aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Légendes et contes amérindiens
La naissance des sioux ...Leur vrai nom LAKOTAS .
A l'aube des temps, dans les grandes plaines, les esprits avaient crée la terre, l'herbe, le bison le loup, l'aigle et bien d'autres choses, mais ils n'avaient pas crée les Sioux. Les grandes plaines étaient calmes, les animaux heureux, les esprits tranquilles. Mais Kawasma, l'Esprit Rêveur, trouvait ce monde ennuyeux. Il se mit alors à rêver et il rêva de créatures qui marchaient sur deux pattes, qui avaient de longs cheveux noirs et qui n'étaient pas comme tous les autres animaux. Ils portaient, comme les esprits, des vêtements de peau, ils habitaient dans de grands nids qu'ils construisaient et qu'ils appelaient des tipis.
Certains d'entre eux parlaient la langue des esprits et les autres parlaient une langue compliquée, très différente de celle des animaux. Mais surtout, ces créatures aimaient rêver et faire de grandes fêtes. Kawasma cessa de rêver et se dit qu'il fallait qu'il crée ces êtres. Il prit une poignée de terre, de la peinture noire, des peaux et de longues herbes. Il façonna la terre et fit un corps. Il mit sur la tête de cette créature l'herbe qu'il peignit ensuite en noir. Il peignit aussi les yeux. Il fabriqua des habits avec les peaux et vêtit la créature. Il la posa devant lui, et satisfait, la contempla quelques secondes avant de dire : « dans mon rêve, il y avait une créature qui ressemblait à celle-ci, mais pas tout à fait ».
Il prit alors le reste de terre et créa un corps plus beau, aux traits plus fins. Il lui mit de longs cheveux qu'il tressa et l'habilla d'une longue et somptueuse tunique. Enfin, il lui peignit les yeux. Il la posa à côté de l'autre créature et dit : « Voilà, c'est exactement comme dans mon rêve ». Puis, il décida que l'homme et la femme naîtraient au crépuscule. Ce fut ainsi que l'homme et la femme furent crées. Dans les grandes plaines, l'aigle planait dans le soleil couchant et l'eau de la rivière s'agitait. Les animaux s'affolaient et se dispersaient. Lorsque le soleil toucha l'horizon, il se fendit et l'homme en sortit. Il s'approcha de la rivière. De l'eau qui ondulait sortit la femme comme un rayon de lumière et de beauté et elle rejoignit l'homme. Ne venant de nulle part, une voix dit alors : « Je suis Kawasma, l'Esprit Rêveur.
C'est moi qui vous ai crées. Vous êtes les premiers Sioux. Toi, l'homme, à présent tu t'appelles Sobandko-Thai-Hi, " Fils du Soleil » et toi, femme, tu t'appelles Shaina Rayon de soleil". "Merci de nous avoir donné la vie et que veux tu en échange ? , Esprit ", dit Sobandko-Tha-Hi. Je voudrai que vous fassiez à chaque neige, une grande fête pour rappeler ce jour solennel, qui est celui de votre naissance. Je voudrais aussi que vous n'oubliez pas de rêver et que vous respectiez la nature, que vous viviez en harmonie avec elle. "Moi, Shaina , je veillerai à ce que cela soit respecté." Le lendemain, Sobandko-Tha-Hi et Shaina construisirent un tipi, allèrent à la chasse, firent à manger et rêvèrent.
Dans les grandes plaines, l'aigle planait dans le soleil couchant. Sobandko-Tha-Hi et Shaina regardèrent le ciel et dirent : "La vie est merveilleuse, Kawasma. Merci." Depuis ce jour, dans les grandes plaines l'aigle a plané souvent dans le soleil couchant. A chaque neige, les Sioux font une grande fête en l'honneur de Kawasma.
Du haut des cieux, l'Esprit rêveur les contemple en souriant
Peu importe le fardeau que tu dois porter, si tu le fais avec le sourire il sera plus léger !
Il m'en aura fallu des années de silence , pour comprendre la beauté de cette vie.
Dans chacun de tes gestes , aussi simple soient ils... Glisse la tendresse et la reconnaissance d'être simplement. Ton travail sera toujours un chef d'oeuvre.
Des centaines d'hommes et de femmes se lèvent et prennent conscience que la route tracée par la multitude n'est pas la bonne , unissons nos voix afin que l'avenir soit sûre pour nos enfants....
La carte des tribus amérindiennes : un morceau d'histoire qui n'apparaît JAMAIS dans les livres scolaires
Nous savons que l'histoire est écrite par les vainqueurs et dès le début de notre scolarité, nous nous habituons à lire les faits et les événements du passé de ce point de vue unique, où les héros, quels qu'ils soient et qu'importe les atrocités qu'ils ont commises, sont toujours les sauveurs du pays. L'histoire du continent américain en est un exemple : un territoire déjà existant, re-découvert en 1492 par Christophe Colomb, qui apparaît dans les livres d'histoire comme le grand explorateur qui a découvert l'Amérique.
Les peuples indigènes qui habitaient ces lieux ont été presque complètement exterminés les siècles suivants et, à ce jour, l'historiographie américaine a encore tendance à omettre la violence avec laquelle la conquête a été menée à bien.
Pourquoi n'y a-t-il aucune trace de la carte des tribus amérindiennes dans les livres d'histoire ? Une question provocatrice qui veut nous faire réfléchir sur des concepts tels que "extermination" et "génocide", mots longtemps évités par l'historiographie occidentale. Dans les écoles américaines, les populations autochtones ne sont toujours pas étudiées comme une partie fondamentale de l'histoire du continent.
Cela nous fait réfléchir sur la version la plus répandue dans les livres d'histoire, mais aussi dans la culture occidentale en général : on parle de "découverte" de l'Amérique du Nord et non de "conquête", comme si avant l'homme blanc, le continent n'existait pas ou accueillait des populations sans valeur.
Ce n'est que grâce à la sortie de livres tels que "Enterre mon cœur à Wounded Knee" et autres, au milieu du XXe siècle, que l'on a commencé à prendre conscience d'une histoire presque inconnue à l'époque. Au moment de la conquête, la population autochtone des Amériques comptait environ 500 millions de personnes. On estime qu'entre 80 % et 95 % de la population mondiale est décédée entre 1492 et 1550 à la suite de maladies importées par les Européens.
Au XIXe siècle, l'Amérique du Nord comptait plus de 1 000 tribus, alors qu'il n'y a aujourd'hui que 566 groupes ethniques distincts au Bureau des affaires indiennes. Pendant les guerres de conquête, l'ère du Far West et toutes les années suivantes, la population totale d'Amérindiens aux États-Unis a atteint son plus bas niveau historique de 250.000 personnes. Aujourd'hui, les Amérindiens sont légèrement plus nombreux (ils sont 2,9 millions) mais ils ne représentent que 1,5% de tous les Américains des Etats-Unis.
Les tribus les plus peuplées sont les Navajos, les Cherokees, les Choctaw, les Sioux, les Chippewas, les Apache, les Pieds-Noirs, les Iroquois et les Pueblo.
Les Amérindiens ne parlaient pas qu'une seule langue : il existe près de 1 000 formes de communication différentes. De ce nombre, il n'en reste que 296 aujourd'hui, et seuls quelques-uns résisteront à l'épreuve du temps.Ce que nous espérons, c'est que l'historiographie moderne pourra inclure cette partie très importante de l'histoire des peuples amérindiens, en rendant enfin justice à une population qui, déjà avant l'apparition de l'homme blanc, semblait très évoluée et avec des valeurs profondes, loin du désir de conquête et de la cruauté affichés par certains Européens.
Dans ce silence , je reconnaîtrai toutes création. J'honorerai ta présence et demeurerai leur allié...