit C'est un regard qui frémit Une larme , c'est un enfant qui joue C'est le bonheur qui se noue Une larme , c'est penser à celui ou celle qu'on aime C'est lui dire , je t'aime Une larme , c'est la musique d'une chaleur C'est le rythme de son coeur Une larme , c'est un regret à jamais versé C'est une dispute déjà oubliée Une larme , c'est éteindre le feu d'une douleur forte C'est refermer à deux une mauvaise porte Une larme , c'est crier avec les yeux C'est mourir un peu Mais qu'est-ce qu'une vrais larme ? Sinon la plus dangereuse des armes .

Mes yeux laisse couler mes larmes de mon coeur,mes yeux me font mal.Quand je ferme les yeux je vois le paradis,quand je les ouvrent je vois l'enfer.Personne ne peut comprendre mes pensées,mes plaisirs,mes objections,mes choix,mon coeur.

Le temps passe Les gens changent, Et durant tout ce temps, Tant de rires, Tant de pleurs echangés. Le bonheur de l'amitié. Et puis certaines personnes Viennent à prendre d'autres chemins. Plus de nouvelles! Mais tant de souvenirs Qui resteront gravés à jamais! Et puis il y a de ces amitiés durables. Que rien ne peut briser. Pas même la distance!

La souffrance Elle prend bien des visages Et provoque tant de ravages Laissant les corps sur le rivage Réduisant les âmes en esclavage Elle encourage des larmes acides Qui en silence mènent au suicide Comment garder un regard lucide Quand la vision devient translucide Elle provoque en soi la décadence Et réduit à néant toute espérance D’elle à nous il n’y a pas de distance Son existence n’est que jouissance Elle pousse si bien vers la déchéance Des âmes meurtries par la souffrance Qui errent en espérant une renaissance Dans l’espoir de lui faire une révérence Elle mène les cœurs vers une vie austère Insidieusement la vie prend un goût amer Tout devient noir sans la moindre lumière L’envie d’exister s’amenuise en chimère Comment lui échapper … Comment la déloger … Comment la maîtriser … Comment la dompter … Pour qu’enfin la vie est un sens