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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
A Arbas, une forêt pour abriter des urnes funéraires
A Arbas, en Haute-Garonne, on peut désormais enterrer des urnes funéraires en pleine nature, aux pieds des arbres, dans une forêt cinéraire. Une première en France.
L’endroit est paisible, propice au recueillement ou à la contemplation. A mille mètres d’altitude, à proximité du village d’Arbas en Haute-Garonne, au milieu d’un peu plus d’un hectare de forêt , il est désormais possible d’enterrer des urnes renfermant les cendres d’un défunt à l’ombre paisible d'un vieil arbre. L’endroit est sanctuarisé.
Deux panneaux indiquent aux promeneurs qu’ils pénètrent dans une zone de silence. Un concept inédit en France Le concept de ces forêts cinéraires existe dans certains pays, en Allemagne ou en Suisse notamment. Mais il reste inédit en France.
Elia Conte Douette, une jeune toulousaine de 37 ans, devenue conseillère et formatrice en développement durable, en est la principale instigatrice. « J’abordais régulièrement dans mes formations, notamment avec des élèves ingénieurs de Purpan, le sujet des vieilles forêts, ce qu’elles pourraient devenir, ce qu’on pourrait en faire pour les préserver », raconte cette juriste de formation.
« En rencontrant des spécialistes du sujet, notamment des membres du Conservatoire des Espaces Naturels, et du groupe d’Etudes des Vieilles forêts pyrénéennes, l’idée a fait son chemin ». Un chemin qui passait naturellement pour elle par les grands espaces préservés de la forêt d’Arbas, en plein cœur du Comminges.
« Je connaissais Arbas comme étant le premier site de réintroduction de l’ours dans les Pyrénées, j’ai découvert qu’il y avait là-bas des endroits exceptionnels, et que la commune était très impliquée dans le développement durable. Je me suis rapproché d’eux, le projet était lancé ». Des chasseurs acteurs du projet Dans la commune d’Arbas, l’idée de cette forêt cinéraire est débattue lors de différentes réunions publiques.
« Le projet d’Elia m’a séduite, à titre personnel, parce que l’idée même du cimetière me paralyse », confie Céline Salviac Malbert, conseillère municipale. « Mais rapidement, de nombreuses personnes et des acteurs du terrain ont été intéressés par ce projet. Nous y avons associé l’Office Nationale des Forêts, bien évidemment, mais aussi les chasseurs, nombreux dans le secteur. Ils connaissent parfaitement le terrain, ils nous ont aidés à identifier l’espace forestier le plus propice.» Le choix se porte alors sur un bois d’un peu plus d’un hectare, situé sur la commune d’Herran, mais propriété de celle d’Arbas.
« Il fallait un terrain non exploité, un peu isolé mais accessible », poursuit la conseillère municipale, « on se laisse la possibilité d’étendre cette zone si le projet rencontre du succès ».
L'arbre, symbole de vie Et à première vue, deux mois après son lancement, la perspective de passer sa mort au milieu d’une forêt pyrénéenne semble séduire. Moyennant finances, il est possible d’acquérir une concession à perpétuité au pied d’un sapin, d'un hêtre, d'un frêne ou d'un épicéa : 250 euros pour une urne simple, faite de bois et de tissus et entièrement biodégradable, 500 euros pour une inhumation en duo, mais certains emplacements collectifs peuvent accueillir jusqu’à 10 de ces réceptacles renfermant les cendres. L'urne une fois enterrée, un morceau de bois accroché à l’arbre indiquera l’identité et les dates de naissance et de décès du défunt.
Mais aucun dépôt de fleurs ou d'objets du souvenir ne seront autorisés sur le site. La dispersion de cendres y sera également prohibée. Plusieurs acheteurs ont franchi le pas, ou s’apprêtent à le faire. Marie, habitante de Saint-Sulpice-la-Pointe, dans le Tarn, a été immédiatement intéressée par cette nouvelle « offre » funéraire. « Elle correspond à mes idées et à celles de mon compagnon. Nous sommes amoureux de la nature, de la montagne, de la forêt, de la mer. Pour moi, l’idée d’être incinérée, puis inhumée au pied d’un arbre, ça me correspond » raconte cette jeune grand-mère de 66 ans.
Je crois en une vie après la mort, et l’arbre est à mes yeux un symbole de vie. La forêt est un lieu apaisant, qui me convient. C’est aussi un moyen de nous retrouver, mon compagnon et moi, dans un endroit qu’on a choisi à deux, de notre vivant.
Marie poursuit : "Nos enfants respectifs sont au courant, l’idée de savoir qu’ils pourront venir dans cette forêt pour penser à nous quand nous ne serons plus de ce monde leur plait, même si eux-mêmes ne sont pas intéressés par cette forme de rituel funéraire. Et en plus nos cendres pourront nourrir la terre, et préserver cette forêt, c’est une symbolique qui nous paraît importante ! ".
Pour accompagner son projet, Elia Conte Douette a créé un site internet baptisé Cime’Tree, qui détaille les modalités d’acquisition de ces concessions dans la forêt d’Arbas. Elle a également suivi une formation de conseillère funéraire, pour accompagner les personnes intéressées dans leur démarche. Et pense que la philosophie de son projet trouvera son public. La règlementation de plus en plus stricte qui entoure les cérémonies de crémation puis de conservation ou d'inhumation des urnes, le coût parfois rebutant des inhumations classiques dans des cimetières urbains pourraient à plus ou moins long terme, lui donner raison.
Pas loin de la frontière Italienne, la vallée de Névache est entourée de multiples lacs d'altitude.
Les lacs Laramon et Serpent en font partis, avec la rando au départ de Fontcouverte à environ 1800m alt.
Vous comprendrez que Italiens et Français comtemplent les lieux il y a des réglementations de circulations durant la période estivale.
En Isère, traverser la Dent de Crolles en spéléo !
Savez-vous qu'il est possible de traverser la Dent de Crolles, de part en part... en spéléo ? A condition d'être en bonne condition physique, et en engageant un guide. Il est très facile de se perdre dans les entrailles de la Dent.
Par Jean-Christophe Pain
Vue de la vallée, la Dent de Crolles, 2062 mètres d'altitude, semble un donjon inébranlable qui veille crânement sur tout le Grésivaudan. En réalité, c'est un gruyère géant, sillonné de dizaines de kilomètres de galeries souterraines creusées par l'eau depuis des millions d'années. Un véritable dédale qui n'est pas encore complètement exploré.
Pourtant, Dans les années 30-40, deux alpinistes, Pierre Chevalier et Fernand Petzl, s'aventurent dans les boyaux les plus étroits pour cartographier ce réseau, longtemps considéré comme le "plus grand gouffre du monde".
Une jeune étudiante, Annette Bouchacourt, les accompagne. Elle prépare sa thèse en géographie. Particulièrement agile, elle donnera son nom à plusieurs passages délicats du parcours, et même à la grotte d'arrivée. Aujourd'hui encore, on entre dans le labyrinthe de la Dent par le trou du Glaz, côté Chartreuse, au-dessus du col du Coq, et on en ressort par la grotte Annette, côté Grésivaudan, en pleine falaise, au-dessus du plateau des Petites Roches, commune de Saint-Pancrace.
La carte du réseau tel qu'il est connu à ce jour. Nombreuses zones blanches encore vierges. En orange à droite notre parcours Glaz-Annette. La carte du réseau tel qu'il est connu à ce jour. Nombreuses zones blanches encore vierges. En orange à droite notre parcours Glaz-Annette.
Ce parcours "classique", trou du Glaz-grotte d'Annette, ne se déroule que sur trois petits kilomètres. Mais il faut au minimum 7 heures pour les parcourir ! C'est dire si la progression n'est pas vraiment continue. Les obstacles sont nombreux et variés.
L'un des nombreux puits à descendre en rappel L'un des nombreux puits à descendre en rappel Il faut descendre en rappel dans plusieurs puits. Ramper, se contorsionner pour franchir de nombreuses étroitures. Et faire quelques pas d'escalade sur des roches humides, donc glissantes. Il faut donc absolument recourir aux services d'un guide spéléo diplômé d'état.
Pour éviter de vous perdre d'abord, ensuite pour vous aider à progresser dans les passages difficiles. Une bonne condition physique est chaudement recommandée. Agilité et souplesse en particulier.
Nous avons été guidés dans ce périple par Cyrille Mathon, qui connaît bien le réseau souterrain de la Dent de Crolles.
https://youtu.be/y9hC6Wxy2DQ
La vie est ni noire, ni rose , est un mélange de Bonheur et Chagrin...Alors ouvrez votre ♥ pour vivre comme une fleur.
L'amour c'est comme la mer ensoleillé ou en colère.. C'est l'orage, c'est l'eau claire, c'est l'été ,c'est l'hiver.. Oui l'amour c'est comme la mer.. C'est la nuit et la lumière