Trouves moi les mots .Les mots pour guérir mes maux .Sauve-moi du temps qui passe, sauve-moi de la folie .De la peur et de l'ennui .Sauve moi de moi......... Trouves moi les mots. Ces mots que je n'écrirai pas

Quand dans mes heures volées, ses heures volages où s’envolent mes pensées, mon esprit vagabond s’étend sur sa page mirages aux mille pensés qui s’entrelacent et s’entassent, dans le coin caché de ma raison qui dérive, effacé la volupté des mots, taillé en pièces les non-dits ses phrases prisonnières de mon esprit. Mon âme furibonde traverse le mur du son et la déraison je survole à demi-mot et je frissonne, mes pensées fécondes mettent bas des idées qui m’inondent et je me perds sur des routes diverses arpentant tous les chemins convers qui mènent à l’extase de mes songes, à la dérive de mes rêves exacerbés, j’entre dans l’antre de mes délires secrets préservé, bien blotti dans le nid de mes nuits à la douceur amère et aux plaisirs éphémères, quel est donc ce mystère qui orne ma bannière. Les idées gisent et se déploient de toutes leurs grandeurs, candeurs imbibées de nectar à la saveur douce amère âpreté des idées déballées et étalé sur un lit de volupté que je déguste en toutes honnêtetés, j’enrubanne ce cœur qui palpite avec ferveur clamant haut et fort son amour, sa candeur, j’ouvre la volière des sentiments fragiles leurs laissant une chance de se libérer dans l’ultime. L’âme ne peut rester prisonnière de ses pensées elle se veut conquérante et obstinée, laissant libre cours à ses idées, libéré et étendue, liberté de pensée, de vivre et désespérer un moment de lâcher prise volontaires dans un monde ou la raison désespère

J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux .Il avait la voix déformé et un masque sur les yeux. Pas moyen de mieux le connaitre, il m'a laissé aucune piste .Je sais pas à quoi il ressemble, mais au moins je sais qu'il existe .J'ai rencontré quelques joies, j'ai rencontré beaucoup de peines. C'est parfois une question de chance, souvent une histoire de choix

Le hasard est une loi qui voyage incognito

Si tu tends l'oreille et sais écouter... Tu entendras le vent...ce qu'il veut raconter... En passant dans les arbres...caressant leurs feuillages... De son doux bruissement, il parle de voyages... Il raconte comment, dans bien d'autres pays, Lorsqu'il y a du chagrin, les larmes coulent aussi.. Il raconte comment, se croisent les regards.. Et les amants qui s'aiment dans la douceur du soir... Il raconte les peines et les chagrins d'amour... Car souvent lorsqu'on aime...ce n'est pas pour toujours... Mais il raconte aussi les amours éternels... Qui toute une vie se sont restés fidèles... Ce soir je vais m'asseoir sous le ciel étoilé... Attendre sagement qu'il vienne me parler... Et on ne sait jamais...Peut-être par hasard... Ce qu'il murmurera...ce sera ton histoire...

Après chaque tempête vient le calme. Après chaque discussion vient le silence. Après une relation, il y en a une autre. Même si la vie se compose de plusieurs fins Il y a tout autant de nouveaux débuts.

Ma vie est un clavier de piano, où je marche en solo, dansant du noir au blanc, tantôt riant, tantôt pleurant. J’étire derrière moi, un long ruban de soie, où s’inscrivent chaque jour, mes peines . Il y a tant de fausses notes, que je trébuche et je tremblote, redoutant le faux pas, qui m’éloignera de toi. Mais je suis fatiguée, je ne peux plus déchiffrer, cette triste partition, rythmant des punitions. Je ne veux plus danser, je ne veux plus penser, simplement m'allonger, et puis me reposer.

Ca m'arrive de pleurer et ça ne veut pas dire que je suis triste .car tout simplement mes larmes me confirment que mon ♥ est vivant avec l'amour et les deux font qu'un .Enfin les larmes sont les portes paroles du ♥ au moment des son voyage dans le brouillard du temps ..

  L'amour est insaisissable. C'est un vide intérieur qui se comble. La beauté retrouvée grâce au regard d'un autre. C'est vivre au présent pour l'avenir en brûlant le passé. C'est la seule façon de se sentir vivant.

Mon âme c'est un monde dont le ♥ est le Ciel.