Mais pourquoi le monde est si cruel

Le tonnerre n'est plus la voix irritée d'un dieu, ni l'éclair de son projectile vengeur. La rivière n'abrite plus d'esprits, l'arbre n'est plus le principe de vie d'un homme, et les cavernes ne sont pas habitées par des démons. Les pierres, les plantes, les animaux ne parlent plus à l'homme et l'homme ne s'adresse plus à eux en croyant qu'ils peuvent l'entendre

La Terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la Terre

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait

J’ouvre la porte de ma prison. J’ouvre ma porte intérieure car je ne crains plus d’être qui je suis, ni de montrer ma véritable personne. Je libère mes peurs en les laissant se manifester, je les identifie, je les accueille, je les affronte . J’ouvre la porte de mes faiblesses, ne cherchant plus à les cacher ou les renier. J’ouvre la porte à l’amour, ne craignant plus de recevoir, de m’exposer ou le donner. J’ouvre la porte de tout ce que je cache, sachant que cacher est me rejeter, me fuir ou me nier. J’ouvre la porte à la vie, je me montre tel que je suis, je vis dans cette conscience-là, et la liberté que je rencontre devient la nouvelle porte que je laisse ouverte.

La vie est un jeu d'échec. Parfois on gagne, parfois on perd. Quand on gagne, on savoure sa victoire. Quand on perd, on apprend de son échec

La naissance et la mort sont comme des bulles sur l’eau. L’eau est réelle, les bulles sont éphémères ; elles s’élèvent hors de l’eau, puis y retombent. De même, Dieu est un grand océan dont les bulles sont les âmes. Par Lui elles naissent, en Lui elles existent, à Lui elles retournent.

fantastique

j'ai tant rencontré d'arbres abattus, je me suis épuisée à les refaire pousser , à replanter, je récolte des sourires de temps en temps qui me redonnent encore du courage pour ne pas quitter ce monde qui fait si mal.

fantastique...anaconda

Je suis perdue dans la coiffure du vent ,mon esprit traine dans les pleurs.Mes larmes se séparent de mes yeux,qui bascule dans le passé et qui est clôturé à clé.Les débris de ma nuit me font souffrir dans les épines d'un cœur écroué derrière la clôture qui me pêche dans le royaume de la mort