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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
A 82 ans, elle vit seule entourée de 60 animaux dans des conditions misérables
L’association de protection animale LUNA (Ligue Universelle pour la Nature et les Animaux) a découvert une vieille dame vivant seule chez elle, entourée d’une soixantaine d’animaux, dans des conditions sanitaires déplorables et très préoccupantes dans la petite commune de Le Langon (Vendée).
Face à une telle précarité, la solidarité s’organise pour venir en aide autant à la personne âgée qu’à ses pensionnaires à poils et à plumes. C’est le destin qui a permis à cette personne en grande détresse d’être remarquée et d’enfin recevoir de l’aide.
Vendredi dernier, , Audrey Hervouet, la fondatrice de LUNA, rentre chez elle. Comme d’habitude, elle passe devant cette maison qu’elle avait déjà remarquée, à cause de l’extérieur sale et des chats maigres déambulant dans le jardin.
Elle s’arrête, se disant qu’elle peut proposer son aide, mais ce qu’elle va y découvrir dépasse l’entendement. Un sol couvert d’excréments, des animaux squelettiques « Je découvre une vieille dame qui aime ses chats et ses poules mais qui est dans une précarité telle que je pleure en sortant de là : le sol est couvert de boue […] elle n’a pas de machine à laver, un frigo qui ne fonctionne plus, etc« , raconte Audrey, bouleversée.
Les photographies qu’elle prend sur les lieux sont édifiantes : les pièces sont remplies d’immondices et de déjections, l’octogénaire dort sur un petit matelas maculé de tâches et imprégné d’urine, ses sanitaires sont recouverts de crasse à tel point qu’on les croirait abandonnés -alors qu’elle s’en sert encore-, éviers et lavabos sont bouchés ou fuient, etc.
Les 60 animaux (20 chats et 40 poules) présentent des signes manifestes de malnutrition et se reproduisent, car non stérilisés. Plusieurs portées de chatons se rencontrent sur les lieux. Certains sont malades et ont le coryza, d’autres sont squelettiques.
La situation est donc urgentissime, autant pour la personne humaine que pour les bêtes. Plusieurs jours de suite, Audrey est retournée sur place, accompagnée d’amis et de membres de sa famille.
D’abord, pour faire du nettoyage et nourrir les chats et les poules, mais aussi pour discuter avec la vieille dame, la rassurer, et l’amener à accepter que ses animaux soient stérilisés, et même placés dans d’autres familles pour une partie d’entre eux.
Pire, d’après Audrey qui dénonce « une misère indigne d’un pays développé« , la vieille dame serait sous tutelle. « Je vais aller voir les autorités et les services publics (Conseil Général, Mairie, tutelle…) pour les mettre face à leurs responsabilités ! Que ce soit pour les animaux ou pour la vieille dame, j’ai honte pour toutes ces personnes qui savent et ne font rien« , tempête la protectrice des animaux qui a mis en place un groupe solidaire sur Facebook, par le biais duquel elle organise le sauvetage : collecte de croquettes et de produits ménagers, organisation d’aide physique pour venir nettoyer et réparer ce qui doit l’être (notamment la plomberie), construction d’un poulailler à l’extérieur pour les poules, etc.
La dame, âgée de 82 ans, « ne perd pas la tête » et « est consciente de tout ce qu’elle dit et fait » malgré « quelques soucis psychologiques« .
Elle n’a « ni famille, ni amis« , quant à ses voisins, « ils lui crachent à la figure …
Pour l’instant, une chatte et ses 7 chatons, qui étaient en très mauvaise santé, ont été adoptés. Restent tous les autres. « Les chatons seraient morts aujourd’hui ou demain si on ne les avait pas retirés« , précise Audrey tout en ajoutant que la dame est « très réticente à laisser partir ses bêtes« .
L’immobilisme des services sociaux mouzeuil-st-martin015Une autre bénévole mobilisée par cette affaire, Gwendoline Duquenoy, s’insurge, elle, contre l’immobilisme des services sociaux.
« Je suis dégoûtée par notre système, nous avons contacté tous les organismes qui s’occupent de cette dame âgée, tous se renvoient la balle, on ose nous dire que personne ne peut rien faire, et que ce qui arrive à cette pauvre femme est uniquement de sa faute ! […]
Elle est perdue, elle aime ses animaux, mais elle les aime mal« . Enfin, Audrey espère que ce drame montrera aux personnes qui insinuent que les défenseurs de la cause animale ne se préoccupent que des animaux tout en détestant les humains, que cela est faux.
« Je voudrais aussi montrer qu’une fois de plus, ceux qui nous disent »ah oui mais vous défendez les animaux alors que des humains crèvent » n’ont pas levé le petit doigt pour cette dame, pas plus que pour les animaux« , conclut-elle.
Les gens du voyage lèvent leur barrage sur l'autoroute A1
Outre des feux de pneus et de palettes bloquant totalement la circulation les manifestants n'hésitaient pas à couper des arbres environnants pour alimenter d'autres feux.
Les gens du voyage ont levé ce samedi matin leur barrage sur l'autoroute A1 au niveau de Roye (Somme), en place depuis vendredi soir.
Ils réclamaient que le fils, actuellement incarcéré, d'une des victimes de la tuerie de mardi puisse assister aux funérailles de son père. Fin du blocage.
Les gens du voyage ont levé, ce samedi en fin de matinée, leur barrage sur l'autoroute A1 dans les deux sens au niveau de Roye (Somme) qu'ils ont érigé vendredi soir.
Plus tôt, les gendarmes venus en renfort avouaient à demi-mot leur impuissance face à une situation qui semblait leur échapper. Cette manifestation survenait quatre jours après qu'une fusillade a éclaté dans un camp voisin faisant quatre morts et trois blessés.
La soixantaine de personnes auraient décidé de bloquer l'A1 pour contraindre les autorités à accepter que le fils d'une des victimes de la fusillade, actuellement incarcéré à la maison d'arrêt d'Amiens pour d'autres faits, puisse assister aux funérailles de son père, sous escorte policière.
La décision dépendait de la Cour d'appel d'Amiens et elle a autorisé l'individu à se rendre à l'enterrement, ce qui a mis fin au barrage.
Pneus en feux et arbres coupés Outre des feux de pneus et de palettes bloquant totalement la circulation dans les deux sens de l'une des autoroutes les plus fréquentées d'Europe, les manifestants, munis de tronçonneuses, n'hésitaient pas à couper des arbres environnants pour alimenter d'autres feux, notamment sur un rond-point situé près d'un camp de gens du voyage, sous le regard médusé de touristes, parfois bloqués depuis des heures dans leur voiture.
"Vers 21h30, nous avons été bloqués avant Roye. Il y avait beaucoup de familles autour et des étrangers rentrant chez eux: Belges, Britanniques et Hollandais", a indiqué à l'AFP un automobiliste, rentrant de Paris en cette veille de week-end de retour de vacances. Les déviations mises en place ont certes pu désengorger le trafic mais Sanef comptabilisait à 8h encore 2 kilomètres de bouchons en direction de Lille.
"Le but n'est pas d'agir par la force" "Le but est de contenir les manifestants sur l'autoroute et au niveau du rond-point", a confié un porte-parole de la préfecture de la Somme qui assure que les effectifs de police ont été renforcés, "notamment par des renforts venant d'autres départements".
"Le but cette nuit n'est pas d'agir par la force, le directeur de cabinet de Madame la préfète, sur les lieux, essaye toujours de dialoguer", explique la préfecture L'auteur présumé de la fusillade a été mis en examen pour assassinat et tentative d'assassinat, et écroué, a indiqué vendredi le procureur d'Amiens.
Grièvement blessé, il a été transféré dans une maison d'arrêt où il pourra continuer à recevoir des soins, a précisé le magistrat, sans donner la localisation de l'établissement "pour des raisons de sécurité".
Elle confie son bébé au père pour la nuit. 1 heure plus tard il est dans le coma! La raison est terrifiante!
Cheyenne Rae Owensby est un petit bébé plein de vie, heureux et en parfaite santé lorsqu’il vient au monde. La petite fille est tout pour sa maman qui ne peut plus imaginer vivre une seconde sans elle. Mais tout bascule un jour où son papa vient lui rendre visite.
Les parents de Cheyenne sont séparés et ils se partagent la garde de l’enfant. Toutes les deux semaines, elle passe le week-end chez son papa. Mais ce jour-là, un drame va bouleverser leur vie.
Après seulement une heure de babysitting, Amy, la maman de Cheyenne, reçoit un appel qu’elle n’oubliera jamais. Cheyenne vient d’avoir huit mois. Et comme tous les bébés de cet âge, elle pleure beaucoup. Voyant qu’il n’arrive pas à la calmer, son papa l’attrape et la secoue, espérant qu’elle arrêtera de pleurer. Il la remue tellement fort, que son crâne finit par se briser et qu’elle commence à faire une hémorragie cérébrale.
Cheyenne est transportée rapidement par hélicoptère vers l’hôpital le plus proche. Très vite, l’équipe médicale informe Amy que son bébé ne respire plus.Désespérée, elle se rend sur les lieux et apprend une nouvelle terrifiante : son petit bébé sera dans le coma toute sa vie.
“Alors que je pleurais, j’ai commencé à trembler de panique et je n’arrêtais pas de vomir”, raconte-t-elle. “J’ai prié Dieu de la sauver et qu’il me prenne à sa place. Lorsque je suis allée la voir dans son lit, elle était couverte de bandages, piquée par de multiples transfusions et ses jambes étaient noires à cause d’une thrombose qui se formait. Puis la police m’a appelée et m’a dit : “James, le père de Cheyenne, a avoué qu’il l’a secouée””.
“L’homme que j’ai aimé, mon premier amour, mon camarade de classe, un garçon que j’ai connu toute ma vie et avec qui j’ai partagé dix ans de ma vie, a fait ça à NOTRE fille. Toute ma vie s’est effondrée”
Le papa de Cheyenne avoue ce qu’il a fait. Il aurait simplement “perdu le contrôle” de la situation. Il sera condamné à 20 ans de prison. Mais alors qu’il est incarcéré, sa mère se bat toujours pour leur petite fille.
Pourtant, les médecins lui annoncent qu’elle ne survivra pas, et que si tel était le cas, elle resterait dans le coma toute sa vie. C’est alors que se produit un miracle. Bien que la moitié du cerveau de Cheyenne soit paralysée, elle finit par se réveiller. Elle peut parler et bouger. Cependant, la partie droite de son corps ne réagit plus. Pourtant, la fillette n’a pas perdu sa joie de vivre et ne baisse pas les bras malgré son handicap.
Cheyenne a désormais trois ans et croque la vie à pleines dents. Personne ne peut s’imaginer ce qu’elle a traversé lorsqu’on la voit sourire.La maman de Cheyenne écrit régulièrement sur Facebook pour informer sa famille et ses amis des progrès que Cheyenne accomplit.
Mais pour elle, le plus important est que chacun sache cela : “Faites toujours attention, à qui vous confier votre enfant !” Partagez cette histoire à tous ceux que vous connaissez pour éviter qu’elle ne se répète !
A 5 ans, il défend sa mère qui allaite sa petite sœur en public. Et il ne manque pas de bagout !
Les réseaux sociaux fourmillent de formidables histoires. Celle-ci est particulièrement savoureuse. Elle nous est racontée par une mère de famille très fière de rapporter le comportement exemplaire de son fils.
Ce récit ravira tous ceux qui ont déjà eu des bébés à nourrir… où qu’ils se trouvent !
« Aujourd’hui, j’étais à l’hypermarché avec mes deux enfants : Airryn, presque six ans, et Addie, bientôt un mois. Nous faisions un tour quand Addie a réclamé à manger.
J’ai demandé à Airryn s’il avait faim lui aussi et il m’a répondu que oui. Nous sommes donc allés à l’espace restauration pour commander son poulet préféré.
Nous nous sommes assis pour manger et pour offrir à Addie le délicieux lait qu’elle préfère : celui de sa maman. J’ai donc dissimulé ce qu’il fallait et commencé à remplir son ventre.
Airryn mangeait son poulet quand une femme passant par là avec sa nourriture et ses enfants m’a regardée avec de grands yeux écarquillés.
Ensuite, elle s’est assise et j’ai encore vu qu’elle me regardait. Elle est venue vers moi et m’a dit brutalement : « Vous devriez savoir qu’il existe des chaises aux toilettes pour faire ça. Ma fille n’a pas besoin de vous voir nourrir la vôtre pendant qu’elle mange. »
J’allais commencer à parler quand mon fils m’a coupé la parole et lui a dit :
« Moi non plus Je n’ai pas besoin de voir votre enfant manger pendant que je mange ! »
Elle a répondu :
« Elle mange de la nourriture sans qu’aucune partie de corps ne soit montrée. »
Il a regardé en arrière, vers la fille, et a répliqué : « Je peux voir ses jambes alors que vous ne pouvez rien voir de ma sœur. »
Elle m’a demandé si je laissais parler mon fils de cette manière à tout le monde et je lui ai répondu :
« Comment, mais bien sûr ! »
Elle m’a répété que je devrais aller aux toilettes. Alors Airryn s’est levé et a marché vers sa table. Elle lui’a demandé ce qu’il faisait et il a répondu, ce qui m’a rendu très fière :
« J’allais vous aider à apporter votre repas aux toilettes. Car si vous pensez que ma soeur peut manger aux toilettes, je pense que ça ne vous posera pas de problème non plus de manger là-bas. »
Elle a répondu que mon fils était insolent. Ce à quoi j’ai rétorqué que, à cinq ans, il était juste bien éduqué. S’il vous plaît, partagez ceci avec une maman, des amis ou votre famille pour qu’ils sachent qu’une des choses les plus importantes qu’un parent ou un tuteur puisse faire, c’est de laisser un enfant parler pour se défendre ou défendre sa famille. C’est sain. »
C’est sain… et terriblement efficace. Surtout quand c’est un gamin si éveillé qui prend la parole ! L’allaitement est un choix et, qui plus est, le premier que nous offre la nature. Alors pourquoi faudrait-il se cacher pour nourrir un enfant ? Aller aux toilettes… ! Non mais quoi encore !
Des entreprises commencent à implanter des puces sous la peau des employés
La technologie existe depuis quelques années maintenant, mais l’utilisation des puces RFID (identification par radiofréquence) et d’autres implants sous-cutanés ne se répand que depuis peu.
Un complexe de bureaux high-tech en Suède offre maintenant au personnel locataire la possibilité d’avoir une petite puce RFID implantée dans leur poignet qui permet d’exécuter certaines fonctions dans le bâtiment d’un geste de la main, comme l’ouverture des portes et faire fonctionner des photocopieurs. Les promoteurs d’immeubles de bureaux Epicenter appuient le programme d’implantation, qui est mis à la disposition par un groupe de bio-hacking suédois.
Le groupe encourage l’utilisation de la technologie de bio-amélioration et prédit un avenir dans lequel des systèmes d’implants sophistiqués surveilleront de près plusieurs données transmises par des capteurs corporels tout en interagissant avec l’ « Internet des objets ».
En d’autres termes, nous aurons bientôt la possibilité d’être physiquement connecté à l’Internet ainsi qu’à un réseau de plus en plus répandu d’appareils intelligents. Pour beaucoup, l’idée d’avoir un implant contenant des renseignements personnels inséré sous la peau n’est pas la bienvenue.
Non seulement y a t-il quelque chose de peut-être glauque par rapport à cela pour commencer, mais le fait est que beaucoup d’entre nous sentons que notre vie privée et notre autonomie a été déjà assez compromise, sans devenir volontairement des émetteurs de nos données personnelles.
Certains prédisent qu’un jour ce ne sera pas une question de choix, ou que l’utilisation d’implants et d’autres types de bio-amélioration et de connectivité sera devenue si banale que nous trouverons cela normal, voire nécessaire. La crainte est que nous allons perdre notre liberté et notre vie privée.
D’autres se félicitent de la perspective de devenir physiquement connectés à l’internet des objets, tel que le groupe de bio-hacking responsable du programme RFID d’immeuble de bureaux. Une présentation de BBC News a fait le profil de Hannes Sjoblad, un bio-hacker qui organise des « soirées implants » où des bénévoles sont implantés: Il commence petit, avec un objectif de 100 volontaires enrôlés dans les quelques mois à venir, avec 50 personnes déjà implantées.
Mais sa vision est beaucoup plus grande. Ensuite il y en aura 1000, puis 10 000. Je suis convaincu que cette technologie est là pour rester et nous allons penser qu’il n’y a rien d’étrange d’avoir un implant dans sa main. Bien que les puces RFID utilisées aujourd’hui sont capables d’un peu plus que d’ouvrir des portes et faire fonctionner des photocopieuses, le potentiel est beaucoup plus grand.
Les puces RFID vont probablement devenir des dispositifs de plus en plus sophistiqués, capables d’un large éventail d’interactions. Des sociétés développent déjà des technologies qui vont aller au-delà des gadgets portables déjà familiers; par exemple, un tatouage numérique qui peut être incrusté sur la peau et qui peut surveiller les fonctions du corps.
Il est certes facile d’imaginer que, dans quelques années, il y aura des progrès spectaculaires en ce qui concerne ce que ce type de technologie peut faire. Et puisque les différents types d’amélioration du corps – les membres bioniques, les pacemakers et la chirurgie esthétique – sont déjà monnaie courante, il va de soi que beaucoup de gens auront peu, voire aucun scrupule au sujet des implants et d’autres technologies de bio-hacking.
D’un autre côté, l’idée d’une autorité centrale ayant l’avantage des connexions et de l’accès direct au corps physique de l’individu avec le potentiel de surveiller la position GPS, le rythme cardiaque, voire les ondes cérébrales, est effrayant à envisager. La plupart d’entre nous ont adopté les avancées technologiques révolutionnaires de ces dernières décennies.
Nous sommes plus connectés que jamais auparavant, et même si nous ne sommes pas tous d’accord que ce soit nécessairement une bonne chose, très peu d’entre nous ne donneraient volontiers nos smartphones à ce stade. Mais peut-être que nous devrions être extrêmement prudents au sujet de faire le saut vers l’état de cyborg.
Est-ce vraiment un progrès technique inévitable et potentiellement utile ou est-ce que ça va un peu trop loin?
C’est le moment d’en débattre, parce que la technologie est déjà entrée dans le grand public. Et comme avec la plupart des révolutions technologiques, une fois qu’elle est arrivée il y a peu d’espoir de retour en arrière.
Rennes : un restaurateur et sa famille séquestrés chez eux
Vers 8h30 ce mardi matin, la famille a été retrouvée ligotée et en état de choc. La nuit a été particulièrement difficile pour cette famille rennaise.
Un couple de commerçants et leurs deux enfants ont été séquestrés dans la nuit de lundi à ce mardi par des cambrioleurs. Ils ont été pris en charge par les pompiers vers 8h30 ce mardi matin et hospitalisés.
Leurs jours ne sont pas en danger même si certains d’entre eux portent des contusions, sans doute consécutives à des coups, explique Ouest France.
En rentrant chez lui vers 2 heures du matin, le restaurateur trouve des intrus qui le ligotent, ainsi que sa femme et ses deux enfants âgés de 4 et 8 ans.
Selon France Bleu Armorique, les malfaiteurs auraient attendu le retour du commerçant. Toujours selon la radio locale, l’intérieur de la maison aurait été très endommagé.
Ce sont les voisins qui ont donné l’alerte vers 8 heures du matin. Les victimes ont été retrouvées par les pompiers ligotées et en état de choc. Le nombre d’agresseurs et leur mobile est toujours flou mais la police scientifique est sur place et effectue les premières
Jeune fille égorgée à Perpignan : une crise de jalousie qui finit mal
Après la découverte du corps d'une jeune fille de 17 ans mardi en fin d'après-midi dans un parc de Perpignan (Pyrénées-Orientales), un suspect s'est lui-même rendu au commissariat pour dénoncer un crime dû à une crise de jalousie.
Le jeune couple s'était donné rendez-vous dans ce parc de Perpignan (Pyrénées-Orientales) attenant au lycée Maillol.
La jeune fille égorgée et atteinte de plusieurs coups de couteau dont le corps a été découvert mardi en fin d'après-midi dans le parc attenant au lycée Maillol à Perpignan (Pyrénées-Orientales) a été victime d'un crime passionnel.
Selon une information RTL, le suspect s'est rendu au commissariat pour se dénoncer sans toutefois pouvoir expliquer les raisons de son geste au cours de sa garde à vue.
Le jeune homme qui venait de passer son baccalauréat était connu pour être un quelqu'un de nerveux et de déséquilibré. Le couple vivait une histoire d'amour tumultueuse depuis quelques mois. Ils s'étaient donnés rendez-vous dans un parc de Perpignan, après s'être isolé, le garçon a laissé éclater sa rage.
Le corps sans vie de la jeune fille sera retrouvé ensuite en contrebas d'un ruisseau par des policiers qui avaient été alertés. Pour l'heure, aucune disparition inquiétante n'était à déplorer à Perpignan, l'identité de la jeune femme n'a pu être révélée.
Malgré l'attroupement de riverains autour de la zone bouclée par les forces de police, personne n'a pu voir le corps de l'adolescente de 17 ans. Le maire de Perpignan Jean-Marc Pujol et la préfète des Pyrénées-Orientales, Josiane Chevalier se sont rendus sur place mardi soir.
En garde à vue, le suspect "coopère" Placé en garde à vue depuis mardi minuit, le petit ami de la victime, ou ex-petit ami, est interrogé dans les locaux de la police de Perpignan. Selon Yannick Janas, directeur départemental de la sécurité publique, "il coopère".
On s'oriente donc vers une résolution rapide de l'enquête. Le procureur n'a pas voulu dire à ce stade des investigations si le jeune homme avait avoué avoir tué la victime et quels étaient exactement ses motifs. Mais, a-t-il dit, "il y a suffisamment d'éléments pour le mettre en garde à vue et il avait suffisamment d'éléments pour venir s'expliquer".
La piste du crime crapuleux ou d'un rôdeur parait d'autre part pouvoir être écartée, a-t-il ajouté. "Dans la mesure où c'est le petit ami on peut présumer que ce n'est pas crapuleux. On est plutôt sur quelque chose qui est en lien avec la relation qui existait entre eux", a dit M. Kiriakides.
C'est la police, apparemment alertée, qui a découvert le corps de la jeune fille âgée d'environ 17 ans mardi vers 17H00 dans un parc attenant au lycée Maillol, au Haut-Vernet, très fréquenté par les joggeurs.
Il gisait à 2 mètres en contrebas d'un ruisseau. Les policiers ont constaté qu'elle avait été, non seulement égorgée mais aussi lardée de coups de couteau en particulier au visage, au torse et au cou.
Des expatriés japonais et des Parisiens sillonnent les rues pour nettoyer le sol et les trottoirs de la capitale...
Et si on nettoyait notre ville ? L’idée du nettoyage citoyen a été importée il y a 8 ans du Japon, où ce genre d’activité est devenu banal et presque ancrée dans la culture.
Depuis 2007, l’association japonaise Green Bird organise des tournées une fois par mois pour nettoyer Paris. Et depuis plusieurs mois, elle séduit aussi de nombreux citoyens parisiens qui rejoignent chaque semaine les expatriés du pays du Soleil levant.
« Au Japon, les habitants sont éduqués à la propreté à l’école et nettoient autour de leur habitation » explique Yoshiko, une des membres de l’association, au Parisien.
L’association a d’abord nettoyé les lieux très touristiques comme les Champs Elysées, le jardin des Tuileries ou les alentours des gares. Mais depuis plusieurs semaines, Green Bird s’attaque aussi aux parcs et squares de la capitale.
« Pourquoi ce sont les Japonais qui nettoient les rues et pas nous ? »
Ce mois-ci, ils œuvraient dans un espace vert du 15e arrondissement, où les déchets et les mégots sont de plus en présents. « Nous n’allons pas souvent dans les quartiers résidentiels, mais une mère de famille qui habite à côté nous a contactés car elle ne comprenait pas pourquoi il y avait autant de mégots dans le parc » confie la quadragénaire au Parisien.
Dans ce parc, les touristes mais aussi les Parisiens, regardent avec étonnement les membres de l’association, tous affublés d’une chasuble verte et d’une paire de gants, pour éviter les coupures, s’affairer à la tâche.
Et c’est bien l’intention de Green Bird. « Le but, c’est que les gens prennent conscience du problème. Qu’ils se disent : " Pourquoi ce sont les Japonais qui nettoient les rues et pas nous ? " », ajoute Yoshiko au Parisien.
Des incivilités plus lourdement sanctionnées Parallèlement, la Ville, a déployé des mesures préventives cet été, en distribuant plus de 15.000 cendriers de poches.
Mais aussi des mesures répressives, puisqu’à partir du 1er octobre, l’amende pour avoir jeté un mégot ou un papier gras par terre ou pour avoir laissé son chien se soulager dans la rue, passera de 35 à 68 euros. Une augmentation qui fera peut être changer les mentalités et qui évitera des situations telles que celle du Canal Saint-Martin, dans le 10e arrondissement, souillé par les bouteilles de bières et autres mégots de cigarettes.
France - Montbéliard : Naissance d'un bébé à deux têtes
Une patiente a donné naissance à un bébé à deux têtes, jeudi dernier à la maternité de l’hôpital de Montbéliard, une ville située dans le Doubs en Franche-Comté.
D’après les médecins, il ne s’agit pas de sœurs siamoises mais de jumelles fusionnées. Sorti du ventre de sa mère par césarienne, le bébé pesait alors 4 kilogrammes et mesurait 51 centimètres.
Sur une photo publiée dans la presse locale, on voit que la petite fille est normalement constituée jusqu’aux épaules. Elle a deux bras, deux jambes, un sexe. Sa cage thoracique est légèrement plus importante que la normale… mais elle possède deux têtes.
Donc quatre yeux, deux nez, deux cerveaux etc. Les parents ont découvert la malformation de leur enfant deux jours avant l’accouchement. Lors des précédentes échographies, le nourrisson était de profil. Le personnel médical n’a ainsi pas détecté la présence des deux têtes. Et deux jours avant l’accouchement, il était impossible d’interrompre la grossesse sans mettre en danger la vie de la mère.
L’avis des professionnels : Sur place, les chirurgiens refusent de l’opérer. La séparation, courante chez les siamois qui possèdent chacun leurs corps et leurs organes, s’avère impossible. Les risques sont trop élevés. Des questions éthiques viennent aussi s’immiscer dans le débat: s’agit-il d’un ou de deux enfants ?
Les médecins doivent-ils couper l’une des têtes pour assurer la survie du nourrisson ?
«Quand on est confronté à des enfants de type siamois, il arrive qu'il y ait un tel déséquilibre entre les deux enfants, que l'un est délibérément sacrifié car il aura des séquelles très importantes. Là on se retrouve un peu dans cette situation-là, car on a d'un côté un enfant apparemment complet et de l'autre un enfant qui est très partiel», indique le professeur Revillon, spécialiste français de la chirurgie chez les enfants siamois, sur Europe 1. C’est lui qui avait supervisé la séparation en 2009 de deux frères siamois originaires de Madagascar, à l’hôpital Necker-Enfants Malades de Paris.
Les médecins sont eux aussi pessimistes quant à la survie des petites filles. «C’est difficile de dire si elles vont survivre, mais nous allons tout faire pour les garder en vie», a expliqué le docteur Borela, au journal Le pays.
Rentrée scolaire: nouveaux programmes en maternelle, Education morale et civique
Plus que deux rentrées pour mettre en oeuvre les réformes éducatives avant l'élection présidentielle: septembre 2015 sonne la généralisation de la réforme des ZEP ainsi que le lancement des nouveaux programmes de maternelle et de l'Education morale et civique.
Najat Vallaud-Belkacem présentera mardi après-midi la première rentrée scolaire qu'elle a préparée, une semaine avant la reprise des 860.000 professeurs et des 12 millions d'élèves.
La ministre de l'Education, qui avait remplacé au pied levé le frondeur Benoît Hamon il y a un an, poursuit les réformes programmées dans la loi sur l'école de 2013 de Vincent Peillon.
Les chantiers qui ont suscité les plus fortes polémiques ces derniers mois, la réforme du collège et les nouveaux programmes scolaires du CP à la troisième, ne rentrent pas en vigueur à cette rentrée mais en septembre 2016, à quelques mois de l'élection présidentielle.
Le bilan éducatif ne manquera pas alors d'être observé à la loupe, d'autant que François Hollande a érigé ce secteur en priorité du quinquennat. La droite se positionne déjà sur ce terrain:
Bruno Le Maire a percé en attaquant la réforme du collège, Alain Juppé publie mercredi un livre sur l'école, "mère des réformes". La pré-rentrée des enseignants a été retardée au 31 août et celle des élèves décalée d'un jour au 1er septembre lors d'une révision du calendrier scolaire, qui modifie aussi les zones des vacances.
Le Snalc, syndicat minoritaire hostile à une rentrée en août, a déposé un préavis de grève pour le 31. Les élèves de maternelle seront cette année les premiers à étrenner de nouveaux programmes.
La maternelle devient un cycle à part entière et non plus à cheval avec l'école élémentaire. La grande section n'est plus un "petit CP", suivant l'idée que cette tendance plaçait certains écoliers en échec précoce. Priorité est donnée au langage, à la socialisation, au jeu.
Ces programmes sont assez consensuels, mais le premier syndicat du primaire craint qu'ils restent lettre morte faute de formation des enseignants. La réserve citoyenne, après Charlie Le nouvel enseignement d'Education morale et civique (EMC, la "morale laïque" promise par Vincent Peillon) s'adressera lui aux élèves du CP à la terminale, notamment pour transmettre les valeurs de la République, développer l'esprit critique.
Les syndicats d'enseignants avaient demandé son report à la rentrée 2016, jugeant que le ministère avait voulu aller trop vite après les attentats de janvier à Paris. Les programmes d'EMC n'ont été publiés que fin juin et les manuels ne seront prêts qu'à la rentrée 2016, compliquant l'élaboration des cours.
Un élève le 05 septembre 2011 dans une école à Nantes © Fournis par AFP Un élève le 05 septembre 2011 dans une école à Nantes Toujours pour transmettre les valeurs de la République, une "réserve citoyenne" a également été annoncée, avec des milliers de volontaires qui pourront intervenir à l'école. Parmi eux, les "chasseurs de nazis" Serge et Beate Klarsfeld.
La réforme des ZEP, entamée l'an dernier, finit de se déployer, avec un millier de Réseaux d'éducation prioritaire (REP, collèges et écoles de leur secteur), dont 350 Réseaux d'éducation prioritaire renforcés (REP+) dans les établissements les plus difficiles.
A l'automne dernier, les professeurs et parents de plusieurs établissements s'étaient mobilisés à travers le pays afin de contester leur sortie de l'éducation prioritaire, au bénéfice d'autres écoles.
Le label REP permet d'avoir des ressources spécifiques: classes réduites, travail en petits groupes, pédagogies innovantes, indemnités augmentées pour les profs pour tenter de les attirer et les garder dans les établissements les plus difficiles, scolarisation des enfants de moins de trois ans...
Parallèlement, Najat Vallaud-Belkacem a revu la manière dont sont attribués aux établissements les postes d'enseignants, pour éliminer "les effets de seuil", soit une forte différence des conditions d'enseignement selon que l'on est ou pas en ZEP.
La rentrée 2015 marque aussi l'arrivée dans les classes à temps plein des premiers professeurs à nouveau formés, dans les Ecoles supérieures du professorat et de l'éducation (Espé), créées en septembre 2013. La formation initiale des professeurs avait été supprimée sous Nicolas Sarkozy.