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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Profiter de l'Instant. Les serres sur terre, les yeux tournés vers l'essentiel, ne plus courir après des chimères
L'espoir, c'est ce petit oiseau qui se perche sur notre âme, qui chante sans les paroles, et qui ne se tait jamais.
Un photographe capture des images incroyables des ailes d’un colibri, lumineuses comme des arcs-en-ciel
PAR ROBERT JAY WATSON
Lorsque l’artiste et photographe professionnel Christian Spencer a vu un colibri demi-deuil voler près de sa véranda à Rio de Janeiro, il a été stupéfait de voir un arc-en-ciel superbe briller à travers ses ailes. Cependant, cette magnifique palette de couleurs n’était pas le résultat des conditions météorologiques, mais plutôt le résultat de la diffraction de la lumière du soleil à travers les ailes, créant un incroyable effet de prisme. Un lever du soleil féérique (Avec l’aimable autorisation de Christian Spencer)
L’enregistrement des mouvements de ces oiseaux au vol rapide de M. Spencer a été présenté dans un court-métrage primé en 2011 intitulé The Dance of Time, qui documente l’incroyable biodiversité des forêts tropicales brésiliennes.
Quelques années plus tard, le photographe d’origine australienne, qui passe de longues périodes au Brésil depuis 2001, a décidé de photographier ce phénomène visuel avec son appareil photo et a été ravi de constater l’effet de prisme.
Expliquant l’image déconcertante qui en résulte, appelée Winged Prism (prisme ailé), M. Spencer a écrit sur son site web : « La photo capture le moment exact où la lumière du soleil pénètre dans les ailes d’un colibri demi-deuil, révélant un secret de la nature que nos yeux n’arrivent pas à voir. » Le colibri demi-deuil, nom latin Florisuga fusca, a un corps noir avec une queue blanche distinctive. La caractéristique la plus impressionnante est le bout de ses ailes, qui semblent brunes jusqu’à ce que le soleil les traverse et crée un bel effet d’arc-en-ciel. M. Spencer reconnaît l’effet stupéfiant de ces oiseaux incroyables. « Il n’y a pas de technique spéciale, a-t-il dit à My Modern Met, seulement la diffraction de la lumière à travers les ailes de ce colibri spécial. »
On peut s’imaginer que l’impressionnant déploiement de couleurs qu’il a découvert dans les ailes et la queue de ces grands colibris (selon les normes de leur espèce) n’est pas passé inaperçu. Les photos sont maintenant bien connues dans le monde entier. Le « prisme ailé » a même remporté un prix au Musée d’art moderne de Resende à Rio de Janeiro. Une autre image, intitulée Rainbow Ballet (ballet arc-en-ciel), a remporté la médaille d’or au Tokyo International Foto Awards en 2019. Faisant allusion à ces images fascinantes, M. Spencer confirme qu’elles ne sont pas manipulées numériquement et qu’elles sont bien réelles.
« Personne n’aurait jamais pu rêver que cela soit réel », a-t-il dit au My Modern Met. Il a ensuite ajouté : « Je reçois chaque jour des e-mails de personnes du monde entier émues par ces images. » L’un a écrit : « La photo la plus spectaculaire que j’ai jamais vue, quel unique privilège d’être témoin d’un spectacle à en couper le souffle. »
Alors qu’un autre ajoute :
« J’aime cette jolie petite créature, merci de partager cet enchantement avec le monde entier et de faire en sorte qu’il vaille la peine d’aller sur Facebook et Instagram. »
Ces colibris, que l’on trouve couramment dans la forêt atlantique du Brésil, s’étendant à l’est du Paraguay et au nord-est de l’Argentine, ne sont pas connus seulement pour cet effet de prisme qui fait que ces petits oiseaux ressemblent à de minuscules arcs-en-ciel dans le ciel. Les scientifiques ont découvert que le colibri demi-deuil a une caractéristique unique, qui est de pouvoir vocaliser à un son plus aigu que toute autre espèce d’oiseau connue. Un article publié dans la revue Current Biology « suggère que le colibri demi-deuil a soit une gamme d’audition atypique dans les hautes fréquences, soit que sa vocalisation principale a une fonction encore inconnue sans rapport avec la communication vocale ».
La liberté est un oiseau sauvage que l’on ne peut apprivoiser sans amour…
Deux gypaétons ont été réintroduits dans le Vercors
Mercredi 3 juin, deux gypaétons sont arrivés à Châtillon-en-Diois (Drôme). Cet événement est l’aboutissement de trois années au cours desquelles les Graines d’éleveurs, association d’enfants d’agriculteurs présidée par Pauline Guillot, de Lans-en-Vercors, ont partagé leur motivation pour que ce rapace retrouve sa place en Vercors.
Le gypaète barbu est l’une des quatre espèces de vautour présentes en Europe, espèce menacée et protégée. Principalement ostéophage, c’est-à-dire mangeur d’os, il contribue à l’élimination des carcasses, assurant ainsi une fonction sanitaire importante dans la nature. Une réintroduction qui permet de protéger la diversité C’est un oiseau magnifique, qui, à l’âge adulte, peut atteindre jusqu’à 3 mètres d’envergure.
Habitants du territoire, partenaires financiers, collectivités, ont déployé ensemble l’énergie nécessaire pour répondre à un enjeu fort : par cette réintroduction, préserver la biodiversité. Ce lâcher de deux gypaètes barbus est un symbole de persévérance et d’espoir. Les deux oiseaux viennent de deux centres d’élevage espagnols.
Le premier, né le 28 février, “filleul” de l’artiste CharlElie Couture, se prénomme Palo-Pala, et le second, né le 3 mars, “filleul” du photographe animalier Vincent Munier, se prénomme Kobalann. Cette journée organisée avec les techniciens du parc naturel régional du Vercors (le PNR porte le programme de réintroduction depuis 2010), et du Life Gypconnect, s’est déroulée en présence des nouveaux élus de la commune, de la sous-préfète de Die, de partenaires financiers et de Vincent Munier. Elle a été vécue avec beaucoup d’émotion… et un peu de frustration de ne pas avoir pu organiser de fête réunissant toutes les personnes qui ont permis cet événement.
Les deux gypaétons vont rester environ un mois dans une cavité naturelle aménagée pour leur confort et leur sécurité jusqu’à leur envol. L’accès en a été grillagé pour éviter toute perturbation et prédation. Pendant le mois où ils y resteront, les gypaétons seront alimentés, en évitant au maximum le contact humain pour qu’ils ne s’imprègnent pas de l’homme.
Finistère : des plages de nouveau fermées pour protéger les oiseaux
Plusieurs communes du Finistère ont restreint l'accès à certains sites côtiers pour permettre aux oiseaux protégés qui se sont installés pendant le confinement de mener leur reproduction à terme.
En baie de Morlaix, deux plages et deux îles sont fermées. "C'est la première fois qu'on ferme l'accès à ces îles. Il s'agit de protéger le bénéfice de cette période de confinement", a souligné Gilbert Manciet, sous-préfet de Morlaix, qui voit dans ces oiseaux "un pôle d'attractivité, un fort atout pour le territoire en termes d'images".
L'accès aux îles est interdit depuis le 3 juin pour préserver "une quinzaine de nids d'aigrettes garzettes et un nid de faucons pèlerins", a expliqué à l'AFP David Hemery, chargé de mission pour l'association de protection de la nature Bretagne vivante.
"Il faut laisser les aigrettes tranquilles jusqu'à 30 jours après l'éclosion", détaille Bruno Querne, conservateur bénévole des îlots de la baie de Morlaix, selon lequel "elles ne s'étaient jamais installées là auparavant et elles ne l'auraient jamais fait sans le confinement".