Les gens que je trouve irrésistibles sont ceux en qui l’enfant n’est pas mort. Les qualités d’ouverture, confiance, curiosité, tendresse, impatience, enthousiasme et d’autres encore,indéfinissables… proviennent de l’enfant qui est en nous et sont une source de charme. Le rire et le sourire que l’on ne calcule pas… la spontanéité qui n’est pas limitée… Je n’arrive pas à me rappeler d’un charme « adulte » et j’ignore jusqu’à son existence

Ce n’est pas du hasard, si les fées sont très fragiles. Effectivement, elles ont en charge de transmettre le destin, de donner un bon souffle sur les petites vies et pourtant, elles-mêmes ne peuvent vivre longtemps loin de l’endroit qui les a vu naître... Ne vous avisez jamais, ô grand jamais, de seulement vouloir les capturer et les enfermer, car elles seraient vouées à une mort certaine !

Ainsi il est excessivement rare et il est même considéré comme un privilège, de les voir. C’est ainsi que les personnes qui ont emprunté le chemin non tracé de leurs domaine, ne s'en souviennent pas, car, le plus souvent, un sort d'oubli leur est jeté et la mémoire dépouillée...

En outre, soyez très vigilant, car il vous faut savoir que l’une d’elle meurt chaque fois qu'une personne prononce les mots : "Je ne crois pas aux fées"! Pourtant, si nous existons, si nous persistons et continuons, c’est bien grâce à elles ! Grâce à elles et au petit peuple qu’elles chérissent et qu’elles maternent avec douceur , mais de très près ! Alors ne luttez pas, laissez-vous guider dans vos légères fantaisies, laissez-vous chavirer vers vos doux rêves et cultivez votre âme d’enfant, car il reste un grand jardin d’amour à labourer, à soigner et à semer

Même nos relations avec d'autres créatures peuvent être magique

L’espoir porte un costume de plumes, se perche dans l’âme, chante un air sans paroles et ne s’arrête jamai

Aux temps jadis, aux temps rêveurs, aux temps des Fées, Il aurait fallu vivre aux bois, chez les muguets, Sous des branches, parmi les rumeurs étouffées, Sans rien savoir, sans croire à rien, libres et gais, Nourris de clair de lune et buvant la rosée, Il aurait fallu vivre aux bois, chez les muguets

Déploie tes ailes mon petit papillon et vole vers notre paradis d'ailleurs. Respire la rose rouge du pavillon et ses pétales qui sentent le bonheur. Voyage vers ces lointains jardins.Suis le cours de ces belles rivières dont l'eau claire reflète le ciel bleu et dans la nuit admire ces clairières dont la lumière reste invisible pour les yeux. Enchante toi des plus merveilleux paysages ou la nature implore tes sublimes rires. Visite les villages...les cœurs sans visages pour goûter à l'immortalité et la décrire. Danse sur la mélodie douce du vent en montrant au monde ta grâce. Mais surtout ne t'éloigne pas du pays de l'amour où réside notre place

Moi, j'ai envie de croire aux contes de fées. Au moins, tout finit bien dans ces histoires là.

Nous gardons tous un jardin secret, mélange de rêve et de réalité.

Au fond c'es ca la solitude,s'envelopper dans le cocon de son ame,se faire chysalide et travailler sa métamorphose,car elle arrive toujours

Le bleu, comme le rêve, ne fait pas de bruit. Il avance à petits pas ... Timide, sans arrière pensée, il ne se jette pas brusquement sur l'autre comme le rouge vif, mais il apprivoise l'autre peu à peu, le laisse venir sans le brusquer, de sorte qu'en lui, il s'enfonce et se noie sans se rendre compte de rien. Osmose ... Propice à la disparition, le rêve ... on y meurt, on y est délivré, bleu comme l'âme après qu'elle se soit déshabillée du corps, déménageant une fois pour toutes le mobilier de nos pensées. Dénuement ... Indéfiniment, le rêve s'évade .. ... tonalité, climat, résonance spéciale de l'air. Un empilement de clarté, une teinte qui naît du vide ajouté au vide, aussi changeante et transparente dans la tête de l'homme que dans les cieux. Ohh rêve .. évade moi