Ouvre-toi à tout ce qui t’entoure. Révèle-toi telle que tu es avec tes craintes, tes peurs, tes angoisses. Accepte-les, aime-les et accepte-toi par-dessus tout. Voilà ! Quand tu auras appris à t’aimer dans ton entièreté, dans ton tout, Tu verras le soleil se lever dans ton âme, Et c’est alors que l’extase de ta beauté te remplira d’amour, Pour la beauté que tu es en réalité.

On a tous envie d'éclairer la nuit Un jour d'un destin exceptionnel. Mais au paradis les places ont aussi un prix. A brûler les ailes.

Il faut vivre dans le monde comme s'il est sûr qu'on y sera pas longtemps, et incertain si on y sera dans une heure. Car il n'est pas certain que nous voyions demain, mais il est certainement possible que nous ne le voyions pas.

Dans l’espace infini de mes pensées je cherche en vain un moyen de m’évadé, moment futile de liberté presque touché. Je cherche en long et en travers cette infime fissure qui me redonnera de l’a ir. Comme bercé par tant de mots qui cherche en vain a trouvé un écho, je brise mes idéaux et trouve la faille aussi tôt. Je joue avec les mots que je déclame à demi-mot, mot à mots je les suis et j’entaille mon égo. Je flâne entre les lignes imparfaites et les interlignes secrètes. À l’encre de ma plume je cherche en vain à toucher l’ange divin. Son regard me touchera-t-il c’est incertain et ma plume pleure dans son chagrin. L’inconnue est si sereine et pourtant elle n’est en rien une gêne. Ma plume s’exalte à chaque larme versée, à chaque sourire échanger. Elle vit à travers mes pensées qui sont en mouvement sans arrêt. Je suis une pensée tragique, une pensée pudique, un air de musique enjouer sur la partition de mes regrets. Une fausse note bien placée et soudain tout peut recommencer. J’écris ce que mon cœur ne peut ignorer, ce que mon âme ne peut tolérer, ce qui fait de moi un être imparfait. Un crie, une larme, un sourire et je m’enflamme, je passe de l’enfer au paradis comme par magie. Je joue avec les mots et avec les récits, je divague dans mes moments de folie qui parfois vous font réagir et tout ceci sans le moindre souci. Je vous emmène et vous porte à travers mes récits, ses petits apartés que certains d’entre vous apprécient et qui donne à ma plume tout son sens de vivre, de respirer et d’exister pour vous. Vous qui parcourez ses poèmes, ses coups de gueule et crient du cœur, ses moments de petits bonheur ou de triste pensées. À vous je dis merci, merci d’être ainsi et d’aimer ce que je suis. Vous qui êtes pour moi des lumières qui s’instillent à la lueur fragile d’une bougie, vous qui éclairer mes jours comme mes douces nuits et me permettez de vous écrire ceci. Moi le petit pierrot de nuit, qui rit qui pleure au grès de ses envies, et parfois au grès de sa folie. Je vous remercie pour tous ses instants partagé en toutes amitiés, en toutes tolérances, merci pour votre présence…

Il y a peut-être derrière la source une autre source. Plus claire. Moins troublée par la pensée de l’argile. Il y a sans doute dans l’arbre un autre arbre. Qui jamais ne tombera sous la foudre du peuple bruyant de l’orage. Qui toujours demeurera ce témoin fidèle du jour des âges qui s’en vont. Il y a peut-être au fond du puits une vérité différente qui amoindrit la mélancolie et les regrets. Un puits qu’il est loisible de décliner à l’infini. Dans le rire de l’eau qui toujours jaillit des secrets de la profondeur. Il y a peut-être derrière la vie mille autres vies. Peuplées de nuances et de jasmin. Mille autres vies qu’il nous reste à vivre derrière la source, dans l’arbre, par la grâce du puits. Dans le rire de l’eau qui jaillit.

Une rivière berce l'enfant d'un nuage. Sous le ciel, les copeaux d'étoiles pleuvent de lumière, ensorcelant de douceur le nid creux d'un drap de lune, sommeil d'un rêve perdu au bord du crépuscule. La nuit étale ses espérances et le silence au galbe d'argent danse. Ce portrait d'un enchantement ne s'éteindra qu'à l'incendie d'un jour nouveau. Une chanson cueille dans les roseaux la fragilité d'une présence, plumage d'un envol, bruissement d'une note.

Fragile et à la fois rêveuse; J'ai toujours cru à cette fin heureuse. Là où je me sentirais à ma place; Là où je pourrais y laisser ma place. Là où je serais près de toi; À nouveau. La tête près des étoiles; Effaçant un à un mes maux...

Quand la vie s’arrête et que l’âme reprend son envol,pour l’aider a faire son cheminement, on doit le laisser aller à sa nouvelle demeure. Aller à sa mission de l’au-delà,car sa mission sur terre est terminer. Avec toute la peine que l’on vit,et toutes les souffrances qui nous prennent le cœur,on ne peut rien n’y faire pour qu’ils ou qu’elles nous reviennent. C’est le mystère de la vie et de la mort…… Nos amours deviennent des anges,seulement si on leurs donnent la chance de le devenir. Ils sont là pour nous aider,nous guider,nous protèger .Nous avons aussi un rôle à jouer dans ceci,car nous aussi on doit veiller sur eux.On doit protéger leurs âmes, comme quand ils ou elles étaient de ce monde avec nous. On leurs doit de les respecter en tant qu’âme,car on les a aimer et on les aimeras toujours.Ce sont nos amours,nos parents,nos enfants,nos frères ,nos sœurs,nos amis(es) etc.Alors l’amour est réciproque. Continuons des les protèger. Eux aussi en ont besoin.

La vie est ainsi; on réalise rarement dans l'instant que les moments difficiles ont une fonction cachée : nous amener à grandir. Les anges se déguisent en sorcières et nous délivrent de merveilleux cadeaux soigneusement enveloppés dans d'ignobles emballages. Quand l'épreuve survient, on réagit souvent avec colère ou désespoir, rejetant légitimement ce qui nous semble injuste. Nous laissons passer l'occasion qui nous était offerte de grandir. Alors, les coups durs et les échecs se multiplient. Ce n'est pas le sort qui s'acharne contre nous, c'est la vie qui tente de renouveler son message.

Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, nous apportait l'odeur des fleurs qui s'ouvrent tard ; La nuit tombait ; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. Le printemps embaumait.Les astres rayonnaient, moins que ton regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle ou l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure et te voyant si tendre, j'ai dit aux astres d'or : Versez le ciel sur lui ! Et j'ai dit à mes yeux : Versez l'amour sur nous !