Je suis devant ma fenêtre, Et mon esprit s'envole, Il parcourt des kilomètres, Et se pose dans des endroits Incroyablement beau, remplies de fleurs et d'oiseaux. Et sans mon esprit ,Je ne pourrais pas continuer le chemin, Qui m'emmène vers de nouveaux horizons, Ou les montagnes sont enneigées ,Et l'air  pur que je respire .Je resterais toute ma vie dans c'est endroit magique. Mon esprit va plus loin ,Sur des plages de sable chaud, Ou tout et lumineux et beaux, L'eau et turquoise et chaude ,Et je me baigne et ferme les yeux ,Et je suis bien et ne pense à rien. Mais soudain j'ouvre les yeux ,Et je me retrouve devant ma fenêtre ,Mais demain je refermerais les yeux ,Et mon esprit s'envolera vers De nouveaux horizons ou tout sent bon

Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface

Sommes nous au bout de la terre,le ciel trace l’horizon lointain, Mais le regard est arrêté, Par la beauté du paysage ,Etapes où la vision d’ailleurs commence .Le paysage parle en entier, Simple et rustique, songe Qui prend son vol dans la pensée,Tant de beauté fragile de naturelle innocence

Le temps est comme un fleuve, il ne remonte pas à sa source.

Voici l’été Les roses , Quelques ondées, Les fleurs écloses .Voici l’été À la montagne, À la mer ,et À la campagne .Voici l’été, Les chants d’oiseaux, Les chants de blé, Le vin nouveau, Voici l’été Et, de retour, Les vacanciers

Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes ;ho mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord,

La lune de ses mains distraites A laissé choir, du haut de l'air, Son grand éventail à paillettes Sur le bleu tapis de la mer. Pour le ravoir elle se penche Et tend son beau bras argenté ; Mais l'éventail fuit sa main blanche, Par le flot qui passe emporté. Au gouffre amer pour te le rendre, Lune, j'irais bien me jeter, Si tu voulais du ciel descendre, Au ciel si je pouvais monter !

Je nage dans un océan de peur et d'oubli ,La passion reste, les doutes s'en vont ,Au fondde mon ♥ nait la melancolie ,Toutes ces histoires ne sont que contrefacon,Dans un mode ou amour rime avec douleur,Pourtant j'apercois une lueur d'espoir ,Dans les yeux de la vie emplit d'ardeur ,Desesperant de me montrer la memoire ,Des jours d'un monde vaincu et éphémère ,Le desir d'entendre la douceur du vent,Et la peur de n'y voir qu'un desert ,Rends l'amour peu convainquant,Pendant que dans mon ♥ grandit le bonheur ,De revoir ton visage et tes paroles benis,Gagner ma vie et la transformer en océan de fleur,Où je peux me ressourcer à l'inifini ,En buvant la source du destin,Dont les gouttes inscrivent mon histoire,Sur la pierre semblable au parchemin.

Il est d'un jardin ou tout est autorisé aujourd'hui ou demain sourire, rire , pleurer La pluie côtoie le soleil L'orage et le bleu du ciel Harmonie des différences Mélange des sens Il est d'un jardin Que l'on ne voit pas Qui vous porte par la main Doucement , pas à pas Le jour se lie à la nuit La lueur à l'ennui Osmose des émotions Fusion des sensations Ou est-il ? Est-il vrai ? Chut, c'est un secret.

Aucune ne se ressemble et pourtant je suis seule tes bras me manquent J'aimerais me blottir contre toi caresser ton visage poser ma tête sur ton épaule souvent j'imagine que tu es là tout contre moi que tu dors paisiblement que je peux te regarder lorsque des angoisses m'envahissent j'ai mal et je me sens si triste Dans ce grand lit vide et froid je t'appelle tout doucement en espérant te voir apparaître Je me rendors après un long moment et je rêve que l'aube arrive les premiers rayons du soleil nous forcent à ouvrir les paupières tu es là c'est merveilleux je te souris toi aussi on est bien nos corps sont chauds encore ensommeillés Nous allons nous lever et ensemble déjeuner une nouvelle journée commence