ange

ange

Tu étais là depuis toujours, mais je ne le savais pas Tu me suivais avec amour, mais je ne le savais pas Tu guidais mes pas chaque jour, mais je ne le savais pas. Dans mes jours de chagrin, dans mes nuits sans sommeil Tu me tenais la main, tu me guidais vers mon éveil Quand le destin me tourmentait, quand le chagrin me submergeait

Ton sourire est comme une lumière Qui illumine mon univers Tes joues sont comme un oreille Pour mes lèvres plein de baiser Ton regard est comme celui d'un ange Qui veille sur mes rêves étranges Tes mots sont comme une douce mélodie Qui m'endorme la nuitTon odeur est comme un parfum Qui me lève le matin Ta peau est comme un champ de roses Sur lequel je me repose

ange

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ange

ange

Sous le chant moelleux des oiseaux : Au travers de cet intérieur de satin. Il me semble savoir l’idiome des cœurs Tout aussi doux et parfumés que mille fleurs. Lorsqu’elles sont dans l’étreinte d’un beau matin Sous l’aube ensanglantée des branches du soleil Royal. Tel le chant moelleux des oiseaux, Les ailes trempées de la splendeur du ciel Tout au sommet de l’apesanteur des échos De la beauté. Quand elle enveloppe l’esprit. C’est là que j’aborde les rivages de l’amour. Dans la chaire encore précoce de la vie Sertie par les premières lueurs du jour.

Au sourire de l'ange Qui scelle l'amour des dieux son regard couleur des cieux rêvé pendant les songes Alliance de leur amour Donnant le fruit de l'offrande Aux promesses fécondes Du oui dit pour toujours