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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
La nature n’est pas toujours aussi jolie ou hilarante qu’elle peut le sembler à première vue. Elle a aussi un côté sombre, et je compatirai avec vous si cette liste dressée par ipnoze vous force à construire un fort d’oreillers dans votre salon et à éviter de sortir dehors pendant une semaine. Que ce soit une maman chilopode qui protège ses bébés ou une colonie de guêpes qui s’est construit un nid autour d’une vieille poupée, ces photos présentent quelques-unes des choses les plus terrifiantes que mère Nature a à nous offrir.
Un bernard-l’ermite utilise la tête d’une poupée comme carapace
Roussette d’eaux profondes photographiée aux Îles Galápagos, en Equateur.
Quand, de l'harmonie entre deux êtres, naît le silence... Un silence complice où les mots sont inutiles
Australie : une femme dévorée par un crocodile
Une femme était portée disparue lundi, et présumée décédée, après avoir été happée par un crocodile lors d'une baignade nocturne avec une amie sur une plage du nord de l'Australie.
Une femme était portée disparue lundi, et présumée décédée, après avoir été happée par un crocodile lors d'une baignade nocturne avec une amie sur une plage du nord de l'Australie.
Elle a disparu lors d'une baignade nocturne, probablement dévorée par un crocodile. Cindy Waldron, 46 ans, se trouvait avec une amie dimanche sur une plage du nord de l'Australie lorsqu'une attaque s'est produite vers 22h30.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux femmes, des touristes australiennes, étaient parties se baigner à Thornton Beach, dans l'Etat du Queensland, et ont décidé d'aller nager dans une zone pourtant connue comme étant infestée de crocodiles, a indiqué lundi la police.
De l'eau jusqu'à la taille, elle a été happée «Elles avaient de l'eau jusqu'à la taille quand un crocodile a vraisemblablement happé l'une des deux», a déclaré à l'Australian Broadcasting Corporation l'officier Russell Parker.
«Son amie a courageusement tenté de la tirer en direction de la plage mais n'y est pas parvenue et la femme a disparu», a-t-il poursuivi.
Son amie, «très choquée» mais indemne, a alerté un commerce voisin qui a contacté la police, a-t-il poursuivi. Un hélicoptère équipé de caméras thermiques a été dépêché sur place mais n'a pas réussi à localiser la victime
Depuis l'entrée en vigueur en 1971 d'une réglementation protégeant les crocodiles marins (NDLR : les «salties», de salt, le sel en anglais), leur population a augmenté dans les régions tropicales du nord de l'Australie et est évaluée à environ 100.000 par les autorités.
Chaque année, les crocodiles tuent en moyenne deux personnes en Australie.
Il a sauvé deux loutres, mais regardez quand ils reçoivent leur petit-déjeuner. Ça fait fondre nos cœurs!
Tous simplement magnifique!
Cuesta est un Espagnol qui vit en Thaïlande, il a sa propre émission de télévision appelée « Frank Wild. »
Il a récemment reçu un appel a propos de deux petites loutres destinées à être vendus dans un marché. Heureusement, il a réussi à les libérer et les a emmené au refuge pour animaux.
Vu que les loutres étaient orphelines, elles avaient besoin d’être nourris et soignés pendant les prochains mois. Cuesta explique dans la vidéo qu’il ne peut pas laisser beaucoup de gens s’approcher et avoir contact avec les loutres, afin de pouvoir les libérés dans la nature dans un futur proche.
Bien que cela puisse paraître triste, c’est la meilleure chose pour les loutres – il ne faut pas qu’ils s’habituent au contact pour qu’ils puissent s’adapter facilement à la nature. Ce n’est pas la première fois que Cuesta sauve des bébés loutres, et il a déjà réussi à les liberer dans la nature.
Même si vous ne comprenez pas l’espagnol, ce n’est pas grave – vous pouvez entendre quand les loutres remercient Cuesta pour le petit déjeuner, et on vous assure que cela fera fondre votre cœur. Regardez quand les loutres prennent leur petit déjeuner ci-dessous et n’oubliez pas de le partager avec quelqu’un qui l’appréciera!
Biodiversité : le poisson qui marche existe
211 espèces inconnues ont été recensées dans l'Himalaya par WWF, le Fonds mondial pour la nature.
De drôles d'animaux et de plantes.
Non content de ses jolies couleurs irisées, ce poisson, découvert dans l’Himalaya, a aussi comme particularités d’avoir une tête de serpent et… de pouvoir ramper sur la terre ferme.
Rien de moins. Non content de ses jolies couleurs irisées, ce poisson, découvert dans l’Himalaya, a aussi comme particularités d’avoir une tête de serpent et… de pouvoir ramper sur la terre ferme. Rien de moins.
Ramper comme un poisson ?Channa andrao vous prouve que cette bizarrerie est possible ! Ce « poisson qui marche », qui a comme autre particularité — non des moindres — d'avoir une tête de serpent, fait partie des 211 espèces découvertes dans l'est de l'Himalaya ces dernières années. Sur le même sujet EN IMAGES.
Plus de 200 espèces découvertes dans l'est de l'Himalaya Le WWF, le Fonds mondial pour la nature, vient de recenser et de compiler les spécimens jusqu'à présent inconnus que l'on trouve dans cette région particulièrement dense et variée, mais aussi en proie à la déforestation et au braconnage.
« Ce poisson à tête de serpent est capable de respirer de l'air et même de survivre pendant quatre jours sur la terre ferme », explique l'ONG.
Certes, Channa andrao n'a pas la grâce d'un serpent, son mouvement est plus lourd, mais il peut se déplacer en rampant sur plusieurs centaines de mètres d'un sol humide. A peine découverts, déjà menacés
A force d'observations, 25 autres espèces de poissons ont été révélées, ainsi qu'un reptile, un oiseau, un mammifère, 39 invertébrés, 133 plantes et 10 amphibiens. Parmi ces derniers : Leptobrachium bompu.
Avec ses immenses yeux bleus, cette grenouille indienne va conforter l'idée qu'un prince charmant se cache derrière chaque crapaud. La « grenouille aux yeux bleus » est joueuse, car elle se cachait sous des feuilles quand elle a été trouvée près d'un sanctuaire indien, à 2 000 m d'altitude et dans une végétation sauvage.
Dans la forêt birmane, c'est sur un singe au nez tourné vers le ciel que les scientifiques ont mis la main. Une particularité qui le fait... éternuer dès que tombe la pluie.
« Ces découvertes, dans des endroits peu faciles d'accès, d'espèces qui étaient visiblement là depuis longtemps montrent à quel point notre connaissance du vivant est faible et que l'inventaire est loin d'être terminé », note Stéphane Ringuet du WWF.
Mais l'expert alerte aussi : « Ce sont des espèces que l'on découvre à peine et dont on sait déjà qu'elles sont fragiles et menacées. » La faute à l'intervention humaine. La construction de routes, de barrages, l'exploitation minière, les pêches et chasses sauvages sont autant d'éléments menaçant la survie des espèces.
Deux loutres au repos se tiennent la main... La raison est géniale !
On a aperçu deux loutres qui faisaient leur sieste dans l'aquarium géant de Vancouver en Colombie- Britannique, au Canada.
D'aucuns diront qu'ils trouvent la scène tout à fait normale, nous ce qui nous a étonné, c'est le fait que ces loutres se tiennent la main en flottant pour la simple raison qu'elles ne veulent pas se séparer.
L'une des spécificités curieuses des loutres comme sa nourriture essentiellement composée de poissons, de grenouilles et de crustacés.
L'image est magnifique.
L'Amazonie est le foyer de nombreux monstres. Il abrite beaucoup d'espèces parfois très terrifiantes. Ils vivent souvent le long de la rive ou nagent dans les profondeurs du fleuve immense. La plupart des gens craignent ce milieu, mais les personnes sur la vidéo sont des adeptes de l'aventure. Ils aiment les découvertes et la chasse. Heureusement pour eux, ils sont après l' arapaima, l'un des plus grands poissons d'eau douce dans le monde. En tout cas, mieux on est loin de l'Amazonie, mieux on est avec tous ces monstres effroyables. Sauf pour ce qui aime l'aventure, les portes sont grandement ouvertes.
Le silure fait des remous..
Il est la version fluviale des « dents de la mer». Après la Saône et le Rhône, ce poisson, à l’aspect repoussant, prolifère même dans les lacs.
Les avis divergent sur la nécessité de le réguler. Nicolas Courbis est en pétard. Ce pêcheur professionnel drômois le constate tous les jours : les silures envahissent le Rhône. « Plus ça va, plus il y en a et plus ils sont gros ».
Selon lui, ce poisson omnivore est une menace pour la faune aquatique : « l’estomac d’un silure pêché la semaine dernière contenait un brochet, une poule d’eau et deux brèmes ».
Ses proies favorites sont aussi les poissons migrateurs comme les anguilles et les aloses : « C’est un comble, on installe des passes à poissons le long du fleuve et les silures n’ont plus qu’à se poster à la sortie pour les capturer ».
Nicolas Courbis va plus loin : « En surface, les canetons se font gober. C’est l’équilibre écologique qui est menacé et pas seulement dans le Rhône ou la Saône. Près de Béziers, j’ai pêché dans un petit canal qui en était infesté ».
Chercheur au CNRS à Toulouse, Frédéric Santoul est familier des silures. Ce sont même ses collègues de travail. Il observe leur comportement et leur développement lors de plongées dans le Tarn et le Lot : « Ils sont partout, dans tous les affluents des fleuves et des rivières. On en trouve aussi dans les lacs ».
De la Garonne à l’Isère jusqu’à Grenoble, le silure a définitivement fait son nid. Disparu du paysage français lors de la dernière glaciation, il est réapparu récemment. Mais pas par hasard : des silures capturés dans le Danube ont été déversés dans les cours d’eau de l’Hexagone. « Ils peuvent atteindre des tailles impressionnantes car c’est un poisson qui n’a pas de prédateur et qui se fait vieux », précise le chercheur.
Privé des écailles qui permettraient de lui donner un âge, les chercheurs se rabattent sur l’examen des vertèbres : « certains ont 40 ans, voire plus. Il atteint un mètre à 4 ou 5 ans ». Il envahit toute l’Europe Pour se nourrir, le silure est « opportuniste », il mange ce qui se présente : « Il est capable de s’échouer sur la berge pour attraper des pigeons ».
Handicapé par une mauvaise vue, le silure est en revanche équipé de barbillons mobiles très performants pour suivre à la trace ses proies qu’il aspire plus qu’il ne les mâche, faute de dents. Poisson de fond, il nage en surface les jours de disette.
Quant à sa prolifération, Frédéric Santoul est mesuré : « Le réchauffement général des eaux favorise cette espèce qui a par ailleurs une grande capacité d’adaptation au milieu ». Ses derniers relevés donnent 5 individus de plus de 60 cm à l’hectare en aval de Cahors dans le Tarn.
En revanche, le chercheur est formel : « Il est partout en Europe, jusqu’en Grèce, en Italie et en Espagne. On en trouve même maintenant au Brésil ». Question comportement, Frédéric Santoul n’a jamais fait les frais d’une quelconque agressivité : « Si on le touche, le silure prend peur et fuit. Par contre, il peut être plus virulent en période de reproduction ».
Une fillette mordue par un silure alors qu’elle barbotait sur la berge en Saône-et-Loire avait sans doute posé le pied sur des œufs, ont conclu les spécialistes. À la demande du ministère de l’Écologie, le CNRS conduit une étude sur l’impact éventuel de la présence de silures sur les autres espèces : « Pour l’instant, nous n’avons rien constaté de probant même s’il est friand de poissons migrateurs », explique Frédéric Santoul.
Jusqu’à 5 mètres et 300 kilos Dans les rangs des pêcheurs, les avis sont partagés : « Dans le Rhône, le silure n’est pas un problème », assure Christian Brely, le président de la Fédération de la Drôme, « mais c’en est un dans les petits lacs ou les étangs où ils sont déversés par des pêcheurs peu scrupuleux ». « La pêche des sandres ou des brochets n’a pas diminué », poursuit-il, et s’il y a moins de canards, « c’est parce que les cygnes les font fuir ». « Si seulement il pouvait manger les cormorans », s’amuse le président drômois.
Nicolas Courbis, le pêcheur professionnel, n’a pas le goût à rire : « Il faut le réguler comme le sanglier dans les campagnes sinon on va à la catastrophe », prophétise-t-il. Devant la colère des pêcheurs professionnels, des parlementaires ont d’ailleurs avancé l’idée de déclarer le silure nuisible. Sans suite pour le moment. Chargé de mission au comité national des pêcheurs professionnels, Nicolas Stolzenberg évoque « l’explosion de la population de silures dans la Saône dans les années 90 ».
Avec des conséquences irrémédiables sur les écrevisses. Et il n’est pas loin de penser que le Rhône vit le même phénomène : « Dans certains cours d’eau, le silure représente la moitié de la biomasse, d’où un déséquilibre évident ». Pour lui, si régulation il devait y avoir, elle ne pourrait être menée que dans des zones limitées où l’écosystème est menacé.
Une perspective qui n’enchante pas Emmanuel Filograsso. Moniteur diplômé d’État, il emmène ses stagiaires « à la pêche au gros » entre Lyon et Montélimar : « Le silure est un partenaire de jeu, on le respecte mais sa capture fait monter l’adrénaline », reconnaît-il. Ses clients à la recherche de sensations fortes viennent d’Allemagne, d’Italie, de Suisse et bien sûr de la région. Adepte du “no kill”, il rejette à l’eau ses prises « pour pouvoir les reprendre éventuellement plus tard ».
En espérant qu’elles aient pris du volume dans l’intervalle. De ce point de vue, il n’a pas de souci à se faire. Le plus gros silure sorti de l’eau en France avoisine les 2,5 mètres pour environ 120 kilos. C’est presque ridicule au regard du record allemand : 5 mètres et 300 kilos. Autant dire un monstre. Mais dont la chair réserve, paraît-il, de bonnes surprises gustatives au point que de plus en plus de restaurateurs en proposent sur leur carte.