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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un poisson sous haute tension Anguille électrique
C’est dans les eaux douces amazoniennes que des scientifiques ont fait une découverte des plus impressionnantes ! Deux nouvelles espèces d’anguilles électriques ont été observées. L’une d’entre elle pourrait envoyer des décharges de près de 850 volts. Jusqu’alors aucune anguille n’avait été aussi puissante selon l’étude publiée dans la revue nature Communications.
Mais comment cela est-il possible ?
Ce poisson hors du commun possède des organes électriques situés dans la partie arrière de son organisme. Lorsqu’elle chasse, l’anguille électrique peut paralyser ses proies par un mécanisme d’électrochoc et se protège de ses propres décharges grâce à une peau protectrice. L’anguille électrique est un poisson connu depuis plus de 250 ans. Des scientifiques l’ont étudié et leurs découvertes ont notamment permis la création de la première pile électrique en 1799 ainsi que la recherche sur les maladies neurodégénératives. Cette nouvelle découverte prouve que la biodiversité reste encore méconnue en Amazonie et surtout qu’il est indispensable de la préserver et de la protéger...
Une forêt féérique cachée sous la mer Serran des algues dans une forêt de Kelp - Mexique ;
Le long des côtes californiennes et sud-africaines pousse une étrange forêt. Ici, ce ne sont pas des arbres qui tutoient le ciel mais des algues qui viennent chatouiller la surface de l’océan. Les kelps géants portent bien leur nom. Chaque algue, cramponnée au fond rocheux croît à une vitesse vertigineuse, parfois près de 45 centimètres en une seule journée.
La fronde de cette plante marine qui se maintient entre deux eaux grâce à des flotteurs en forme de poire peut mesurer jusqu’à plus de 40 mètres de long, un record dans le monde sub-aquatique.
Ainsi, ces kelps forment une véritable jungle verdoyante dans laquelle se côtoient des animaux qui ne vivent nulle part ailleurs comme le poisson garibaldi ou la loutre de mer. Mais cette forêt a bien d'autres rôles que celui d'immeuble pour espèces endémiques, elle apaise aussi le déferlement des vagues avant qu’elles ne se brisent sur la côte, ralentit les courants ce qui leur permet d’être réchauffés par les rayons du soleil.
Retour en Occitanie de la sentinelle de la qualité d'un milieu ! Son seul prédateur ? L'Homme ! Attention madame Loutre !
Elle avait disparu des bords du Tescou et du Tarn depuis une quarantaine d'années. La loutre a récemment été repérée à Montauban le long de ces deux cours d'eau par l'Agence française pour la biodiversité. Une bonne nouvelle pour la qualité de l'environnement.
Les scientifiques les appellent des épreintes, un nom savant pour désigner de vulgaires crottes. La loutre a l'habitude d'en déposer pour marquer son territoire. La loutre, animal territorial Mais depuis les années 80, la loutre n'en avait plus produit sur les bords du Tarn et du Tescou.
Or, voilà qu'un réseau naturaliste du Tarn-et-Garone, ainsi que l'Agence française pour la biodiversité, ont repéré des excréments de ce mustélidé à Montauban, sur de petites zones le long de ces deux fleuves. La première fois, c'était une toute petite crotte, en 2017, sous le Pont Vieux.
Les scientifiques ont considéré cette découverte comme un indice. Puis, en janvier 2019, de nouvelles épreintes ont été observées sur la digue de Sapiacou, ainsi que le long du Tescou. De belles épreintes bien fraîches, permettant de conclure à une implantation perenne de l'animal.
Enfin, une loutre a même été prise en photo en février 2019 à Montauban par un membre de la Société des sciences naturelles du Tarn-et-Garonne. "Attention, prévient toutefois Gilles Gaudard-Schmitter, de l'Agence française pour la biodiversité, on a vu une loutre, pas un troupeau de loutres !" La loutre, sentinelle de la qualité de l'écosystème Ce retour du mustélidé à Montauban constitue toutefois "une bonne nouvelle à l'échelle du Tarn-et-Garonne".
Car la loutre, autrefois chassée et braconnée pour sa fourrure, est une sentinelle de la qualité environnementale du milieu. En Tarn-et-Garonne, sa disparition avait été actée dans les années 80. Outre la chasse et le piégeage, la pollution de l'eau, la disparition du potentiel d'alimentation de l'animal et la perte de son habitat avaient également eu raison de sa présence. En Occitanie, elle avait trouvé refuge en Lozère ou dans l'Aveyron.
En très forte régression, comme sur la presque totalité de son aire de répartition, la loutre a fini par être protégée en France à partir de 1981. Mais malgré cette protection, ses populations ont continué à diminuer ou, au mieux, peiné à se stabiliser. En France, on comptait 50 000 individus au début du XXe siècle et à peine 1 500 en 1980.
Depuis son inscription, en 1981, dans la liste des espèces protégées, la population de la loutre est remontée à 2 000 ou 3 000 individus en 2010. A l'exception de l'homme, la loutre n'a pas de prédateur. Cet animal discret vit la nuit sur un territoire linéaire de plusieurs dizaines de kilomètres où elle se nourrit de poissons et de batraciens. Elle retrouve donc à Montauban un espace qu'elle occupait il y a quarante ans. Signe d'une bonne qualité de l'écosystème.
Après deux siècles d’absence, le castor de retour en Pyrénées-Atlantique
Il avait failli disparaître de l’hexagone. Chassé depuis le moyen-âge pour sa fourrure puis son castoréum (une sécrétion huileuse utilisée notamment en parfumerie), il a ensuite souffert de la destruction de ses barrages lié à l’expansion des terres agricoles mais aussi l’installation de nombreux structures hydroélectriques empêchant les déplacements du mammifère.
Au début du 20ème. siècle, il ne restait qu’une centaine d’individus. Protégé depuis 1968, et à la faveur de plusieurs réintroductions dans différentes régions, le castor s’est petit à petit réinstallé, notamment autour de la Loire, en Lorraine ou encore dans le bassin parisien.
Pour la première fois depuis deux siècles, des traces et des PHOTOS obtenues grâce à des caméras infra-rouge ont permis de confirmer que l’animal s’était enfin réinstallé aussi dans les Pyrénées-Atlantique. L’individu photographié serait probablement issu de populations espagnoles et les scientifiques ont mis en place un système de surveillance afin de recenser le nombre d’individus présents.
De nombreuses études ont montré l’importance du rongeur dans la lutte contre les inondations autour des fleuves et rivières mais aussi son rôle dans le maintien d’une biodiversité végétale et dans la dépollution des eaux des intrants liés à l’agriculture intensive (nitrates et phosphates).
Lève-toi. Prends une profonde respiration. Eclaircis ta voix. Regarde-toi dans les yeux.
Le Sally-pied-léger et l’iguane marin : Une curieuse amitié sur les îles Galápagos
Sally-pied-léger, c’est le drôle de surnom donné à une espèce de crabe rouge, que l’on peut notamment rencontrer sur les îles Galápagos. On raconte qu’il porte le nom d’un danseur des Caraïbes en raison de son incroyable agilité et de sa façon de danser sur les rochers volcaniques.
Le crabe possède en effet quatre paires de pattes lui permettant de sauter, et de s’enfuir à vitesse grand V pour échapper à un large éventail de prédateurs, dont les poulpes, les otaries ou encore les murènes. Quand il ne passe pas la journée à se cacher dans les fissures des rochers, le Sally-pied-léger peut être observé sur le dos d’un autre animal emblématique de l’archipel, l’iguane marin. Si le reptile qualifié de « créature hideuse » par Darwin se laisse faire, c’est parce que le crabe lui offre une séance de nettoyage gratuite, en le débarrassant des nombreuses algues mortes et parasites.
Une relation donnant-donnant, rappelant celle des tortues et des poissons dans le Pacifique, puisque le crabe en profite en même temps pour se nourrir. Omnivore et charognard, le Sally pied léger participe aussi à l’entretien des plages en dévorant tout ce qu’il trouve sur son passage : Des poissons morts, des excréments d’oiseaux ou encore des jeunes tortues.
Enfin, si vous croisez des petits crabes noirs avec des taches blanches et rouges, il s’agit des plus jeunes Sally-pied-léger. S’ils n’arborent pas encore la couleur rouge sang de leurs ainés, c’est pour mieux se confondre avec les pierres de lave noire. Chaque fois qu'ils changent de carapace, les taches grossissent jusqu'à ce que le crabe devienne rouge écarlate !
La léthargie caniculaire de la tanche tanche dans une mare
Cet été, avec les canicules successives, beaucoup de mares ont vu leur niveau baisser et l’oxygène se raréfier sous leur surface. Certains habitants ne s’en soucient guère à l’instar de la tanche.
Reine de l’apnée, elle n’a pas besoin de beaucoup d’oxygène dans l’eau pour respirer et affiche une résistance bien supérieure à sa cousine plus connue, la carpe.
Comme tous les poissons, elle possède des branchies. Cachées sous un petit couvercle d’écailles de chaque côté de sa tête qui s’ouvre et se referme au rythme de ses inspirations et expirations, ce sont de fines lamelles de peau traversées par d’innombrables vaisseaux sanguins.
C’est grâce à ces branchies qu’elle capture l’oxygène dissout dans l’eau et respire. En ce moment, ce poisson aux mœurs crépusculaires est tombé dans une léthargie et reste totalement immobile au fond de l’eau, cachée dans la végétation et la vase.
Son métabolisme se ralentit et elle ne se nourrit plus. Avec les récents orages et les températures devenues plus fraiches, elle va reprendre une activité normale et prendre enfin un vrai repas de larves d’insectes, de débris de végétaux et de petits crustacés.
Le vison d'Amérique est un mammifère carnivore de la famille des Mustélidés. Originaire d'Amérique du Nord, il est doté de dents venant à bout des crustacés les plus récalcitrants.
Les poissons auraient chacun leur propre personnalité
Le comportement des poissons n'obéit pas seulement à l'instinct. Nos amis à écailles possèdent aussi des personnalités distinctes. Une étude de l'université d'Exeter, parue lundi dans la revue Functional Ecology, révèle que les poissons ont une personnalité complexe et réagissent chacun avec leur propre caractère face au danger, certains se montrant plus courageux que d'autres.
Les chercheurs ont étudié une population de guppys, petits poissons d'Amérique du sud supportant bien la vie en aquarium, et ont remarqué que chaque individu répondait de façon répétée à sa manière au stress, même placé dans plusieurs situations différentes.
Plongés dans un environnement non familier, les guppys ont des stratégies différentes pour affronter cette situation stressante, bon nombre essaient de se cacher, d'autres tentent de s'échapper, d'autres enfin explorent prudemment les lieux.
L'expérience a été menée à plusieurs reprises et à chaque fois, les guppys s'en tenaient à leur même ligne de conduite. Prochaine phase de la recherche: les enquêteurs tenteront de déterminer la part génétique et la part liée à l'environnement dictant ces différents comportements, pour mieux comprendre le processus d'évolution et voir si les différentes stratégies de comportement persistent lorsque l'espèce évolue.