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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Attentat en Tunisie: il se sacrifie pour sauver sa fiancée
Un Britannique de 30 ans s’est jeté devant sa fiancée pour lui sauver la vie lors de l’attaque qui a coûté la vie à 38 personnes vendredi à Sousse, en Tunisie.
La jeune femme, choquée, est saine et sauve. Hospitalisé, lui s’en tire avec des plaies et le bassin cassé.
Il a joué les boucliers humains pour sauver sa bien aimée. Lors de l’attentat perpétré vendredi à Sousse, en Tunisie, un jeune homme de 30 ans s’est sacrifié pour sauver sa fiancée : il s’est jeté devant elle alors que le terroriste mitraillait les touristes sur la plage
Ces Britanniques, Sarah Wilson 26 ans, et Matthew James, 30 ans, étaient en vacances en Tunisie pour deux semaines, sans leurs deux enfants .
Le couple se prélassait sur des transats quand a commencé l’attaque – la pire de l’histoire récente du pays – qui a fait 38 morts selon un dernier bilan des autorités tunisiennes samedi.
Sarah a raconté l’horreur de la scène Daily Mirror.
"Il y avait un homme avec un fusil qui tirait tout autour", témoigne la jeune femme. "Matthew s’est mis devant moi et a été touché, il a bougé et l’homme lui a de nouveau tiré dessus. Il a essayé de partir une nouvelle fois et s’est encore fait tirer dessus", détaille-t-elle. "Nous étions au sol, à côté des transats pour nous réfugier, mais les tirs se poursuivaient", décrit-elle encore. "Je lui dois la vie" Au milieu du chaos, Matthew, blessé, lui ordonne de le laisser pour aller se mettre en sécurité. "J’étais couverte de sang à cause des tirs, mais il m’a juste dit de m’enfuir. Il m’a dit : 'Je t’aime chérie, mais il faut que tu partes. Dis à nos enfants que leur père les aime''.
Elle parvient à s’enfuir, et se cache dans l’hôtel jusqu’à la fin de l’attaque. Elle le cherche ensuite partout, panique, interroge les survivants, retourne même les draps sur la plage pour voir si son corps n’est pas caché en dessous. Peu de gens parlent anglais, et Sarah désespère.
C’est alors que, quelque deux heures plus tard, on lui tend alors un téléphone. Au bout du fil, Matthew, hospitalisé. Atteint par trois balles, à l’épaule, au torse, et à la hanche, il a le bassin cassé.
Mais il est vivant. "Il a pris une balle pour moi", loue Sarah, reconnaissante envers son héros. "Je lui dois la vie car il s’est jeté devant moi quand la fusillade a commencé. C’est la chose la plus courageuse que j’aie jamais vue."
Nancy : un enfant mort à l'hôpital d'une surdose de médicaments
Le petit garçon a reçu seize fois la dose de médicament prescrite.
Sa mort soudaine en mai dernier à l'hôpital de Nancy avait entraîné l'ouverture d'une information judiciaire pour homicide involontaire.
Cet enfant de 4 ans est décédé d'une surdose de médicaments, seize fois supérieure à la prescription, ont affirmé ses parents ce vendredi.
Le petit Timéo est décédé le 1er mai dans le service de réanimation de l'hôpital pour enfants de Nancy, peu de temps après avoir pris les médicaments.
Il était arrivé à Nancy la veille depuis l'hôpital de Saint-Dié (Vosges) en raison de problèmes cardiaques.
«Il a reçu 16 mg de Colchicine au lieu d'un seul milligramme, alors qu'une dose de 2 mg est déjà létale», expliquent aujourd'hui lesparents dans une conférence de presse.
Les parents ont rendu «publiques les causes de la mort car ils ont l'impression d'être traités avec mépris à la fois par le centre hospitalier et l'assureur de l'hôpital, la Société hospitalière d'assurances mutuelles (Sham), qui ne répond pas à leurs courriers», explique l'avocat des parents.
Si une information judiciaire a été ouverte pour homicide involontaire, le juge d'instruction en charge de l'affaire n'a procédé à aucune mise en examen. Une seconde enquête, médico-administrative, a également été ouverte par l'Agence régionale de santé de Lorraine.
Abandonnée pendant 24 heures
Petite de 2 ans morte de chaleur dans une voiture
La police rapporte le cas des deux enfants à la DPJ Une petite fille de deux ans est morte après avoir été laissée seule dans une voiture pendant plus de 24 heures à Baltimore dans le Maryland.
Hier vers 17h15, le père de l'enfant aurait contacté la police afin de demander du secours pour sa gamine inconsciente, selon la station locale WBLA.
La bambine a été transportée d'urgence au Centre hospitalier pour enfants John Hopkins où elle a été déclarée morte à 17h41 après que tout eut été mis en œuvre pour la réanimer.
WBLA informe que le père aurait dit à la police qu'il a ramené l'enfant dans sa voiture dimanche, mais qu'il s'est aperçu seulement lundi qu'il l'avait oubliée dans le véhicule.
Toutes les vitres de la voiture étaient fermées. Selon WBLA, le père est toujours en détention. Pour le moment, aucune accusation n'a été portée contre lui.
Attentat en Isère : la victime décapitée était le patron du suspect La victime de l'attentat, Hervé C. était un entrepreneur quinquagénaire lyonnais.
La seule victime de l'attentat qui a touché une usine de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) était le directeur commercial d'une entreprise de transport à Chassieu (Rhône),
. Hervé C., 54 ans, était l'employeur de l'auteur présumé de l'attaque qui a été interpellé. La tête de la victime a été retrouvée accrochée au grillage de l'enceinte du groupe américain Air Products entourée de deux drapeaux islamistes, signe d'une mise en scène.Le reste du corps a été retrouvé par les enquêteurs «à l'aplomb du véhicule», selon François Molins, le procureur de la République de Paris. C'est la première personne décapitée en France lors d'une attaque terroriste, une pratique fréquemment utilisée en Syrie et en Irak par le groupe Etat islamique (EI).
L'émotion d'un proche de l'homme décapité La victime dirigeait une entreprise de transport disposant d'une habilitation pour entrer sur le site de la société américaine Air Products, où l'attaque a eu lieu. C'est à bord d'un véhicule de l'entreprise pour laquelle il travaillait depuis mars que le suspect a pu pénétrer dans l'enceinte, classée Seveso et dont l'accès est soumis à autorisation. L'auteur présumé de l'attaque a été arrêté sur les lieux par un pompier.
Deux autres personnes ont également été légèrement blessées par une explosion. La décapitation, signature sanglante de Daech Plantées sur des piques au vu des populations, comme vendredi sur les grilles d'une usine en Isère, les têtes des victimes des islamistes sont exhibées comme des trophées de guerre par les membres du groupe Etat islamique (EI) ou Daech.
La décapitation est pratiquée par les groupes affiliées à Al-Qaïda en Irak, qui fut le précurseur de l'EI sous la houlette d'Abou Moussab al-Zarqaoui. Le premier occidental à subir ce supplice fut le journaliste américain Daniel Pearl, égorgé puis décapité au Pakistan en février 2002. La décapitation avait décliné après la mort d'al-Zarqaoui en 2006, mais est revenue en force avec l'émergence de l'EI et la création d'un «califat» à cheval sur la Syrie et l'Irak.
Rita Katz, directrice de SITE, un mouvement d'observation du terrorisme, expliquait en septembre 2014 que le but de la décapitation et de sa diffusion en vidéo était de «recruter une petite minorité de musulmans radicalisés impressionnés par cette violence», qu'ils interprètent comme «une sorte de victoire». Ce type de supplice, abandonné par la plupart des pays islamiques, demeure en Arabie saoudite, provoquant les critiques des associations de défense des droits de l'Homme.
J’ai décidé de pousser un coup de colère il y a deux jours pour l’anniversaire de la mort de mon fils Aubin. Mon fils, atteint du CMV, a vécu cinq semaines et il n’a jamais quitté l’hôpital », raconte Yann Champion.
Son message sur Facebook a été partagé en 48 heures plus de 100.000 fois « La preuve que les gens ne connaissent pas le CMV et qu’il faut donc faire de la prévention », estime ce traducteur.
Sous ce sigle mystérieux se cache le cytomégalovirus, une maladie aux allures de simple rhume qui s’attrape par les fluides corporels (larmes, urines, salive). Souvent attrapée avant 3 ans, cette maladie est bénigne… quand elle ne touche pas les femmes enceintes.
Méconnu, le CMV est pourtant la première cause de surdité à la naissance et il peut entraîner des séquelles très lourdes sur le nourrisson.
Selon des études américaines, le risque de transmission du CMV de la mère au fœtus est d’environ 30 % après une infection aiguë. Et un enfant sur 750 naît avec des séquelles après une infection au CMV.
Une information trop anxiogène ou nécessaire ? Alors pourquoi cette omerta ? « C’est la question qui me turlupine depuis cinq ans, tempête Yann Champion. On a découvert cette maladie à la naissance de notre deuxième enfant. Personne ne nous avait dit de faire attention. C’est criminel de ne pas prévenir les femmes enceintes, surtout celles qui sont au contact de jeunes enfants, par exemple dans les crèches. » Certains gynécologues estiment qu’un test sanguin systématique serait anxiogène pour les femmes enceintes.
« Personnellement, j’aurais préféré être stressée pendant neuf mois que pendant toute ma vie », rétorque Anne-Hélène Labissy, présidente de l’association Chanter, Marcher, Vivre qui lutte pour sensibiliser sur cette maladie et accompagne les familles touchées.
Sa fille Hermance, polyhandicapée après avoir contracté le CMV in utero, vient de fêter ses 10 ans.
« On crée beaucoup de peurs chez les femmes enceintes, reprend Yann Champion. Il est aberrant que l’on fasse des tests systématiques pour la toxoplasmose et non pour ce virus. Certaines chassent même leur chat de la maison quand elles sont immunisées contre la toxoplasmose, par contre on ne leur dit rien de ce virus qui est la première cause de malformation congénitale et qui a tué mon enfant. »
Une prise de sang comme pour la toxoplasmose Pour les parents qui ont traversé cette épreuve, le silence autour du CMV est aussi lié au manque de formation du personnel soignant. Le virus était peu connu il y a une dizaine d’années. A l’époque, il n’existait aucun traitement. Un argument pour les gynécologues démunis face aux questions et angoisses des patients.
« Mais ce n’est plus le cas, assure Anne-Hélène Labissy. Il existe aujourd’hui des traitements à la naissance. » En revanche, les traitements en cours de grossesse sont encore expérimentaux. Cette association milite ainsi pour qu’une information systématique soit donnée à toutes les futures mamans, comme le préconisait un rapport de la Haute Autorité de Santé de 2004.
« Ce n’est pas fait, observe la présidente de l’association. La difficulté, c’est d’informer sans paniquer. Et le deuxième pas serait une prise de sang systématique au début de la grossesse. Quand on a un petit de moins de 3 ans, on partage ses couverts, on finit son assiette, on embrasse ses larmes. » Autant de gestes dangereux si jamais l’enfant est atteint du virus.
« Le problème c’est que le virus reste dans les urines pendant six mois. Et que les séquelles sur le fœtus peuvent apparaître jusqu’à quatre mois après l’infection. C’est pourquoi beaucoup d’interruptions volontaires de grossesse tardives sont liées au CMV. »
Peut-être que ce mouvement de protestation aidera à la diffusion de l’information. C’est ce qu’espèrent ces deux parents. Et Anne-Hélène Labissy de conclure :
« Si un seul enfant peut éviter d’être infecté grâce à notre combat, c’est déjà énorme. »
Une maman de cinq enfants prend un couteau et tue un pédophile avant de déclarer à la police:
"Je m'en suis occupé..."
Sarah Sands, une maman de cinq enfants âgée de 32 ans, a été entendue par le tribunal de Londres, en Grande-Bretagne, pour avoir poignardé à mort un homme de 77 ans, Michael Pleasted, accusé de pédophilie sur deux garçons du quartier d’Old Bailey. Huit coups de couteau qui ont été fatal...
Huit coups de couteau qui ont été fatal... Sarah Sands est accusée d’être rentrée dans la maison de Michael Pleasted et de l’avoir poignardé à huit reprises. L’homme est décédé après s’être vidé de son sang : la mère de cinq enfants avait touché un des principaux vaisseaux sanguins de son bras.
Comme l’explique le Daily Mirror, Michaeal Pleasted était accusé d’avoir agressé sexuellement deux mineurs du quartier et devait passer devant le tribunal en juillet. Selon le procureur londonien Jonathan Rees, Sarah Sands aurait déclaré à la police :
« Je m’en suis occupé, je l’ai poignardé ».Elle avoue l’avoir tué mais nie le meurtre et affirme que l’homme qu’elle a poignardé était « le diable ». Son jugement est attendu d’ici la fin de l’année.
Explosion dans un parc d'attraction près d'Amiens : 18 blessés dont 14 enfants
Les pompiers ont été appelés pour secourir des blessés au parc Samara.
Un petit obus a explosé ce mercredi après-midi dans un parc d'attraction, à la Chaussée-Tirancourt (Somme), près d'Amiens, alors que des enfants participaient sur place à une sortie scolaire, selon une information de France 3 Picardie.
enfants «Ils ont tous été transférés au CHU d'Amiens», a indiqué la préfecture de la Somme. «Ils sont légèrement blessés, mais ils vont bien. Ils ont été emmenés à l'hôpital, mais les dernières nouvelles sont rassurantes», a indiqué le rectorat d'Amiens dans l'après-midi.
Leurs parents sont venus les chercher en début de soirée. Une trentaine de pompiers et des démineurs ont été mobilisés pour intervenir sur place lorsque l'engin a explosé vers 16 heures au parc Samara où des animations présentent la vie au temps de la préhistoire et de l'Antiquité. Une tête d'obus jetée au feu
D'après les informations du Courrier Picard, c'est un forgeron qui a été grièvement blessé. Sous l'effet de l'explosion, une barre de métal a perforé la jambe de cet employé d'origine écossaise. Selon les premières constatations rapportées par le quotidien régional, une tête d'obus aurait été jetée dans le feu de la forge.
Un animateur du parc à thème figure également parmi les blessés. Le pronostic vital du blessé grave n'était pas engagé. Il a subi une intervention chirurgicale dans la soirée.
Les enfants ont été plus ou moins choqués par l'explosion et victimes de petites brûlures, selon Marcel Glavieux, président du comité départemental olympique et sportif, organisateur de la sortie. Ils ont été pris en charge par le Samu.
Une enquête a été confiée à la gendarmerie dont les techniciens de l'identification criminelle se sont mis à pied d'œuvre rapidement. Une cellule d'accueil au CHU d'Amiens «Le Samu a mis en place une cellule d’accueil au CHU d’Amiens pour les familles qui ont été prévenues, assure la préfecture de la Somme.
Ces dernières peuvent joindre la cellule d’accueil au numéro suivant : 03.22.08.75.52.»
L'accident aurait pu être beaucoup plus grave : 420 élèves de CM2 de tout le département étaient présents pour cette sortie à quelques kilomètres à l'ouest d'Amiens.
Les enfants avaient été invités pour une journée olympique, destinée notamment à vanter la candidature de Paris aux jeux Olympiques de 2024. Selon Marcel Glavieux, il s'agit du premier incident de ce type dans ce parc qui appartient au conseil général de la Somme.
Des enfants choqués Deux classes, soit 41 élèves, étaient concernées par la sortie au parc Samara : les CE2-CM1 et les CM1-CM2 du rassemblement pédagogique intercommunal de Doingt-Flamicourt et le Mesnil-Bruntel (Somme).
«La classe de CM1- CM2 était elle-même divisée en deux groupes lors de l'explosion, précise Stéphanie Guittet, 2ème adjointe au maire de Doing-Flamicourt. Le demi-groupe qui était indemne ainsi que l'autre classe est revenu en car comme prévu en début de soirée. Les autres ont été conduits pour de très légères brûlures au CHU d'Amiens. Les enfants sont plutôt atteints au plan psychologique qu'autre chose, notamment avec toute la logistique qui a été déployée au niveau du parc. L'une de mes amies a son fils et sa fille scolarisés dans cette classe, elle est partie au CHU d'Amiens les retrouver mais elle m'a dit que ce n'était pas bien méchant…»
«L'une de mes collègues a été appelée par la directrice de l'école. Lorsqu'elle a appris l'accident, elle a fondu en larme, témoigne une habitante de Doingt-Flamicourt. Ses deux enfants sont dans la classe concernée par l'accident. Comme elle n'a pas pas le permis, elle a dû attendre que son mari rentre de Saint-Quentin pour l'emmener à l'hôpital, elle était paniquée… J'ai pu l'avoir depuis : sa fille n'a rien, mais son fils est légèrement brûlé».
La gendarmerie dispose désormais d'un cinquième modèle de voiture pour embarquer les radars mobiles de nouvelle génération (RMNG). Après les Renault Mégane, les Peugeot 208 et 308 et les Citroën Berlingo, les gendarmes se mêleront à la circulation au volant de Dacia Sandero. La gendarmerie de Melun vient de recevoir la sienne.
Seine-Saint-Denis: Il enlève son bébé de deux ans chez son ex et le poignarde à mort
C’est la mère qui a donné l’effroyable alerte. Elle a raconté aux enquêteurs que son ex-époux avait enlevé son fils de deux ans et venait de l’appeler pour lui dire qu’il l’avait tué.
Les forces de l’ordre ont retrouvé le corps du bébé, poignardé à mort, dans un pavillon de Gagny, mardi vers 17h50, a-t-on appris ce mercredi, confirmant une information du Parisien. Le père – qui est soupçonné d’avoir enlevé l’enfant au Mans (Sarthe) où il résidait avec sa mère – avait, de son côté, pris la fuite.
Il est toujours ce mercredi activement recherché par les forces de l’ordre. Une autopsie est prévue Le corps de l’enfant, touché par plusieurs coups de couteau, notamment à l’abdomen, a été transféré à l’Institut médico-légal pour y être autopsié.
L’enquête a été confiée aux policiers spécialisés de la Sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis.
Haute-Savoie : un camion de pompiers attaqué par trois hommes armés
Un véhicule de secours des pompiers, qui transportait un homme lacéré au cutter, a été attaqué et incendié mercredi matin à Duingt (Haute-Savoie) par trois hommes armés qui sont parvenus à prendre la fuite.
«Le véhicule de secours et d'assistance aux victimes (VSAV) des pompiers transportait un homme lacéré au cutter vers l'hôpital d'Annecy lorsqu'il est tombé dans une embuscade», explique une source proche du dossier. Selon les premiers éléments de l'enquête, «trois hommes ont alors surgi sur la voie publique et ont tiré sur un pompier sans le blesser», a précisé cette source.
Les malfrats ont ensuite mis le feu au véhicule de secours avant de prendre la fuite. On ignorait dans un premier temps si le passager de l'ambulance était avec eux. La gendarmerie a activé un plan de recherche pour retrouver les trois agresseurs.