En tout homme résident deux êtres: l'un éveillé dans les ténèbres, l'autre assoupi dans la lumiere

Si le monde ne te convient pas, réinventes-en toi un autre, et ne laisse aucun chagrin te faire descendre de ton nuage. La vie sourit toujours à celui qui sait lui rendre sa monnaie de sa pièce

Emporte-moi au loin, ho mon profond soupir, au-delà de ce qui désire ou bien commence, la-bas très loin, où vivre puisse être l'oubli de toute forme métaphysique du monde. Là, que ma sensibilité vague et profonde connaisse bien son lieu véritable, extérieur.La scintillation de mon esprit fécond. Mais à quoi bon imaginer encore territoires, régions, où le rêve est réel, ou pays qui ne font que de tourmenter l'être? C'est élever avec excès l'aspiration, et c'est, après l'échec de ce rêve dernier, trouver, sans doute aucun, bien plus vide le coeur.

La solitude que nous pouvons ressentir est une solitude d’étoile. Nous brillons en plein ciel illuminés par le soleil des autres. Pourtant parfois cette lumière semble pauvre. Et notre cœur est un astre solitaire penché sur l’enfance inconsolable du toucher. Alors seulement parfois cette étoile porte un nom d’argile et de terre. La solitude que nous pouvons ressentir n’est pas en lien avec les milliers d’étoiles qui nous entourent. Et qui nous disent les mots de l’amitié et de l’amour. La solitude que nous pouvons ressentir est une solitude d’étoile qui se tient à distance du ciel.

L'amour est un enfer supportable et la vie sans amour est un paradis insupportable

C'est dur de voir qu'on est vulnérable, que la vie est instable,que rien n'est acquis d'avance et qu'il faut se battre dans son existe

Il existe un jardin extraordinaire ou règnent la paix, la joie, la lumière et l’amour ce jardin est là déjà en NOUS. Tout le reste est illusoire !! Pour y accéder, le chemin est long et difficile, le courage, la persévérance, la patience sont les bâtons nécessaires pour nous soutenir. Mais plus le chemin est parcouru en conscience plus il devient lumineux, doux et léger.

La vie ne recopie jamais. Il n’est pas deux printemps identiques. L’essentiel est d’avoir gardé vivante, à travers les frimas, la souche originelle d’où peuvent surgir de nouveaux bourgeons

C’est l’histoire d’un homme qui attend sous la pluie,le regard perdu en somme,oubliant ce qu’il avait fuit. Il attend sa correspondance,le regard dans les flaques a rêver une autre chance. Éviter les pensées maniaques. Il attend un regard .Un mouvement, un parfum. Là sur ce quai de gare qu’elle lui prenne la main. C’est son sourire qu’il attend