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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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maltraitance

Publié à 15:19 par fandeloup Tags : chien vie homme chez photos animaux
maltraitance

Au Luxembourg, un homme de 73 ans et son fils de 45 ans sont accusés d’avoir négligé leur chien, au point que la vétérinaire qui l’a pris en charge a dû se résoudre à l’euthanasier.

Ils risquent une peine de prison de 3 mois, une amende et une interdiction de détenir des animaux domestiques.

Le verdict sera prononcé le 20 octobre.

Ce mercredi, un père et son fils, âgés respectivement de 73 et 45 ans, ont comparu devant le tribunal de Luxembourg pour des faits de négligence à l’égard de leur chien. Celui-ci était dans un état de santé qui avait considérablement décliné lorsqu’il avait été confié aux soins d’une vétérinaire, si bien que cette dernière a été contrainte de mettre fin à ses souffrances en décembre 2014.

Les 2 hommes sont accusés de ne pas avoir apporté les soins nécessaires à l’animal. Il n’était pas correctement nourri et ne bénéficiait pas d’un abri digne de ce nom. Par ailleurs, le père, qui en avait la responsabilité, ne l’avait pas enregistré auprès de la mairie.

Chez la vétérinaire, le chien avait été mis sous perfusion, mais cela n’avait pas suffi à le sauver. Il souffrait d’une défaillance rénale et ne pesait que 14 kg, alors qu’il devait en faire 8 de plus. Au bout de 2 semaines de soins infructueux, l’animal en grande souffrance avait dû être euthanasié.

L’homme et son fils se sont défendus en déclarant que c’était le refuge français, auprès duquel ils l’avaient adopté, qui ne lui fournissait pas l’alimentation adéquate. L’avocate de la Ligue de défense des animaux, partie civile dans cette affaire, a réclamé 5000 euros de dommages et intérêts et une interdiction à vie de garder des animaux. L’avocat du fils a, pour sa part, demandé une nouvelle expertise des photos pour déterminer l’état du chien, requérant la relaxe de son client.

De son côté, la représentante du Parquet a estimé qu’aucune autre expertise n’était nécessaire et que les 2 hommes avaient la responsabilité du chien. Partant de ce fait, elle a requis une peine de 3 mois de prison pour chacun des accusés (avec sursis pour le fils), ainsi qu’une amende et une interdiction de détenir des animaux de compagnie pour une durée de 5 ans.

La date du 20 octobre a été fixée pour le verdict.

beau

Publié à 16:58 par fandeloup Tags : oiseau merci coeur nature animal bretagne
beau

Il a libéré un cygne empêtré dans un filet. Il ne s’attendait absolument pas à ce que l’oiseau le remercie de cette façon Le présentateur d’une émission sur la nature très populaire en Grande-Bretagne, “Born to explore”, a visité un jour une colonie de cygnes, l’Abbotsbury Swannery.

Richard a vu un oiseau qui était blessé car il avait été pris dans un morceau de clôture dont il n’arrivait pas à sortir. Sans hésitation, il a aidé le cygne. Quand il fut soigné par les vétérinaires, il le tenait encore et l’apaisait.

L’oiseau a décidé de lui montrer sa reconnaissance et a entouré son cou autour du sien. On dirait qu’il a voulu l’étreindre et lui dire merci pour tout ce qu’il avait fait pour lui. 1 Quand je le tenais, j’ai senti les battements de son coeur. Il s’est détendu et s’est enroulé autour de mon cou.

C’est un moment merveilleux lorsque vous pouvez voir qu’un animal vous fait entièrement confiance.

miracle

miracle

Cette femme enceinte ne savait pas que son bébé allait lui être enlevé de son ventre. Quelques semaines plus tard, elle voit ÇA !

L’infirmière anglaise, Colvina Jolin, a 28 ans et a épousé son mari il y a maintenant deux ans. 

Ils sont tous les deux très heureux que leur famille s'agrandisse : Colvina est enceinte de 23 semaines. Les futurs parents attendent avec impatience l'arrivée de leur enfant et s’attellent à préparer la maison, acheter des vêtements et chercher un prénom .

Mais un jour, alors que Colvina passe un après-midi normal à faire un peu de ménage, sa vie va changer du tout au tout. Colvina souffre soudainement d’effroyables maux de tête.

Elle est tout juste capable d’attraper le téléphone et d’appeler son mari avant de tomber, inconsciente. Matt ne sait pas ce qui arrive à sa femme et appelle immédiatement les secours qui arrivent en quelques minutes. Une fois sur place, les ambulanciers ne parviennent pas à établir de diagnostic et emmènent donc la jeune femme à l’hôpital, gyrophares allumés et sirène hurlante. Dans la salle des urgences, le diagnostic tombe : Colvina souffre d’une importante hémorragie cérébrale.

Elle doit être transférée dans une clinique spécialisée. Mais les chances qu’elle survive au transport ne sont que de 10 %. Matt doit prendre une décision difficile : s’il choisit de ne pas la transférer, elle mourra et s’il décide de le faire, elle a de meilleures chances de survie mais le risque pour leur petite fille encore dans le ventre de sa mère est plus élevé.

Matt décide de la transférer à la clinique. Il a pris la bonne décision. Colvina survit au transfert et en quelques minutes son crâne est ouvert pour subir une intervention d’urgence. Les docteurs font maintenant une découverte dramatique : la pression dans son cerveau est si forte que le bébé ne reçoit pas suffisamment de sang. Toutes les alarmes sont enclenchées et chaque seconde compte.

Sous une pression immense, l’équipe médicale fait tout ce qui est en son possible pour sauver le bébé toujours dans le ventre de sa mère. Ils réussissent leur opération et les conditions de la mère et de l’enfant sont stabilisées. Mais il n’y a pas que des bonnes nouvelles : Colvina tombe alors dans un coma profond et personne ne sait si elle se réveillera un jour.

Impuissants, sa mère et son mari sont les témoins de cette situation dramatique alors que les semaines passent sans que Colvina ne se réveille. Miraculeusement, ils voient sa main émettre continuellement des spasmes et semble vouloir bouger vers son ventre pour le tapoter.

On dirait que Colvina se rend compte inconsciemment qu’elle porte une autre vie. À la 29ème semaine, il est temps : Colvina entre en travail alors qu’elle est toujours dans le coma. La bataille commence de nouveau, car une femme donnant naissance en état de coma est quasiment impossible.

"En treize ans de chirurgie, je n’ai vécu cette situation que trois fois. C’est un miracle quand cela réussit", raconte le chirurgien en chef, Dr. Andy Eynon. Et oui : le miracle se produit par césarienne et la petite Maia voit le jour sans encombre !

Tous poussent un soupir de soulagement. Matt est toujours torturé car bien qu’il soit maintenant un papa fier, personne ne peut lui donner de pronostic sur l'évolution de l'état de Colvina. Ils allongent le bébé dans les bras inconscients de sa mère, mais sans réaction de sa part.

Même pour la petite Maia, le danger n’est pas écarté. La naissance a épuisé presque toutes ses forces et un combat constant entre la vie et la mort s’installe. La petite fille a ressuscité deux fois déjà et passe ses premières semaines dans un incubateur pour bébés prématurés.

Matt est à bout. Il est tourmenté entre la peur de perdre sa fille, d'une minute à l'autre, et l’inquiétude pour la vie de sa femme. Mais six semaines plus tard, le miracle que personne n’attendait plus se produit : Colvina se réveille ! Elle demande immédiatement des nouvelles de sa fille et dit : "J’ai senti qu’elle était née et qu’elle allait bien." La première fois que sa fille est placée dans ses bras est un moment très émouvant.

Les docteurs et personnels soignants peuvent difficilement le croire, tout le monde retient ses larmes et Matt a soudain l’air d’avoir 20 ans de moins. Il est tellement heureux de retrouver, enfin, les deux personnes qui comptent le plus pour lui. Colvina est maintenant de nouveau capable de marcher et fait d’énormes progrès pour retrouver la parole.

Bientôt, elle pourra prendre soin de sa fille. Tout le monde est très impressionné par ses progrès. Les médecins sont rarement témoins de ce genre de cas. Les Jolin peuvent difficilement croire en leur chance et remercient chaque jour de pouvoir vivre après ce terrible drame. La petite Maia grandit en pleine santé et est le joyau précieux de parents très fiers. Elle ne le sait pas encore, mais quand elle sera plus grande, ses parents lui raconteront le miracle de sa naissance.

L'histoire de cette famille relève simplement du miracle et leur bonheur est bien mérité.

hommage

Publié à 15:30 par fandeloup Tags : nature fille enfant vie monde belle mort histoire message anniversaire
hommage

Le garçon meurt dans son sommeil – son père construit une pierre tombale que des millions de personnes vont visiter

Le 23 Septembre, 1988 Ernest et Anneke Robinson ont accueilli leur fils, Matthew Stanford Robinson, dans ce monde. Matthew est né avec un grave handicap.

En raison d’un manque d’oxygène, il était aveugle et paralysé depuis le cou. Les médecins disaient que Matthew ne pourrait vivre que quelques heures, mais avec le soutien de sa famille et de sa propre force, Matthew a vécu jusqu’à l’âge de 10 ans et demi. Lorsque Matthew est décédé en 1999, son père, Ernest, a décidé de faire de la pierre tombale de son fils quelque chose de spécial, représentant bien Matthew, et symbolisant l’espoir plutôt que la douleur.

En regardant les images ci-dessous, vous comprendrez pourquoi la pierre tombale est devenu l’une des plus touchantes dans le monde.

En 1988, Matthew Stanford Robinson est né aveugle et paralysé depuis le cou. Ses parents, Ernest et Anneke, ont dit que Matthew avait seulement quelques heures à vivre. Mais Matthew était un battant.

Il a vécu une vie pleine d’amour et d’espoir. Bien qu’il ne pouvait dire que quelques mots, Matthew continue d’inspirer sa famille et tout le monde autour de lui… Matthew est mort dans son sommeil avant son 11ème anniversaire. Et à ses funérailles, l’église était remplie de personnes endeuillées. La nécrologie de Matthew incluait le message suivant:

Et puis il arrivera que les esprits de ceux qui sont justes seront reçus dans un lieu de bonheur, qui est appelé le paradis, un lieu de repos, un lieu de paix, où ils se reposeront de toutes leurs difficultés et de tous les soins, et de la douleur ». En 2000, le père de Matthew, Ernest, a construit une pierre tombale en mémoire de son fils. Elle représente une sculpture étonnante d’un garçon qui se lève de son fauteuil roulant et regarde vers le ciel.

 La pierre tombale est devenue un lieu d’espoir plutôt qu’un lieu de deuil, et elle a été visitée par des millions de personnes venant de partout dans le monde. Enjoy Utah la décrit de cette façon: « Un jour, en allant faire des recherches au cimetière de Salt Lake City, j’ai repéré cette belle pierre tombale et le mémorial.

Elle m’a immédiatement mise les larmes aux yeux, et elle m’émeut encore à chaque fois que je m’y rends… Jamais auparavant je ne suis tombé sur une statue si touchante qui en dit tellement juste au premier coup d’œil ». Inspirés par leur fils, Ernest et Anneke ont créé une association appelée Ability Found.

L’organisation aide les personnes handicapées en fournissant des équipements d’assistance aux personnes qui ne peuvent pas se le permettre. Et en aidant les autres, ils honorent Matthew pour tout le bonheur qu’il leur a donné. S’il vous plaît partagez cette merveilleuse histoire du petit Matthew si vous souhaitez également honorer sa mémoire.

cette fillette est à l’agonie

Publié à 11:23 par fandeloup Tags : vie moi monde enfants fille sourire rose
cette fillette est à l’agonie

A 13 ans, cette fillette est à l’agonie dans une cabane. Mais 5 mois après, vous n’allez pas imaginer ce qu’elle est devenue!

Nagina est une jeune fille qui vit au Népal, en région rurale. Par un coup du sort, elle est née avec une maladie rare, qui rend sa peau très épaisse et écailleuse. Ses parents, de pauvres fermiers, n’ont pas les moyens ni les connaissances pour lui venir en aide, et ne savent pas quoi faire pour elle.

Nagina est une enfant en perpétuelle agonie, dont la peau sèche, craquelle, jusqu’à tomber. Rongée par sa condition, elle se renferme sur elle-même, perd la parole et entre dans une grande dépression. Pendant des années, elle ne rit plus, ne sourit même plus. Sa vie n’est plus que souffrances. Lorsqu’une équipe médicale arrive au village, ils la découvrent dans une cabane en bois, cachée, incapable de bouger et dans une grande détresse.

On l’emmène alors au Centre de Réhabilitation pour Enfants Handicapés, où les médecins diagnostiquent après auscultation qu’elle est atteinte d’ichtyose, une maladie qui rend la peau écailleuse.

Malheureusement, il n’y a pas de traitement connu pour cette maladie. Pourtant, une organisation humanitaire, Direct Relief, entend parler de l’histoire de cette jeune fille et décide de lui venir en aide. Pour la soigner, ils décident de lui appliquer de la vaseline, une gelée qui permet d’hydrater un maximum les cellules de la peau, de les régénérer et les guérir.

La Vaseline est donc livrée au centre par caisses, et jour après jour, les infirmières traitent la peau de l’enfant dans son ensemble. Chaque matin, on la baigne, puis on couvre son corps de compresses de gaz imbibées de la pommade. Les résultats ont été visibles dès les premiers jours et ne cessent d’émerveiller le corps médical: la peau devient moins dure, un peu plus rose, les cellules saines remplacent les cellules écailleuses. Elle guérit !

Nagina, contre toute attente, a vu sa vie se transformer. En quelques semaines, la souffrance disparait peu à peu et la jeune fille est enfin en paix. Ce traitement à la Vaseline qui peut paraitre très simple pour nous autres, lui a littéralement sauvé la vie. Nagina a rencontré les autres enfants du centre, elle s’est remise à sourire, à rire, et a commencé une physiothérapie pour apprendre à se déplacer avec une chaise roulante.

Aujourd’hui, cinq mois après, l'adolescente a treize ans et étudie dans une école spécialisée pour enfants handicapés. Elle s’est révélée être une enfant rayonnante, intelligente, ouverte aux autres et au monde. “Elle est extrêmement douée et malgré qu’elle soit née avec une main déformée, elle s’est adaptée et écrit maintenant mieux que moi !” confie le Docteur Bibik Banskota, directeur médical au Centre. Dans beaucoup de pays pauvres avec un faible niveau d’éducation, c’est un préjudice, de vivre avec une maladie.

Les gens qui naissent avec des besoins spéciaux doivent faire face à la difficulté d’accès aux soins et surtout, à la difficulté d’être acceptés tels qu’ils sont par les autres. Grâce à l’aide et au soutien formidable des volontaires de l’organisation, Nagina a la possibilité de vivre normalement malgré sa condition.

Après treize années de dépression et d’enfermement, elle commence enfin à être socialement acceptée !

ce bébé est enveloppé d’une armure de peau.

Publié à 16:21 par fandeloup Tags : vie monde enfants femme mort fille ange bébé
ce bébé est enveloppé d’une armure de peau.

Lorsque les médecins retirent l’enfant du ventre de sa mère, ils ont le souffle coupé : ce bébé est enveloppé d’une armure de peau.

Une Indienne de 23 ans, originaire de la ville de Amravati, a donné naissance à une petite fille par césarienne dont l'apparence a marqué les médecins : à la place de la peau, le nourrisson était recouvert de plaques blanches épaisses.

Le bébé de 1,7 kg souffre d'une maladie appelée ichtyose congénitale forme récessive, provoquée par un défaut génétique affectant la formation de la peau. Cette maladie provoque une augmentation si accrue de la formation de la peau que l'épiderme devient extrêmement épais.

C'est comme si l'enfant était enveloppé d'une armure de plaquettes en corne qui se craquelle lorsqu'elle devient trop sèche. Étant donné que la peau est beaucoup trop tendue, les paupières et lèvres de l'enfant sont renversées.

En règle générale, cette maladie est détectée dans les premiers mois de la grossesse, mais comme la jeune femme est issue d'une famille pauvre, elle n'a pas pu s'offrir les examens prénataux nécessaires à la détection de la maladie.

Selon les médecins indiens, c'est un miracle que la petite fille ait survécu à la naissance, car son état était très critique. Malheureusement, malgré tous les efforts des médecins, la petite fille est morte d'une septicémie trois jours après sa venue au monde. Les parents sont dévastés par la mort de leur petite fille spéciale qu'ils avaient surnommée "cadeau du Ciel".

Ils ont pris la décision de donner le corps de leur petit ange à la science afin que cette maladie rare puisse être étudiée et dans l'espoir qu'une avancée voit le jour. Avec énormément de soin, vivre avec cette maladie (prévalence à la naissance de 1/1 000 000) est pourtant possible.

Les personnes atteintes de cette maladie doivent se laver plusieurs fois par jour et retirer rapidement l'excédent de peau tout en s'hydratant continuellement. Une Américaine de 23 ans également, atteinte de la maladie, a donné la vie à deux magnifiques enfants.

la maman se rappelle

Publié à 11:51 par fandeloup Tags : monde bonne enfants femme travail mort heureux nuit fille lecture amoureux moi
la maman se rappelle

Le papa meurt subitement et laisse la maman et les 8 enfants seuls, puis la maman se rappelle qu'il agissait étrangement au lit!

Cloe et James sont un adorable couple britannique, amoureux depuis la fin de l’adolescence. Cloe n’avait que 17 ans quand Leo, leur premier enfant est né. Bien que ce fût un choc pour eux, ils se rendirent compte qu’ils étaient des parents formidables. Et James adore les enfants, ce grand gaillard au cœur tendre en a toujours voulu et beaucoup.

Deux ans plus tard, c’est Oliver, leur deuxième enfant, qui fit son entrée dans ce monde, et bientôt Megan, leur première fille, arriva elle aussi. D’ailleurs, après la naissance de Megan, James a fait un clin d’œil tout en souriant à Cloe « Juste un autre de plus, Clo. »

Puis, vint Miley. Toutefois, Cloe a toujours souffert d’infirmité motrice cérébrale et nécessitait des soins spécifiques, alors le couple décida qu’ils avaient assez d’enfants et la jeune femme reçut un implant contraceptif.

Sauf que cet implant ne fonctionnait pas comme il le devait et elle est retombée enceinte. Selon James, c’était un signe du destin, ils devaient avoir plus d’enfants. Vinrent Lacey et Lexi, elles aussi atteintes d’infirmité motrice cérébrale, comme leur mère. En 2015, James était ravi d’apprendre que son épouse était encore enceinte, heureux de voir son ventre se former.

Toutefois, après Elijah, ils ont décidé qu’il s’agissait vraiment du dernier. James était un papa formidable, il travaillait et s’occupait de ses enfants, tandis que Cloe était maman à plein temps. Il les emmenait à l’école, retournait travailler au café avant de retourner les chercher. À la maison, il jouait avec eux et leur faisait la lecture jusqu’au coucher.

Malheureusement, à peine trois mois après avoir accueilli Elijah, un drame secoua la famille. Le couple était allé se coucher, une nuit tout à fait comme les autres. Vers 4h30 du matin, James s’est assis droit dans le lit, se réveillant et a arrêté de respirer sous le coup d’une attaque.

Malgré les tentatives de réanimation de Cloe en attendant les ambulanciers, rien n’y faisait. À 31 ans, James était décédé dans son sommeil. Il semblait en bonne santé, son décès a pris tout le monde par surprise, et attendaient que le médecin-légiste détermine la cause de sa mort.

Il est décédé d’une maladie cardiaque liée à l’hypertension. Apparemment, quand il a eu son attaque, il pouvait s’agir d’une crise d’angine liée à une trop haute pression sanguine dans le cœur, depuis trop longtemps. Les gens peuvent en souffrir sans même s’en rendre compte.

Le départ de James a été un véritable choc, heureusement, des proches ont su soutenir Cloe, veuve à 27 ans. Afin de rendre honneur à James, elle a décidé de devenir la mère la plus solide qu’elle pouvait. « Il aimait être un père plus que tout et a fait de moi une mère forte, capable de faire face à tout ce travail seule, » dit Cloe.

Bien qu’elle ait le cœur brisé d’avoir perdu si tôt son mari, elle est heureuse qu’il ait pu vivre son rêve d’avoir une famille nombreuse.

archéologues

Publié à 18:45 par fandeloup Tags : poésie monde mer dieu art
archéologues

Des archéologues trouvent des mosaïques vieilles de 2200 ans dans un état parfait.

Des archéologues ont déterré trois mosaïques grecques vieilles de 2200 ans dans un état tout simplement parfait.

En 2014, le professeur Kutalmis Görkay de l'Université d'Ankara et son équipe d'archéologues ont découvert trois mosaïques antiques grecques dans la ville turque de Zeugma, près des frontières de la Syrie. En 2007, la ville de Zeugma attendait une inondation en raison de la construction d'un barrage.

L'équipe de l'archéologue craignait de perdre les anciens trésors de Zeugma en raison de cette inondation et ils avaient donc commencé leurs expéditions immédiatement.

Lorsqu'ils tentaient de trouver des trésors anciens, ils sont tombés sur trois mosaïques grecques antiques datant du deuxième siècle avant JC. Bien que la ville Zeugma soit maintenant 80% sous l'eau, l'équipe continue ses recherches dans l'espoir de trouver d'autres objets.

Voici quelques-unes des magnifiques découvertes: Une mosaïque de neuf Muses: Clio, Euterpe, Thalie, Melpomène, Terpsichore, Erato, Polymnie, Ourania et Calliope. Dans les jours de la Renaissance, les neuf muses étaient une source d'inspiration pour les artistes, car ils ont été les premiers à découvrir de nombreuses formes d'art. De nombreux artistes ont fait des œuvres d'art sur les neuf Muses.

Oceanus: la personnification divine de la mer.

Sa sœur, Tethys: la forme de réalisation des eaux du monde. Selon le professeur Görkay, pendant le deuxième siècle avant JC, de nombreuses maisons avaient des mosaïques.

Les mosaïques dans les maisons avaient un aspect social. Les gens admiraient les œuvres d'art tout en buvant et en discutant avec les propriétaires des maisons.

Thalia: la muse de la comédie et de la poésie idyllique. L'oeuvre est tout simplement intacte. La mosaïque de Thalia est réellement magnifique et c'est une merveille de l'art découverte par les archéologues.

Poseidon: le célèbre dieu de la mer. La ville étant située géographiquement sur les frontières entre le monde gréco-romain et l'empire perse, l'endroit a donc agi comme une sorte de pont pour que tout le monde puisse traverser. Finalement, quand l'empire romain a commencé à décliner, l'emplacement est devenu la ville de Zeugma. 

leçon d’humanité

Publié à 16:36 par fandeloup Tags : homme vie moi monde chez article société belle travail bonjour mode nature pouvoir
leçon d’humanité

La belle leçon d’humanité de la tribu Ndébélé

Notre civilisation moderne a sûrement quelques belles leçons d’humanité – et d’humilité- à prendre chez ses voisins. Notamment chez la tribu Ndébélé.

Pourtant nous aimons croire que nous faisons partie de « la société la plus civilisée ». Une sorte d’aboutissement de l’histoire humaine dont les choix réalisés sont les meilleurs.

Toutefois, d’autres communautés à travers le monde ont des fonctionnements sociaux qui peuvent être radicalement différents des nôtres.

Sont-ils moins bons pour autant?

Pas de sanction dans la tribu Ndébélé tribu ndébélé un sentiment fort d’humanité se dégage de cette personne Chez les Ndébélés, tribu d’Afrique du sud, quand quelqu’un fait une erreur, qu’il est fautif : les autres membres de la communauté réagissent avec une humanité pouvant paraître déconcertante à nos yeux d’occidentaux.

Pendant deux jours, ils vont entourer le « malheureux » et évoquer avec lui toutes les grandes et belles choses qu’il a faites dans le passé. Ils vont donc valoriser autant que possible le sujet momentanément égaré. De cette façon ils lui permettent d’être reconnecté à sa vraie nature et de réintégrer le groupe. Aucune sanction n’est nécessaire.

La réinsertion sociale est immédiate. Dans la tribu Ndébélé, la conviction que les humains sont bons par nature et que tous recherchent la sécurité, l’amour, la paix et le bonheur est une certitude. Dans cette recherche, l’erreur personnelle est possible, mais les membres de la communauté veillent à ce que chacun des autres ne s’égare pas.

Chez nous : c’est répression et restriction des libertés L’attention et l’action positive dont la communauté Ndébélés fait preuve pour celui qui faute paraît bien loin de notre fonctionnement.

Mais comment pourrions-nous consacrer le temps et l’énergie nécessaire?

Notre temps disponible est si restreint, notre mode de vie de producteur-consommateur est entièrement dévolu à son maître : l’argent. Les Ndébélés s’attachent à valoriser le fautif plutôt que de le sanctionner. Chez nous ce qui s’applique est la sanction, telle que prévue par la loi. L’humain avant tout Comment espérer qu’un jour, un changement de société important considérant l’individu avant le profit puisse se produire chez nous?

Nos politiciens sont devenus de simples gestionnaires financiers, alors que ce travail pourrait être réalisé – et même mieux – par des experts comptables. Non, il ne faut rien attendre de leur part. La différence majeure existante entre les civilisations « modernes » telle que la nôtre, et le fonctionnement de sociétés dites « mineures », réside bien dans ce point essentiel : le rapport à l’argent.

Les sociétés modernes sont tournées vers l’argent Notre société est tournée vers l’argent, les richesses et le pouvoir. L’humain s’efface derrière la nécessité imposée de gagner plus, produire plus et consommer plus.

Comme si nos valeurs et notre éthique étaient en sourdine, entièrement conditionnés que nous sommes par notre dévotion corps et âme à la sacro-sainte croissance économique. tribu ndébélé L’influence que les Ndébélés ont sur les occidentaux… La justice en mode « espoir » Chez nous, celui qui faute est culpabilisé et sanctionné, avec l’espoir que la restriction de liberté imposée lui permette de changer.

C’est bien en mode espoir que fonctionne notre justice. Elle n’a de toute façon que trop peu de moyens financiers et humains pour fonctionner autrement. Pourtant, une restriction de liberté, une privation temporaire de droits élémentaires de la personne n’ont pas l’impact recherché. Beaucoup récidivent.

Notre société devrait peut-être se pencher sur ce problème : la justice rend des jugements qu’elle sait inefficaces. Une sanction qui n’en a que le nom Une sanction que l’on sait par avance inefficace – ou si peu – s’apparente plus à de la torture qu’autre chose. C’est en tout cas un mauvais traitement caractérisé.

Si mauvais qu’il ne réussit pas, ou bien trop rarement, à réhabiliter un fautif dans la société . Pourtant derrière chaque « coupable » se cache un homme avec ses compétences et ses nombreuses réalisations respectables, comme chez les Ndébélés.

Nos fautifs à nous, pourraient-ils devenir meilleurs si, au lieu d’être culpabilisés, ils étaient valorisés ?

Difficile de savoir sans avoir essayé.

Pour conclure laissez-moi vous présenter la salutation des Ndébélés, également pleine d’humanité : comme nous disons bonjour, eux disent « sawubona » – je vous apprécie, je vous respecte, vous êtes important pour moi. La réponse est « sikhona » – donc j’existe pour toi.

Vous souhaiteriez que notre civilisation soit plus humaine ? Partagez cet article sur les réseaux sociaux:

tristesse

tristesse

Habillée en deuil, la femme hurle sur la fillette de 6 ans. 4 semaines plus tard, elle le regrette après avoir reçu cette lettre. Partagez sur Facebook Cette histoire montre à quel point le fait d’être constamment occupé par nos soucis nous empêche de remarquer que les gens autour de nous peuvent souffrir. Mais une petite fille a ouvert les yeux de cette femme.

“Elle avait 6 ans la première fois que je l’ai rencontrée. C’était sur une plage, qui se trouve à 5 ou 6 kilomètres de ma maison. Je vais toujours à la plage quand je n’en peux plus et que j’ai l’impression que le monde autour de moi va s’effondrer.

La fillette construisait un château de sable ou un truc dans le genre. Quand elle m’a regardée, j’ai vu ses yeux qui étaient bleus comme la mer.

“Bonjour” a-t-elle dit.

J’ai répondu d’un mouvement de tête, pas vraiment d’humeur à m’embêter pour un enfant.

“Je construis”, a-t-elle continué.

“Oui je vois. Qu’est-ce que c’est ? " ai-je demandé, indifférente.

“Oh je ne sais pas. J’aime seulement la sensation du sable,” a-t-elle répondu. Ça a l’air bien, ai-je pensé, et j’ai enlevé mes chaussures. Un oiseau est passé en planant au-dessus de nous.

“Ça porte bonheur”, a dit la fillette.

“Ma maman dit que les bécassines portent bonheur.” Puis l’oiseau a continué à sillonner la plage.

“Adieu le bonheur, bonjour les ennuis”, ai-je murmuré dans ma barbe. Puis je me suis tournée et j’ai marché. J’étais déprimée. Ma vie avait l’air d’être anéantie.

“Comment tu t’appelles ? " a demandé la fille, qui ne voulait vraiment pas abandonner.

“Ruth. Je m’appelle Ruth Petersen”.

“Je m’appelle Wendy…j’ai six ans.” “Bonjour Wendy”, ai-je grommelé. Elle a gloussé : “Tu es drôle.”

Malgré mon humeur, j’ai rigolé aussi. Et son petit rire musical a suivi.

“Revenez, madame Petersen”, a-t-elle dit. “Comme ça, nous pourrons passer une autre journée de bonheur.”

Les semaines suivantes ont été très stressantes et chargées : les scouts, les réunions de parents d’élèves, et ma mère malade. Un matin que le soleil brillait, j’ai soudain arrêté l’aspirateur.

“J’ai besoin d’une bécassine”, me suis-je dit, puis j’ai pris ma veste et suis partie pour la plage. Le son des vagues et l’odeur du large m’attendaient. Il y avait une brise fraîche, mais j’ai continué, pour essayer de retrouver le moment de sérénité et de bonheur dont j’avais besoin. J’avais complètement oublié la fillette et fut toute surprise lorsqu’elle est revenue.

“Bonjour ! Tu veux jouer ? "

“À quoi tu veux jouer ?" ai-je demandé, un peu embêtée.

“Je ne sais pas. C’est toi qui choisis !"

“Et si on jouait aux charades ? “ ai-je proposé sarcastiquement. Elle a explosé de rire.

“Je ne sais pas ce que c’est !"

“Alors pourquoi on ne marcherait pas, tout simplement” ai-je suggéré. J’ai remarqué à quel point elle était mignonne.

“Où habites-tu ?"

“Par là” a-t-elle dit, en pointant son doigt sur les maisons de vacances. Bizarre d’habiter là en hiver, me suis-je dit.

“Où se trouve ton école ?"

“Je ne vais pas à l’école. Maman dit qu’on est en vacances.”

Elle a continué à bavarder tout au long de notre promenade sur la plage. Mais je pensais à autre chose. Quand je l’ai laissée pour rentrer à la maison, Wendy a dit qu’elle avait passé une journée de bonheur. Étonnamment, je me sentais mieux, et je lui ai souri, pour montrer que, moi aussi, j’avais passé une belle journée.

Trois semaines plus tard, je me suis précipitée à la plage alors que j’avais une crise de panique. Je n’étais pas du tout d’humeur à papoter avec Wendy. J’ai vu sa mère sur le porche de la maison et j’avais envie d’aller la voir pour lui dire de garder son enfant chez elle. Mais quand Wendy est arrivée pour me saluer, je lui ai dit “Écoute, si ça ne te dérange pas, j’aimerais mieux rester seule aujourd’hui.”

Elle était anormalement blanche et essoufflée.

“Pourquoi ? " a-t-elle demandé. Je me suis tournée vers elle et j’ai crié :

“Parce que ma mère est morte !" et j’ai tout de suite pensé : oh mon dieu, qu’est-ce que je suis en train de dire à une fillette ?

“Oh”, a-t-elle dit. “Alors c’est un jour de malheur.”

“Oui, j’ai répondu, et c’était pareil hier et avant-hier ! Oh et puis zut, vas t’en !"

“Ça t’a fait mal ?" s’est-elle enquis ?

“Qu’est-ce qui m’a fait mal ?" Elle m’exaspérait.

“Quand elle est morte ?"

“Bien sûr que ça fait mal !!! " ai-je répliqué d’un ton sec, puis je suis partie. Environ un mois plus tard, je suis revenue à la plage. Mais Wendy n’était pas là. Je me suis sentie coupable, honteuse et je devais admettre qu’elle me manquait. Alors j’ai rassemblé mon courage et après ma promenade, je suis allée chez elle et j’ai frappé à la porte.

“Bonjour” ai-je dit. “Je suis Ruth Petersen. Votre fillette m’a manquée aujourd'hui et je me demandais si elle était là.” “Oh bien sûr, Madame Petersen.

Entrez.

Wendy parlait souvent de vous. Je suis désolée de l’avoir laissée vous déranger. Si elle vous a ennuyée, je vous présente mes excuses.”

“Non pas du tout, c’est une enfant charmante” ai-je dit, réalisant soudain que je le pensais vraiment. “Où est-elle ? "

“Wendy est morte la semaine dernière Madame Petersen. Elle avait une leucémie. Peut-être ne vous l’avait-elle pas dit.”

Je suis restée sans voix et j’ai cherché une chaise à tâtons. J’en avais le souffle coupé.

“Elle adorait cette plage, alors quand elle a demandé si on pouvait venir ici nous n’avons pas pu dire non. Elle avait l’air d’aller tellement mieux ici et avait beaucoup de ce qu’elle appelait des “jours de bonheur”.

Mais les dernières semaines, sa santé s’est rapidement détériorée…” sa voix a faibli.

“Elle vous a laissé quelque chose. Je vais le chercher. Voulez-vous bien attendre un moment ? ”

J’ai dit oui de la tête alors que mon esprit cherchait rapidement quelque chose à dire, n’importe quoi, à cette jeune mère. Elle m’a donné une enveloppe sur laquelle un P était gribouillé. À l’intérieur, il y avait un dessin aux couleurs vives : une plage jaune, une mer bleue, et un oiseau marron. En-dessous, il y avait écrit : “Une bécassine pour te porter bonheur”

Des larmes ont coulé sur mes joues. Et mon coeur, qui avait presque oublié ce qu’était l’amour, a explosé. J’ai pris la mère de Wendy dans mes bras.

“Je suis tellement, tellement désolée” ai-je répété sans m’arrêter, et nous avons pleuré ensemble. Ce petit dessin est maintenant encadré et est accroché dans mon bureau.

Six mots - un pour chaque année de sa vie - qui me rappellent l’harmonie, le courage et l’amour inconditionnel. Un cadeau d’une fillette qui avait les yeux bleus comme la mer, les cheveux blonds comme le sable, et qui m’a fait don de l’amour.

 Cette histoire fait vraiment réfléchir. Les derniers mots sont tellement importants, surtout parce qu’on ne sait jamais quand on pourra les prononcer. Le message de la petite Wendy a aidé cette femme à avoir une vie heureuse et joyeuse.