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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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actualités

ébola

Publié à 09:40 par fandeloup Tags : homme chez
ébola

Ado de 13 ans en quarantaine à Ostende pour écarter Ebola:

"Il ne faut pas s'inquiéter"

Un jeune Guinéen de 13 ans a été placé en quarantaine à l'hôpital AZ Damiaan d'Ostende.

Il est en observation durant 36h pour être sûr qu'il ne soit pas infecté par le virus Ebola.

Le ministère de la Santé publique affirme être presque certain qu'il ne s'agit pas d'Ebola et indique qu'il ne faut pas s'inquiéter à l'heure actuelle.

Un adolescent guinéen de 13 ans, rentré en Belgique la semaine dernière a été placé en quarantaine à l'hôpital AZ Damiaan d'Ostende. Les médecins ont observé qu'il était fiévreux et qu'il souffrait du paludisme. Mais c'est pour écarter tout risque de contamination éventuelle au virus Ebola, qu'ils l'ont placé en isolement.

"Le garçon ne remplit pas les 3 conditions pour être un cas suspect" A ce stade, aucune confirmation du virus. L'hôpital a juste voulu faire preuve de prudence. Il s'agirait donc bien d'une mesure de précaution. "Il ne faut pas s'inquiéter à l'heure actuelle, a affirmé Vinciane Charlier, porte-parole du SPF Santé publique, au micro d'Olivier Patzelt.

Nous sommes à peu près certains qu'il ne s'agit pas d'Ebola, donc il y a 99,5% de chances que ce ne soit pas Ebola.

Car pour être un cas suspect d'Ebola, il faut remplir trois critères:

le premier est de revenir d'un pays touché,

le deuxième est la fièvre. Ces deux critères, le jeune homme les remplit. Mais le troisième, il ne le remplit pas: c'est d'avoir été en contact avec une personne ayant été touchée par la maladie Ebola.

Donc, nous pouvant être rassurants". Sa famille est en isolement chez elle Les membres de la famille du patient et les personnes qui sont entrés en contact avec lui ont également été placés en isolement.

Ceux-ci ne séjournent cependant pas à l'hôpital, étant donné qu'ils ne sont pas malades, mais doivent rester chez eux. Dans un ou deux jours, l'hôpital pourra poser un diagnostic définitif

L'hôpital devrait pouvoir confirmer que le jeune Guinéen n'a pas été contaminé par Ebola dans les 24 à 48 prochaines heures. "Le traitement a débuté dimanche.

Si la fièvre s'en va, nous pourrons conclure qu'il n'a pas été touché par le virus", explique le médecin Mario Schurgers.

Mieux qu’un centre commercial

Publié à 16:59 par fandeloup Tags : couture société fond 2010 création
Mieux qu’un centre commercial

Mieux qu’un centre commercial : une épicerie coopérative, culturelle et solidaire dynamise une commune..

C’est une épicerie, bar, café concert. Un lieu multi-services que font vivre les habitants d’une commune du Morbihan : vente de produits bio, production de bière locale, livraisons pour les personnes âgées, lieu de débat...

Une coopérative au service des habitants, dont tous peuvent devenir copropriétaires. Petite visite guidée à Augan, où se réinvente le vivre-ensemble. Trouver une alternative au capitalisme marchand tout en créant de l’emploi et en répondant aux besoins locaux ?

C’est le défi que se sont lancés en décembre 2009 les 67 associés du Champ Commun, une coopérative de services de proximité à Augan, commune morbihannaise de 1400 habitants. En janvier 2010, ils créent une société(SARL) pour l’exploitation de l’activité économique avec, à la clef, la création d’emplois.

Pari réussi puisque aujourd’hui le Champ Commun emploie six salariés et compte plus de cent associés ! Alors que la lutte contre la disparition des services de proximité dans les communes rurales s’organise, le Champ Commun apporte sa pierre à l’édifice.

« On avait envie avant tout de créer un lieu où les gens du village se rencontrent », explique Mathieu Bostyn, co-gérant de la coopérative. L’endroit combine à la fois une alimentation générale et un bar-café, à la programmation musicale et culturelle variée.

En plein cœur d’Augan, c’est le lieu où l’on peut se retrouver pour discuter d’un sujet de fond tous les premiers jeudis du mois avec l’association Polen, ou s’initier à la couture avec l’Atelier de Louise et Sandrine.

C’est aussi une épicerie, Le Garde-Manger, qui propose des produits bio, locaux, mais pas que. Devenir copropriétaire de l’entreprise Les gérants veulent soutenir la production paysanne locale et promouvoir une autre manière de consommer. Pour autant, dans un esprit de service commun, l’épicerie a choisi d’être une alimentation générale ouverte à tous les habitants.

Et propose une large gamme tous publics, « dans l’idée de faire une alimentation générale populaire, au sens premier du terme », précise Mathieu Bostyn. On y trouve 1 200 références de produits conventionnels, 350 produits issus de l’agriculture biologique et 200 produits locaux.

Quand la coopérative voit le jour, les premiers associés créent en parallèle une société civile immobilière pour l’acquisition d’un bien immobilier destiné à accueillir les différentes activités. Ils diffusent un appel à soutien. Différentes modalités sont possibles : premier niveau, devenir copropriétaire de l’entreprise coopérative en prenant une part sociale, « pour faire appel le moins possible au système bancaire ».

Mais s’associer au projet collectif peut passer par d’autres chemins, comme participer aux travaux d’aménagement des locaux, via des chantiers participatifs ouverts et orchestrés par une équipe permanente expérimentée dans les métiers du bâtiment. Alimenter le champ des possibles D’autres responsabilités sont partagées par le collectif : la programmation culturelle du bar, ou encore le lien avec les producteurs locaux pour alimenter les rayons de l’épicerie.

Le Champ Commun prend de l’ampleur et de nouveaux projets se greffent progressivement. Toujours dans une dynamique de développement local, une micro-brasserie s’est montée et propose une bière maison au comptoir du café, des livraisons pour les personnes âgées ont lieu plusieurs fois par mois et un projet d’accueil en auberge est en train de naître… avec 101 associés. De quoi alimenter le champ des possibles !

Pour que la gestion collective soit avec et au service de la communauté, ses initiateurs ont adopté, en avril 2012, le statut de société coopérative d’intérêt collectif (SCIC), permettant ainsi aux salariés, bénévoles, usagers, mais aussi aux collectivités publiques, entreprises et associations, d’être sociétaires.

flatulences

Publié à 15:48 par fandeloup Tags : animaux divers
flatulences

Allemagne: des vaches font exploser leur étable en pétant 

Les flatulences de 90 bovins ont provoqué une explosion dans leur étable, à Rasdorf, dans le centre de l'Allemagne, endommageant le toit du bâtiment, a rapporté ce mardi la police locale.

Enfermées dans cet "endroit probablement insuffisamment aéré", les ruminants ont produit du méthane qui s'est enflammé "vraisemblablement en raison d'une décharge électrostatique", a précisé un porte-parole de la police.

L'une des vaches a été victime d'une brûlure à l'un de ses pis, a-t-il ajouté. "Mais personne n'a été blessé", a souligné la police dans un communiqué.

Tous les animaux d'élevage produisent du méthane par leurs flatulences. Cependant, les ruminants (boeuf, mouton, chèvre) évacuent des quantités plus grandes de ces gaz que les monogastriques (porc et volaille).

Dangereux les pets de vache?

 

COUP DE FOLIE DANS LE PUY DE DÔME

Publié à 14:55 par fandeloup Tags : homme
COUP DE FOLIE DANS LE PUY DE DÔME

A Mazaye (Puy-de-Dôme), un agriculteur a percuté volontairement plusieurs véhicules de la gendarmerie, cet après-midi.

Deux militaires ont été blessés, dont l'un grièvement.

Vers 16 h 30, ce lundi, une quinzaine de gendarmes s'est rendue au lieu-dit Le Petit Chambois, sur la commune de Mazaye (63) pour interpeller un homme soupçonné de violences conjugales. Lorsque les militaires arrivent sur place, le quinquagénaire se trouve à bord d'un engin agricole, un Manitou.

En les apercevant, il fait brutalement demi tour et charge leurs véhicules avec sa fourche. Le choc est violent : toutes les voitures ont été entièrement détruites. Deux des gendarmes visés ont été blessés, dont l'un plus sérieusement.

Pris en charge par le SAMU, ils ont été transportés vers le CHU de Clermont-Ferrand. Pour se défendre, les militaires ont dû tirer à plusieurs reprises sur la carrosserie de l'engin avant de parvenir à maîtriser cet habitant de la commune.

Le quinquagénaire doit être placé en garde à vue dans la soirée. Une trentaine de gendarmes ont bouclé le périmètre autour de l'exploitation agricole.

Les spécialistes de l'identification criminelle ont également été déployés. L'enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Clermont-Ferrand. "

Un signal radio venu de l'espace

Publié à 18:42 par fandeloup Tags : papier vie homme article annonce message littérature
Un signal radio venu de l'espace

Un signal radio venu de l'espace agite la communauté des astronomes

On les appelle «sursauts radio rapides» ou «sursauts Lorimer», du nom du scientifique australien qui mène les recherches sur cet incroyable phénomène.

De très brefs signaux (quelques millièmes de secondes) qui proviennent de l'espace et qui posent de nouveaux défis aux astrophysiciens.

De là à prouver l'existence d'une vie extraterrestre. .. Prudence. En 2007, l'observatoire de Parkes, en Australie, enregistre un sursaut radio de forte intensité dans la région du Petit Nuage de Magellan, une petite galaxie en orbite autour de la notre, la Voie lactée.

Si la découverte est prise au sérieux par la communauté scientifique (le laboratoire a notamment pour fait d'armes d'avoir diffusé les images du premier homme sur la Lune), les autres signaux captés depuis s'avèrent finalement d'origine terrestre et le phénomène n'est observé par aucun autre observatoire.

Jusqu'au 2 novembre 2012. Cinq ans après le premier sursaut, le radiotélescope d'Arecibo, situé à Porto Rico et exploité par les Américains, isole à son tour un puissant signal radio. Celui-ci ne vient pas des confins de la Voie lactée mais d'une autre galaxie, assurent les scientifiques, sans toutefois s'accorder sur sa provenance. Voilà qui vient confirmer l'existence d'un phénomène insoupçonné.

Et alimenter les fantasmes sur une possible vie extraterrestre : l'observatoire d'Arecibo est célèbre pour avoir envoyé en 1974 un message vers l'amas globulaire M13 à destination d'éventuels petits hommes verts. Le message envoyé par Arecibo en 1974, mis en couleur (Arne Nordmann CC BY-SA 3.0). Hélas, la nouvelle découverte devrait doucher rapidement les espoirs des ufologues.

Dans un article publié en juillet dans la revue scientifique «The Astrophysical Journal», l'équipe d'Arecibo confirme que les étranges phénomènes cosmiques se produiraient en réalité 10.000 fois par jour dans le ciel.

A moins d'envisager la possibilité que nous soyons bombardés de messages de la part d'aliens, qui seraient de surcroît présents dans tout l'univers, il faudra privilégier d'autres pistes. Parmi les hypothèses envisagées : des trous noirs qui s'évaporent, des étoiles à neutrons naissantes ou mourantes, des pulsars d'un nouveau genre...

Ces étoiles qui tournent très rapidement sur elles-mêmes avaient d'ailleurs été découvertes par l'observatoire d'Arecibo en 1967. Un mystérieux signal avait alors été détecté. Il est probable que l'on soit à l'orée d'une découverte de la même importance.

Interrogé récemment par le site d'information américain NPR, Duncan Lorimer admet que la littérature scientifique n'a pas totalement écarté l'hypothèse extraterrestre pour expliquer le sursaut qui porte son nom. Mais, selon le site, un seul papier théorique évoque la possibilité que des êtres intelligents aient envoyé un signal radio à destination de la Terre.

L'astrophysicien James Cordes, qui travaille à la résolution de l'énigme au sein de l'université américaine Cornell, exclut pour sa part toute implication extraterrestre. Tout en concédant qu'il faudra de nombreuses autres observations pour expliquer la provenance des sursauts rapides :

«A ce stade, nous ne savons pas par quoi ces sursauts sont provoqués.» Ce qui est sûr, c'est que l'avenir s'annonce plein de promesses pour les astrophysiciens.

ars

Publié à 13:09 par fandeloup Tags : enfants
ars

L'allocation de rentrée scolaire, en hausse, sera versée le 19 août

L'allocation de rentrée est versée sous conditions de ressources à 3 millions de familles. Elle augmente cette année de 0,7% et sera versée le 19 août afin d'aider les parents à payer les fournitures scolaires.

 L'allocation de rentrée est versée sous conditions de ressources à 3 millions de familles.

Elle augmente cette année de 0,7% et sera versée le 19 août afin d'aider les parents à payer les fournitures scolaires.

L'allocation de rentrée scolaire (ARS) est versée, sous conditions de ressources, aux familles ayant au moins un enfant scolarisé et âgé de 6 à 18 ans (né entre le 16 septembre 1996 et le 31 décembre 2008 inclus).

Elle permet d'aider les familles à financer les dépenses de la rentrée scolaire. Son montant dépend de l'âge de l'enfant.

L’allocation de rentrée scolaire (ARS) sera versée aux familles à compter du 19 août 2014 (ou dès réception du justificatif nécessaire pour les apprentis et les étudiants salariés).

À la rentrée scolaire 2014, les montants de l’ARS sont de : 362,63 euros pour un enfant de 6 à 10 ans (contre 360,47 euros en 2013),

382,64 euros pour un enfant de 11 à 14 ans (contre 380,36 euros en 2013)

et 395,90 euros pour un enfant de 15 à 18 ans (contre 393,54 euros en 2013) Pour les familles déjà allocataire, il n'y a aucune démarche à faire pour les enfants de 6 à 16 ans.

Il faut simplement avoir déclaré ses revenus 2013 aux impôts, à la caisse d'allocations familiales (Caf) ou la caisse de mutualité sociale agricole (MSA). Pour les enfants de 16 à 18 ans toujours scolarisés, il faut faire une déclaration auprès de la caisse.

Pour ceux qui ne sont pas allocataires, il faut effectuer une déclaration de situation ainsi qu'une déclaration de ressources 2013 auprès de la Caf ou de la MSA. Plus besoin de justificatif "Dès la rentrée 2014, les parents d'adolescents de 16 à 18 ans n'auront plus à fournir de justificatif de scolarité pour bénéficier de cette aide", ont-elles annoncé.

"Désormais, une simple attestation sur l'honneur assurant que l'enfant est bien scolarisé suffira". Cette modification répond à une demande des associations familiales, qui avaient regretté dans le passé la nécessité d'attendre que la rentrée soit passée pour obtenir un certificat de scolarité auprès de l'établissement, entraînant un délai dans le versement de l'aide pouvant peser sur les familles les plus modestes.

Pour bénéficier de l'allocation de rentrée scolaire, il faut avoir eu, en 2012, des ressources inférieures à 24.137 euros pour les familles avec un enfant, 29.707 euros pour celles avec deux enfants, 35.277 euros pour trois enfants. Le montant du plafond augmente ensuite de 5.570 euros par enfant supplémentaire

investissement

Publié à 11:03 par fandeloup Tags : création travail homme chats animaux
investissement

4 pattes pour un toit : des jeunes s’investissent dans la protection animale

Ludovic Bonnefoy et Benjamin Laruelle, âgés respectivement de 22 et 17 ans, partagent la même passion pour les animaux. Ulcérés de voir tant de bêtes malheureuses abandonnées dans les rues, ils ont décidé de monter en mai dernier leur propre association. « 4 pattes pour un toit » est née d’une rencontre imprévue entre deux jeunes hommes.

Un jour, Ludovic Bonnefoy, fonctionnaire de police, reçoit la plainte de Benjamin Laruelle concernant une maltraitance d’animaux. Face à la détermination et l’engagement du jeune homme en faveur de la cause animale, le policier, conquit, décide de recontacter le jeune homme pour le rencontrer :

« Benjamin consacrait tout son temps libre à sauver des animaux, explique-t-il, je tenais à le féliciter, c’est rare de voir quelqu’un de son âge autant investi pour une cause ».

Amoureux des bêtes lui aussi, il décide alors de le suivir dans ses actions :

« C’est à ce moment là que nous avons décidé de créer notre propre association », raconte-t-il. Son objectif : récupérer un maximum d’animaux errants, les identifier, les stériliser, et les proposer à l’adoption.

Et c’est un succès, trois mois après sa création, « 4 pattes pour un toit » compte déjà une trentaine d’adhérents et a à son actif une cinquantaine sauvetage, essentiellement des chats abandonnés.

L’été, période propice aux abandons Il faut dire qu’en cette période estivale, les animaux abandonnés courent les rues.

« Il y a de plus en plus d’associations comme la nôtre car il y a de plus en plus d’animaux abandonnés. C’est insupportable, se désole le Président de l’association, notre travail est donc de limiter leur prolifération mais également de raisonner les gens qui trop souvent, prennent des animaux sans se rendre compte de ce que cela implique ». Les deux jeunes hommes sont d’ailleurs attentifs à qui ils confient les animaux :

« L’adoption doit être un acte réfléchi », prévient Ludovic Bonnefoy. Les animaux sont suivis pendant deux ans Pour cela, les deux Briards précisent aux personnes venues adopter par le biais de « 4 pattes pour un toit » que les animaux qui leur sont confiés seront suivis régulièrement par l’association pendant au moins deux ans.

« Sans être trop intrusifs, nous nous sommes mis d’accord avec Benjamin sur la nécessité suivir nos bêtes, conclut Ludovic Bonnefoy, c’est une condition essentielle dans nos placements, et l’un des points forts de notre association ».

ébola

Publié à 10:28 par fandeloup Tags : photo blog france
ébola

Virus Ebola en France? Patrick Balkany l'affirme, le ministère dément

 Le député et maire de Levallois, Patrick Balkany, a adressé une question écrite à la ministre de la Santé lundi, affirmant que plusieurs cas de personnes contaminées par le virus Ebola auraient été signalés sur le territoire français. Contacté par metronews, le cabinet de Marisol Touraine "dément catégoriquement".

Virus Ebola en France

Malgré le démenti du ministère de la Santé, Patrick Balkany affirme qu'il y a des personnes contaminées par le virus Ebola en France. Le député et maire de Levallois, Patrick Balkany, a lâché un scoop inquiétant lundi. Dans une question écrite adressée à la ministre de la Santé, Marisol Touraine, et publiée sur son blog, il affirme que plusieurs cas de personnes contaminées par le virus Ebola ont été signalés en France.

"Madame le Ministre a récemment déclaré que le risque d’importation du virus en Europe et en France était faible, ajoutant qu’aucun cas importé n’avait d’ailleurs été signalé. Or, selon des sources médicales fiables, plusieurs cas auraient été signalés sur le territoire français", assure Patrick Balkany.

"Il n'y a qu'une seule source médicale" Contactés par metronews, Patrick Balkany et son épouse, Isabelle, refusent de donner plus de détails. "C'est une question écrite, la ministre a juste à confirmer cette information ou à l'infirmer", indique Isabelle Balkany, qui nuance toutefois au passage la solidité de l'information :

"Il n'y a qu'une seule source médicale qui refuse de se faire connaître". Egalement joint par metronews, le ministère de la Santé "dément catégoriquement" cette information. "Il n'y a aucun cas recensé en France, mais nous restons toutefois très vigilants", précise un conseiller de la ministre, qui se montre agacé par les déclarations intempestives du député-maire. Et pourtant le couple de Levallois persiste et signe :

"Avec la libre circulation, je ne vois pas comment la France pourrait être épargnée. On nous avait déjà fait le coup avec Tchernobyl".

ébola

Publié à 19:55 par fandeloup Tags : afrique mort annonce dieu
ébola

Le comité d'experts réuni lundi par l'OMS a approuvé l'emploi de traitements non homologués dans la lutte contre la fièvre hémorragique Ebola, selon un communiqué de l'organisation mardi.

«Devant les circonstances de l'épidémie et sous réserve que certaines conditions soient remplies, le comité a abouti au consensus estimant qu'il est éthique d'offrir des traitements non homologués dont l'efficacité n'est pas encore connue ainsi que les effets secondaires, comme traitement potentiel ou à titre préventif», explique l'Organisation mondiale de la santé.

Le comité a défini comme conditions d'emploi de ces traitements «une transparence absolue quant aux soins, un consentement informé, la liberté de choix, la confidentialité, le respect des personnes, la préservation de la dignité et l'implication des communautés». Les experts se réfèrent à «l'obligation morale de collecter et partager les données sur la sécurité et l'efficacité de ces interventions» qui doivent faire l'objet d'une évaluation constante en vue de leur utilisation future.

La fièvre hémorragique Ebola qui sévit en Afrique de l'Ouest a franchi la barre des 1000 morts, avec 1013 décès et 1848 cas dénombrés (confirmés, suspects et probables), selon le dernier bilan de l'OMS lundi soir. Avant même l'annonce de l'approbation de l'OMS, les États-Unis avaient promis l'envoi au Liberia, l'un des pays les plus touchés par l'épidémie, d'un sérum expérimental, disponible en très faibles quantités, pour traiter les médecins libériens actuellement infectés. Ce sérum a été utilisé avec de premiers résultats positifs sur deux soignants de nationalité américaine rapatriés aux États-Unis.

Le Liberia en avait fait la demande et sa présidente, Ellen Johnson Sirleaf, en a annoncé lundi l'envoi dans le courant de la semaine. Mort du missionnaire espagnol Par ailleurs, le missionnaire espagnol atteint du virus Ebola et rapatrié jeudi à Madrid en provenance du Liberia, est décédé mardi, a annoncé une porte-parole de l'hôpital où il était soigné.

Le prête catholique Miguel Pajares, âgé de 75 ans, «est mort à 09h28», a affirmé à l'AFP une porte-parole de l'hôpital La Paz-Carlos III. Le missionnaire, qui était le premier malade atteint du virus hémorragique a être rapatrié en Europe, avait contracté le virus au Liberia où il travaillait dans l'hôpital Saint-Joseph de Monrovia dépendant de l'ordre religieux de Saint-Jean de Dieu.

Il s'agit du quatrième membre du personnel de cet hôpital, fermé le 1er août par les autorités libériennes, qui décède en 10 jours après avoir contracté le virus. Le missionnaire avait été rapatrié dans un avion militaire médicalisé, dans une capsule de plastique spéciale, en compagnie d'une religieuse pour laquelle les examens médicaux n'ont pour l'heure par révélé la présence du virus.

une mère et sa fille emmurées vivante

Publié à 17:06 par fandeloup Tags : enfant nuit fille mort femme monde
une mère et sa fille emmurées vivante

Ebola : une mère et sa fille emmurées vivantes au Liberia..

La peur de l'épidémie a poussé les habitants de Ballajah à condamner une villageoise et sa fille de douze ans contaminées à une mort lente et atroce. Au Liberia, où le virus Ebola a fait 323 morts selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la crainte de la propagation de l'épidémie a généré la semaine dernière une scène particulièrement effroyable.

Dans la localité de Ballajah, peuplée d'environ 500 individus, une jeune fille de douze ans est morte une semaine après sa mère avec laquelle elle avait été emmurée vivante, a rapporté dimanche l'AFP.

Le 20 juillet, le virus Ebola a été détecté dans la famille de la jeune Fatu Sherrif, suscitant la panique parmi les habitants de son village. Les autorités sanitaires, contactées par ces derniers, ont tardé à venir. À leur arrivée, le père de famille de 51 ans, Abdulah Sherrif, était décédé.

Sa femme Seidia Passawee Sherrif, 43 ans, était contaminée, tout comme sa fille Fatu Sherrif. Seul le fils, Barnie, était épargné par le virus. Un village quasi-désert L'équipe dépêchée par la ministère de la Santé a pu récupérer et inhumer le corps d'Abdulah, mais n'a pas réussi à s'approcher de Seidia ni de Fatu: les portes et les fenêtres de la maison de la famille ont été scellées par les villageois, avec la mère et la fille entre ses murs.

Elles «pleuraient jour et nuit, sans cesse, suppliant la population de leur apporter à manger, mais tout le monde avait peur» d'atteindre leur foyer, a affirmé un des agents sanitaires sur place, Momoh Wile. La mère est morte le 3 août, et son enfant dans la nuit du lundi à mardi. Le fils de la famille, Barnie, pourtant testé négatif au virus, a quant à lui été contraint de s'isoler dans un logement abandonné. La bourgade de Ballajah, effrayée par la présence d'Ebola, a été en grande partie désertée (...)