Accepter les dépendances que nous impose la nature, c’est la sagesse ; les aimer, c’est le bonheur

Toute chose fait partie de l’univers, et chacune est connectée aux autres pour former une seule grande unité

Je crois qu'on ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses

J’ai pris des routes. Des détours chaotiques. Des chemins de traverses. Enfin derrière les buissons,protéger du regard par un pont,me révélé la plage des montagnes. La brulure des roches sous les pieds. L’eau glacée d’un écrin perdu a la recherche d’une fraicheur fébrile. Un lieu simple, resté muet au tout venant .Quelques instants encore a partagé et puis au retour le poser sur le papier. Tout est flou, mes souvenirs sont justes, mais mon encre malhabile a restituer les secondes subtiles. La seule certitude remonter là haut

Une ballade dans la nature ? détente assurée

La nature ajoute une étincelle dans l'oeil de celui qui prend la peine de l'admirer

Paysage d’Islande

Quand je regarde un champ, une forêt, la fumée d'un feu, un écureuil ou un oiseau, je vois une image, et si elle me plaît je la conserve. Je garde tout ce que je vois. Je crois que nous avons beaucoup d'yeux, plein, plein d'yeux. Et tous ces yeux se rouvrent la nuit. Les rêves ce sont nos yeux de la nuit

Il est des coins du monde délicieux qui ont pour les yeux un charme sensuel. On les aime d'un amour physique. Nous gardons, nous autre que séduit la terre, des souvenirs tendres pour certaines sources, certains bois, certains étangs, certaines collines, vus souvent et qui nous ont attendris à la façon des évènements heureux. Quelquefois même la pensée retourne vers un coin de forêt ou un bout de berge, ou un vergé poudré de fleurs, aperçus une seule fois, par un jour gai, et restés en notre coeur comme ces images de femmes rencontées dans la rue, un matin de printemps avec une toilette claire et transparente, et qui nous laissent dans l'âme et dans la chair un désir inapaisé, inoubliable, la sensation du bonheur coudoyé."

Le vrai démocrate est celui qui, par des moyens non violents, défend sa liberté, par conséquent celle de son pays et, finalement celle de l'humanité toute entière