Il y a dans la vie des instants de bonheur qu'aucun poème ne peut résumer

Sur cette soirée étoilée Toi et moi étions posés L'un sur l'autre Regardons les étoiles Les étoiles te fesaient brillée Regarde une étoile filante passe a travers nos yeux Fesons un voeux Sur cette soirée étoilée On se regardait Tu m'intimidais Je te regardais Mon regard était posé sur la pleine lune et toi On regardait les étoiles Nous étions fiers,On était heureux C'est toi qui fesait brillée cette soirée Car sans toi cette soirée Ne serait pas aussi étoilée

J’ai encore rêvé de lui Entre rêve et cauchemar Malgré les refus d’esprit Il a hanté mon brouillard Et c’est au coeur de la nuit Entre noir et clair obscure Que mon visage a souri Illuminant ma figure J’ai encore rêvé de lui Mais dans ce précieux décor Le songe s’est mal fini En déboussolant mon nord Et c’est au coeur de la nuit Que mes yeux se sont ouverts Brillants dans la galaxie Reflétant ma pauvre terre

Le passé n’est plus, et pourtant il demeure ici, dans un petit coin de mon coeur .Le futur n’est pas et pourtant il veut etre là pour rendre heureux. Le présent est là et pourtant rien.Tombent au fond de mon coeur les gouttes de mes larmes,comme tombent après la chaleur les feuilles des beaux arbres. Mon coeur solitaire ,seul sur une plage en été,plonge au fond de la mer .Va-t-il se noyer ?

bougie

Le reflet de la lune adoucit son visage Une larme s’écoule telle la pluie dans l’orage Les éclairs ont frappé ce triste paysage La pénombre apparaît comme un sombre présage Le ciel noir apprivoise tous les faibles esprits Emportant avec lui tout espoir de survie Tourbillon de mal-être, avalanche sans abri, Attendre le soleil, laisser tomber la pluie…

Giboulées de mars en avril, en avril ne te découvre pas d'un fil, Mais quel temps cette année ! Nous vivons au rythme de la pluie et des giboulées. La pluie mouille notre âme, Pour peu que l'on ait un peu de larmes, On risquerait de s'y noyer, Mais mieux vaut le faire dans les yeux de l'être aimé. Passe le temps, viens le vent, Rafales, que l'on divague c'est énervant. Les fleurs ont ouvert et refermé leur corolle, Elle ne savent plus que faire, elle préfèrerait Eole. Eole tu ne viendras qu'en été, Pour nous souffler de doux airs enchantés, On nous annonce le réchauffement de la planète. Je crois que les informations ne sont pas nettes. Ah non, Madame la banquise, Je veux bien que tu partes à ta guise, Mais il ne fait pas plus chaud pour autant. Alors prend tes vacances et amène nous le printemps...

Après tout ce blanc vient le vert, Le printemps vient après l'hiver. Après le grand froid le soleil, Après la neige vient le nid, Après le noir vient le réveil, L'histoire n'est jamais finie. Après tout ce blanc vient le vert, Le printemps vient après l'hiver, Et après la pluie le beau temps.

fenetre

La nature est tout ce qu’on voit, tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand on y croit,et qu’on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit en la nature c’est toi-même.