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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Il faut arrêter l’abattage absurde des bouquetins de Haute-Savoie
Des centaines de bouquetins du massif du Bagy, en Haute-Savoie, risquent l’abattage sur ordre du préfet.
Beaucoup ont déjà été abattus.
Motif : la crainte de la propagation de la brucellose. Mais ce motif est hautement contestable, et contesté par plusieurs autorités scientifiques.
Grenoble, le 18 février 2014 Monsieur le Préfet de la Haute-Savoie, Emblème des montagnes, le bouquetin des Alpes a failli disparaître après l’invention de l’arme à feu.
Suite à la protection des derniers spécimens terrestres, l’espèce a échappé à l’extinction, et a pu être réintroduite dans quelques massifs. Bien que la loi interdise la chasse et l’abattage de ces animaux, vous avez ordonné, en octobre dernier, le massacre de centaines de bouquetins du massif du Bargy, car parmi eux, certains sont atteints de brucellose.
Au nom du principe de précaution et pour des motifs économiques, l’Etat a donc décrété l’urgence, et a décidé de procéder à des abattages massifs sans faire de distinction entre les individus malades et les individus sains.
A ce jour, l’Etat a tué au moins deux cent trente quatre bouquetins ; et les tirs pourront reprendre dès que les conditions d’enneigement le permettront.
Ces abattages sont contestables. En effet, d’une part, l’infection est circonscrite au Bargy, car les bouquetins ne se déplacent pas vers les autres massifs ; d’autre part, le risque de propagation de la maladie aux autres espèces est extrêmement faible ; ce que confirment plus de douze mille tests effectués sur des bovins, moutons, chèvres, chamois, cerfs et chevreuils.
L’urgence n’étant donc pas avérée, l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) et le CNPN (Comité national de protection de la nature) ont insisté - en vain - sur l’importance d’un temps scientifique avant la mise en œuvre de mesures de gestion drastiques.
Je ne peux qu’exprimer ma colère à l’égard des abattages effectués jusqu’à ce jour. Occultant toute possibilité de contestation, l’Etat n’a averti le public qu’au tout dernier moment.
Vous n’avez pas respecté le calendrier que vous aviez fixé, sur France 3, le 26 septembre. Du jour au lendemain, cent quatre-vingt dix-sept bouquetins ont été abattus, dont un grand nombre d’animaux non atteints de brucellose.
Cette précipitation est contraire à l’échelonnement que vous avez évoqué dans une lettre adressée au ministre de l’Ecologie (Courrier du préfet de la Haute-Savoie adressé au ministre de l’Ecologie, 30 août 2013. Pièce jointe au référé.)
Aucun délai n’a séparé la signature de votre arrêté de son exécution : il était donc impossible de soumettre le sort de ces cent quatre-vingt dix-sept bouquetins à un juge.
Pour que la justice puisse être saisie, un intervalle de temps n’est-il pas nécessaire entre la prononciation d’un ordre et son exécution ?
Sachant, de surcroît, que la situation d’urgence a été scientifiquement réfutée, les conditions d’exercice de votre autorité m’interrogent.
D’ailleurs, à l’instar de la FRAPNA, de la LPO et du CSRPN, comment ne pas déplorer l’opacité autour des abattages massifs ? Pour le vice-président de la commission faune du CNPN, « ordre a été donné de la préfecture de ne pas effectuer de prélèvements à but scientifique sur les cadavres, obérant ainsi lourdement les études en cours ».
Je reste convaincu que l’absence totale de contrôle sérologique sur les animaux abattus est délibérée, et vise à masquer la réalité de chiffres pouvant remettre en cause la contestable pertinence des choix passés et à venir de l’Etat.
En novembre dernier, le juge des référés s’est prononcé sur l’urgence à suspendre l’exécution de votre arrêté - et non sur sa conformité à la loi. Pour prendre sa décision, le juge des référés s’est appuyé sur une donnée inexacte soutenue par l’Etat.
Ainsi, lors de l’audience, votre représentante a déclaré qu’il restait un nombre de bouquetins significativement inférieur aux effectifs réels ; ce qui lui a permis de prétendre - à tort, je le crains - que le nombre de bouquetins restant à abattre était dérisoire en regard du nombre de bouquetins déjà abattus.
Considérant qu’ayant été fait, le mal n’était plus à faire, le juge des référés n’a pas retenu l’urgence à suspendre l’arrêté. Si l’Etat avait fourni des chiffres conformes à la réalité, l’urgence eût été avérée, et le juge eût pu décider de suspendre l’arrêté.
Au-delà de ce référé, la justice se prononcera sur le fond de cette affaire, mais le délai de la procédure joue en faveur de votre arrêté puisque l’audience aura sans doute lieu après le 30 septembre 2014, date d’expiration de l’application de l’arrêté.
Quoi qu’il en soit, en ordonnant ces abattages massifs, l’Etat n’a pas organisé de consultation publique, et n’a pas respecté la solution retenue par le Conseil National de Protection de la Nature.
Les bouquetins non contaminés, que la loi protège, devaient être épargnés. Au vu de ces éléments et des articles L 120-1-1° et L 411-2-4° du code de l’environnement, je ne doute pas de l’illégalité de votre arrêté, et je vous demande donc de l’abroger.
En septembre, l’ANSES évoquait l’importance de l’ouverture d’une saisine sur la vaccination. Cette saisine n’est toujours pas à l’ordre du jour.
Comment expliquer cette latence autour d’un sujet aussi décisif et crucial que la vaccination ?
L’Etat se soucie-t-il de la préservation de la Nature ?
Si oui, comment expliquer l’absence de surveillance clinique et sanitaire, durant plus d’une décennie, d’une espèce réintroduite, protégée et facilement observable ?
Effective dans certains massifs, notamment en Isère, une vigilance, même ponctuelle, des services de l’Etat aurait pu permettre de gérer l’infection à sa racine dès 1999 ! Plutôt que de payer le prix de sa négligence, l’Etat opte pour la solution la plus expéditive en abattant des centaines de boucs émissaires. N’épargnant pas les animaux sains, ce massacre nuit gravement à la Nature.
L’Etat doit donc fournir des efforts visant à compenser cette atteinte, d’une part, en s’engageant à assurer un minimum de suivi des populations réintroduites, d’autre part, en s’engageant à maintenir l’interdiction de la chasse au Bouquetin durant les trente prochaines années.
Emblèmes de la biodiversité, les bouquetins non contaminés, que la loi protège, doivent être épargnés ; et nous sommes, à ce jour, 19420 à demander l’arrêt de l’abattage systématique des bouquetins du Bargy de cinq ans et plus, et à exprimer notre désaccord avec toute décision ultérieure d’abattage de bouquetins dont le statut sérologique est soit inconnu soit négatif à la brucellose.
En somme, 19420 citoyens demandent à l’Etat de respecter l’avis du Conseil National de Protection de la Nature. Je vous prie de croire, Monsieur le Préfet de la Haute-Savoie, en l’expression de ma haute considération, et en la sincérité de mon engagement envers une Nature qui est indissociable du bien commun.
Le cas de Marcus, ce girafon en parfaite santé euthanasié la semaine passée au zoo de Copenhague, a interpellé, ému ou choqué des milliers de personnes à travers l’Europe.
Or Marcus n’est pas le seul a subir ce triste sort.
En Europe, 5 girafons ont déjà été abattus depuis 2005 par les zoos.
Au Danemark, le zoo d’Aalborg tue 15 animaux en moyenne chaque année alors que le zoo de Stockholm a euthanasié un ours et un lynx l’an passé.
Des exemples parmi tant d’autres.
Plus de 1 700 animaux seraient ainsi euthanasiés chaque année dans les zoos européens, note l’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA).
Les zoos ont pour principale mission la conservation des espèces et non celle des individus. C’est, en substance, ainsi que le zoo de Copenhague a justifié sa décision.
Le patrimoine génétique de Marcus était trop proche de celui des autres girafes déjà présentes dans le zoo.
Le laisser en vie présentait un risque de consanguinité pour les futures générations. Un risque jugé trop élevé par le zoo qui a donc décidé de l’abattre.
Et le zoo de Copenhague n’est pas le seul à poursuivre cette logique.
Selon Phys.org, les 347 membres de l’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA) tuent chaque année 1735 animaux. Souvent ils les tuent à cause de leur âge, de leur santé ou par manque d’espace.
Dans de rares cas, moins d’un pour cent, les animaux sont abattus pour éviter des problèmes de consanguinité. L’idée étant de conserver une population génétiquement saine et forte qui pourrait éventuellement être réintroduite à l’état sauvage si l’espèce venait à disparaître.
Aux Etats-Unis, les choses ne se déroulent pas de la même façon. En cas de surpopulation ou de problèmes de consanguinité, les animaux sont stérilisés et non abattus. La seule raison qui justifie d’abattre un animal pour l’Association Américaine des Zoos et Aquariums serait un problème de qualité de vie de l’animal – son état de santé, en général. Mais entre spécialistes, les avis divergent : pour Bengt Holst du zoo de Copenhague, « cette approche est totalement mauvaise. La reproduction est importante pour le bien être des animaux ». Cette dernière remarque est assurément vraie.
Mais on peut se demander si la meilleure manière d’assurer le bien-être d’un animal est vraiment de le tuer.
Aujourd'hui, 180 chiens ont étés tués dans une des fourrières de bucarest...et, malheureusement pas d'une manière douce!!! et, chaque jours, ces MEURTRES sont commis en toute impunité!!! Soyez tous maudits, et, dorénavant, plus de majuscules ,ils ne méritent aucun respect!!!! Tous ces dirigeants devraient être mis au pilori!!!
C’est une scène d’une rare violence qui s’est jouée ce week-end dans une étable perdue au milieu des champs, en périphérie d‘Orange.
Les enfants d’un éleveur d’ovins ont découvert l’horreur, ce dimanche matin, en poussant la porte du bâtiment agricole.
Au sol, dans une marre de sang, gisaient vingt-quatre brebis et agneaux. Tués à coups de pelle, de morceaux de bois ou de batte de base-ball.
Les bêtes gisaient dans une marre de sang
Des policiers du commissariat de la cité des Princes sont chargés de mettre un nom sur ceux qui sont à l’origine de ces faits d’une barbarie peu commune.
L’enquête est ouverte pour “actes de cruauté envers un animal captif ou domestiqué”. « Mes animaux ont été battus à mort. C’est un carnage » C’est un acte inqualifiable. Sur un troupeau de cent dix bêtes, vingt-quatre en moins, ça fait un grand vide » confie l’éleveur orangeois.
L’homme a déposé plainte auprès du commissariat. Et l’affaire est considérée comme particulièrement sensible.
Mais les forces de l’ordre se sont refusées de faire le moindre commentaire à ce stade des investigations. Ils cherchent toujours à établir le mobile d’un tel acte de cruauté.
L’éleveur a-t-il été victime d’une vengeance ?
Ou s’agit-il d’un acte gratuit ?
« Ça a vraiment été fait dans le but de me nuire » L’agriculteur a estimé son préjudice à environ 4000 euros.
« La plupart des agneaux abattus étaient destinés à une prochaine commercialisation. Et je ne compte pas les brebis qui allaient agneler.
Ça a vraiment été fait dans le but de me nuire ». Hier soir, l’éleveur attendait les résultats des analyses effectuées sur ses animaux.
Tania - un vieil éléphant de 37 ans à l'isolement au Zoo de Tirgu Mures, Roumanie :
http://www.thepetitionsite.com/956/417/286/free-tania-the-elephant-from-tirgu-mures-zoo-in-romania/
SEULEMENT 43% DES MAISONS DE RETRAITE ACCEPTENT LES ANIMAUX.
Intégrer une maison de retraite est pour beaucoup un moment difficile de la vie, si en plus il est conjugué avec l’abandon de son animal de compagnie, c’est le déchirement assuré.
Pétition: Pour que les résidents des maisons de retraite puissent garder leurs animaux.
http://www.mesopinions.com/petition/animaux/residents-maisons-retraite-gardent-leurs-animaux/10881
Je suis trop blessée de l'intérieur, ils ont trop joué avec mon cœur...Je ne crois plus aux belles paroles car souvent de moi, on rigole...Je ne crois plus en ce qu'on me dit, car trop souvent on m'a menti...
La mélancolie m'envahit de nouveau, torturé par le mal, un douloureux regret, je n'étais pas prêt... Mes douleurs sont muettes, emportent mon être, l'âme plombée d'épuisement, cachée par un regard sombre et distant.. Et comme une feuille en hiver, je me meurs lentement dans ce désert, l'esprit saturé de doutes, glissent de mes yeux goutte à goutte... Prisonnier du temps, enchaîné par les humains , souvenir pour toujours, l'amour s'éteint à la fin du jour...
Étouffement,cette sensation pesante que je ressens depuis quelques moments. Sentiment incessant de martèlement agrémentée de bouffées de peur. Recroquevillé dans ma carapace. Ne laissant passer aucune émotion. On dit de moi que j'ai un cœur de glace. Je n'ai eu le droit qu'à la déception. Ne désirant que semer du bonheur avec celui ou celle qui partagera mon cœur. Vais-je trouver un jour mon Aphrodite ? Malgré cette peur d'être anéanti.J'ai decouvert qu'elle n'était pas un mythe. Terrorisé par le regard des autres.Même si mon âme doit se faire consumer Il n'y a qu'une personne qui puisse me guérir.
Lumière de jours, lumière de soirs, la vie n'est que brume et illusoire. La sensibilité en rêvant de son espoir, ne porte que les traces d'un monde dérisoire.