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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
On créé ces souvenirs pour nous-mêmes, là où nos yeux ne se ferment jamais
La réussite est liée à la patience mais elle dépend également de beaucoup de bonne volonté.
Je ne laisse entrevoir que mon minimum lorsque je comprends que je suis utilisé. Car lorsque l'on n'aura plus besoin de moi, je donnerais mon maximum contre ces personnes.
SYNDROME DE LA CABANE : J’AI PEUR DE SORTIR APRÈS LE CONFINEMENT
De nombreuses personnes ressentent de la peur et de l’angoisse face au déconfinement. A tel point que certains préféreront ne pas sortir dans la rue. Ce phénomène psychologique n’est pas nouveau et nous l’expliquons ci-dessous en donnant les clés pour y faire face. La peur à l’idée de ressortir dans la rue. L’angoisse de reprendre nos obligations au-delà du foyer. Sentir qu’à la maison nous avons tout ce dont nous avons besoin, que ce ne serait pas grave si ce confinement était prolongé de quelques semaines supplémentaires…
Ce type de réalités psychologiques définit ce que nous connaissons en psychologie comme le « syndrome de la cabane », quelque chose qui, curieusement, touche un bon nombre de personnes. Peut-être que plus d’un sera surpris…
Qui ne voudra pas reprendre contact avec le monde extérieur ? Avec la rue ? La lumière du soleil et le beau relief de nos villes et villages ?
Les faits montrent qu’il y a des centaines d’hommes et de femmes qui sont angoissés aujourd’hui au moment où ils doivent franchir le seuil de leur maison. Maintenant, une chose que nous devons clarifier en premier lieu, c’est qu’il s’agit d’une sensation normale. Nous sommes loin d’être en présence d’un quelconque trouble psychologique. Le simple fait d’avoir passé autant de semaines confinées habitue notre cerveau à cette sécurité que nous trouvons entre les quatre murs de la maison.
A cela, il faut ajouter un autre facteur : le coronavirus n’a pas disparu, le risque d’infection est toujours présent, et on peut comprendre que la peur de la contagion augmente encore plus l’insécurité et l’angoisse de sortir. Le syndrome de la cabane ou le cabin fever est un type d’expérience connu depuis le début du XXème siècle. Approfondissons le sujet. Le syndrome de la cabane : en quoi consiste-t-il ? Le syndrome de la cabane a commencé à être décrit cliniquement en 1900. Il y avait beaucoup de chasseurs ou de chercheurs d’or dans le nord des Etats-Unis qui passaient des mois dans leurs huttes en profitant de certaines périodes.
L’isolement a souvent eu des conséquences sur eux de diverses manières. Refus de retourner à la civilisation, méfiance à l’égard du contact avec les autres, augmentation du stress et de l’anxiété Ce type de symptomatologie était également assez courant chez le personnel qui s’occupait des phares avant qu’ils ne soient automatisés. Actuellement, et compte tenu de la situation de confinement que nous vivons, les psychologues ont repris le syndrome de la cabane ou le phénomène du cabin fever afin de mieux comprendre cette réalité que beaucoup de gens vivent en ce moment.
Analysons en quoi il consiste. Quels sont les symptômes du syndrome de la cabane ?
L’une des caractéristiques les plus courantes de ce syndrome est la léthargie. La fatigue, l’engourdissement des jambes et des bras, les longues siestes et même la difficulté à se lever le matin sont courants. D’autre part, vous pouvez également éprouver des symptômes cognitifs : problèmes de concentration, défaillances de la mémoire… Le manque de motivation est également récurrent L’envie de certains aliments pour soulager l’anxiété Le syndrome de la cabane se manifeste également avec un cadre émotionnel très spécifique : tristesse, peur, angoisse, frustration…
D’autre part, la caractéristique la plus évidente est la peur d’aller dehors. Cependant, souvent les gens peuvent simplement déclarer qu’ils n’ont pas encore envie de sortir, qu’ils sont bien chez eux pour le moment et qu’ils ont tout ce dont ils ont besoin J’ai peur de sortir après le déconfinement, que puis-je faire ? Le syndrome de la cabane se manifeste plus souvent qu’on ne le pense actuellement. A tel point que nous avons même une échelle développée à Pékin pour évaluer l’incidence de ce facteur dans la population. Quoi qu’il en soit, une chose est claire : éprouver ce sentiment n’est pas agréable ; surtout, parce que ceux qui en souffrent ne sont confrontés qu’aux voix de ceux qui aspirent à retrouver leur vie, la normalité et à sortir dans la rue. Il est donc important que nous comprenions et respections ceux qui, pour l’instant, ne se réjouissent pas de mettre un pied dehors. Ce sont là quelques dimensions dont nous devrions tenir compte.
Donnez-vous du temps, ce que vous ressentez est compréhensible Nous l’avons souligné au début. Le syndrome de la cabane n’est pas un trouble psychologique. Il ne décrit qu’une situation émotionnelle tout à fait normale face à un confinement de plusieurs semaines. Ne nourrissez donc pas plus de craintes et d’angoisses en imaginant que vous perdez le contrôle de la situation. Ce que vous vivez est compréhensible compte tenu de la situation. L’essentiel est de se donner du temps. Il n’est pas obligatoire de sortir aujourd’hui si vous n’en avez pas envie, vous pouvez faire de petites tentatives. Il suffit aujourd’hui d’aller jusqu’à la porte et de l’ouvrir sans sortir.
Demain, vous pourrez faire quelques pas et revenir. Après cela, vous pourrez essayer de faire une promenade. Routines et objectifs pour éviter d’avoir peur Le cerveau a besoin de routines pour gérer le temps, pour se sentir en sécurité et pour éviter de donner de l’espace à des pensées excessives. Dans ce cas, et pour réduire l’effet du syndrome de la cabane, nous devons réduire le temps de repos, en évitant avant tout de passer beaucoup de temps au lit ou de faire des siestes. Concevoir une routine et s’y tenir. L’une d’elles consiste à répartir les obligations de travail ou de soins à domicile, le temps pour une alimentation saine, le temps pour l’exercice physique et, surtout, vous devez également établir les moments où vous irez à l’extérieur.
Demandez de l’aide si vous en avez besoin Au cas où vous seriez de plus en plus terrifié à l’idée de sortir, il est important de demander de l’aide. Si vous constatez qu’il vous est impossible de franchir le seuil de votre maison par peur ou que le simple fait de vous visualiser dans la rue génère de l’anxiété, il est peut-être temps de demander une aide professionnelle. Nous sommes confrontés à une nouvelle situation pour tout le monde et, au cours de ces mois, de multiples défis psychologiques vont se présenter. Nous devons être préparés, être sensibles les uns aux autres, être plus humaines et plus proches des autres afin qu’ensemble nous puissions mieux faire face à cette situation. Demander une aide professionnelle quand on en a besoin est toujours une ressource précieuse à notre portée.
Reconnaissez-vous cet emblématique village en bordure de Méditerranée ?
Le monde joue sa plus belle symphonie… Comment pourrait-il en être autrement ?
Les uns sont esseulés chez eux, les autres sont confinés en famille, la planète revit, les espèces végétales, minérales et animales se régalent. Chacun y va de sa théorie, de ses certitudes, et au final plus rien ne tient. Tout part à la dérive et nul ne sait vraiment de quel côté la symphonie va s’achever. Celui d’une terrible cacophonie pour tout le vivant incarné, ou celui d’une mélodieuse partition qui pourrait laisser sans voix les plus sceptiques.
En effet, se ranger du côté du catastrophisme sans tenir compte du « halo solaire » qui vous bombarde de particules adamantines, c’est sans compter sur la grâce de la vie, sur sa magie, sur son enchevêtrement avec des fréquences lumineuses, porteuses de renouveau et d’espoir. C’est être sans foi. Pas une foi qui relègue à n’être qu’un exécutant, non cette foi qui peut déplacer des montagnes, qui permet de parcourir le monde en quelques enjambées, comme avec des « bottes de sept lieues ». Cette foi qui magnifie tout, qui ne rend ni naïf, ni niais, mais responsable de connaître la beauté de la vie, de la planète et de l’humanité toute entière, dès le moment où elle décide d’entonner sa meilleure mélodie.
Observez les chorales, les orchestres, les groupes d’enfants qui chantent. Y voyez-vous de la stupidité à être joyeux ensemble ? De l’inutilité à se regrouper pour être heureux? Ou pouvez-vous voir dans chaque humain un état de grâce qui le porte, quand le moment lui est permis de se réjouir ensemble, d’aimer voir son petit frère ou sa petite soeur être heureux. De quoi ? Juste de chanter … un bonheur immense …
Auriez-vous perdu cette capacité à vous émerveiller d’un rien, d’une petite brindille, d’un oiseau qui chante, d’une brise sur votre visage. C’est vers cette simplicité de la vie qu’il vous faut vous rediriger. C’est dans cet état que vous devenez en mesure de communiquer avec d’autres espaces-temps, d’autres êtres de fréquences différentes, d’autres mondes dans d’autres réalités. Ces capacités sont propres à chacun s’il prend la peine de se simplifier, de s’aimer et principalement d’aimer la vie avant même toute manifestation. La symphonie que vous serez en mesure de jouer tous ensemble, humanité en une seule entité, dépend de cela. N’hésitez donc pas à oser être un brin naïf. C’est ce parfum qui donne le ton à la nouvelle partition qui se joue dans les cœurs d’abord.
Encore un peu de bioluminescence pour bien démarrer la journée ! Cette image composite révèle une plage de San Diego (Californie) sur laquelle se forment de véritables vagues bioluminescentes (en raison de la présence de phytoplancton bioluminescent). Le composé chimique à l'origine de la luminescence est la luciférine, qui émet de la lumière en s'oxydant grâce à l'intervention de la luciférase (une enzyme).
La plus grande grotte du monde se dévoile en réalité virtuelle
À l'avenir, il se pourrait bien que nous redécouvrions les plus belles merveilles de la nature grâce à la réalité virtuelle.
La silhouette d'un spéléologue se reflète sur la surface d'un lac cristalin et immobile dans l'une ... La silhouette d'un spéléologue se reflète sur la surface d'un lac cristalin et immobile dans l'une des dolines de Son Doong. À la suite de l'effrondrement du plafond de la grotte, une forêt luxuriante s'est formée autour du lac.
Lors du F8, la conférence annuelle de Facebook dédiée aux développeurs qui s'est tenue à San Jose, en Californie, le réseau social a dévoilé les mises à jour de React 360, un éditeur de contenu 360 et WebVR interactif. Les contenus réalisés avec cette technologie pourront être diffusés sur internet et dans le fil d'actualité de Facebook : la réalité virtuelle sera alors accessible aux plus de 2 millions d'utilisateurs du réseau social, sans avoir besoin d'un casque. Pour vous montrer en quoi consistera cette fonctionnalité, Facebook travaille avec National Geographic et a présenté une version mise à jour de l'expérience en réalité virtuelle interactive de National Geographic, mise au point en 2015.
Les lecteurs étaient invités à visiter de façon virtuelle Son Doong, une grotte découverte il y a peu au Vietnam et considérée comme la plus grande au monde. « Dans le monde des réseaux sociaux, c'est une très grande avancée », a déclaré Martin Edström, le photographe qui a pris les clichés 360° de Son Doong pour National Geographic. « Désormais, nous pouvons nous promener dans la plus grande grotte au monde depuis Facebook ».
Cette visite virtuelle nouvelle génération a bénéficié de plusieurs mises à jour, comme une navigation améliorée, un audio guide explicatif et une meilleure tonalité photographique. Ses améliorations permettent aux visiteurs virtuels d'être transportés au milieu des énormes stalagmites de ce paysage extra-terrestre et mystérieux, dans une grotte si large qu'un Boeing 747 pourrait la traverser. Les mécanismes de distributions de contenus en réalité virtuelle sont aujourd'hui dépassés par la technologie utilisée pour créer et prendre des photos interactives et à 360°. Les photographes et les réalisateurs de films en réalité virtuelle ont du mal à partager leur travail avec le monde.
Si Facebook s'oriente vers la narration en réalité virtuelle, cette dernière fera certainement plus partie de nos expériences de médias numériques. « Il ne fait aucun doute que le contenu interactif et d'immersion fera partie intégrante de la façon dont nous raconterons bientôt nos histoires », a souligné Martin Edström. Un spéléologue est arrivé au sommet d'une énorme stalagmite en spirale, dans la zone Watch Out ...
C'est en 2014 que Martin Edström, photojournaliste basé à Stockholm, a entendu parler d'une grotte récemment découverte au Vietnam, dans le parc national de Phong Nha-Kẻ Bàng. Cette grotte était considérée comme la plus grande au monde. Il a donc sauté sur l'opportunité pour la prendre en photo en réalité virtuelle. L'entrée de la grotte Son Doong, qui signifie « grotte de la rivière de montagne », a été découverte en 1991 par Hồ Khanh, un bûcheron. Le récit légendaire de cette découverte est remonté jusqu'aux oreilles de scientifiques et d'explorateurs, qui ont alors contacté Hồ Khanh afin que ce dernier les aide à retrouver la grotte. Après plusieurs mois de recherche, le bûcheron a finalement réussi à retrouver son chemin dans la jungle reculée qui mène jusqu'à cette gueule inquiétante et sombre de la terre.
Grâce à des techniques de spéléologie adaptées, l'équipe de scientifiques et Hồ Khanh se sont mis à explorer un peu plus la grotte. Ce qu'ils ont découvert a dépassé toutes leurs espérances. Formée il y a environ deux à cinq millions d'années, la galerie de cette grotte est considérée comme la plus grande au monde. Elle s'étend sur près de 5 km et comporte de nombreuses chambres. Ces dernières sont si immenses qu'elles peuvent accueillir sans soucis les gratte-ciels d'un quartier tout entier de New York. Comme Son Doong est la plus vaste grotte au monde, elle abrite des formations gargantuesques comme la « Main du chien », une stalagmite de 60 mètres qui est considérée comme la plus grande au monde. On y trouve également des perles des cavernes de la taille d'un ballon de basket.
Ces spéléothèmes sont normalement bien plus petits. Son Doong est aussi composé de deux grandes dolines, des zones où le plafond de la grotte s'est effondré, laissant ainsi la lumière pénétrer à l'intérieur, créant ainsi des conditions idéales pour le développement d'une flore préhistorique dense au milieu de la grotte. SON DOONG,
UN LIEU À PROTÉGER
Peu de temps après la découverte de la grotte, des opérateurs touristiques ont vu l'opportunité de gagner de l'argent grâce à cette merveille de la nature. Un seul opérateur dispose d'une autorisation pour faire visiter la grotte : Oxalis Adventure Tours.
Chaque année, environ 800 personnes descendent dans la galerie souterraine pour la somme de 2 500€. En 2014, une société touristique avait dévoilé une proposition pour le moins controversée : construire un funiculaire de 10 km à travers Son Doong. « Depuis, Save Son Doong, un important réseau militant, a parcouru le Vietnam en montrant aux locaux nos photographies en réalité virtuelle pour les convaincre de signer une pétition destinée à protéger la grotte du tourisme à grande-échelle », a expliqué Martin Edström.
« Ils vont dans les universités, les écoles et aux rassemblements politiques pour faire découvrir la grotte aux citoyens grâce à notre expérience de réalité virtuelle ». Cette cause a gagné un important soutien quand Barack Obama a déclaré que Son Doong devait être protégée lorsqu'il s'est adressé au peuple vietnamien pour la dernière fois. À l'heure actuelle, le projet du funiculaire est encore dans les cartons. Les photographies de Martin Edström, qui révèlent au monde entier la spectaculaire beauté naturelle de la grotte y sont peut-être pour quelque chose. Le photographe considère d'ailleurs la fonctionnalité de Facebook comme un puissant outil de protection. « Il ne s'agit pas seulement d'une histoire de la grotte », a-t-il déclaré. « C'est une histoire qui parle de la gestion durable de notre patrimoine naturel, pour que nos petits-enfants puissent admirer et s'émerveiller devant tant de beauté ».
Le travail de Martin Edström à Son Doong a bénéficié du soutien financier de la National Geographic Society.