Mon amour,le temps est vraiment des plus long sans toi.Je ne fais que penser a toi.A chaque secondes qui passe,ce ne sont que des pensées pour toi.Je t'aime tellement fort mon tendre amour.Je ne risque pas de t'oublier.Tu es graver si fort en moi,tu es dans mon coeur, dans ma tête et toute mes pensées.Même si le temps est long loin de moi,c'est a toi que je pense a chaque endroit.Je voudrais tellement que tu reviennes,et que le temps nous appartienne,a toujours être en ta présence

2 mois sont passées,
Cela m'a paru une éternité,
J'ai relu nos conversations et messages,
Il nous était réservé un beau présage.Désormais, je ne peux qu'imaginer.

Je sais juste que mon rêve le plus cher,serais d etre pres de toi

Ce long silence
Causé par ton absence
Me fait mal,
Ça n'a pas de sens
Pourquoi es-tu parti?

Sans toi, je ne suis plus rien
Sans toi, je ne vaux plus rien
Sans toi, je ne me sent pas bien
Sans toi, la vie n'a plus de fin.

Je m'ennuie de toi mon ange.Pourquoi es-tu partie habiter si loin

Je me suis éveillée à l'amour lorsque je t'ai vu La première fois, tout de suite, je l'ai su, C'était Toi qui saurais me faire renaître, Et faire chanter de nouveau mon être. J'ai construis une bulle avec tout ton amour La réalité de toute ta douceur et de ta sincérité. Toi mon ange, lorsque tu as déployé tes ailes Quand autour de moi, tu les as resserrées, Tu m'as fait espérer que je serais celle Que tu voulais pour toujours à tes côtés. je t aime si fort

            Je voudrais avant toi m’éveiller le matin Pour m’accouder longtemps près de ton sommeil d’ange,tout mon cœur se déchaîne et t’appelle.des cris Qui restent dans la gorge en pleurs.Il pleure dans mon cœur                                                                       

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps

(Extrait, Victor Hugo, Les contemplations)

CHANSON D’AUTOMNE Les sanglots longs Des violons de l’automne Blessent mon cœur D’une langueur monotone. Tout suffocant Et blême, quand sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure. Et je m’en vais Au vent mauvais qui m’emporte Deça, delà, Pareil à la feuille morte (Paul Verlaine)

Tu etait mon amour, ma passion, Mon incessante admiration, Tu me rendait si heureuse, Que je ne pouvait être qu'amoureuse, Tu es tellement gentil avec moi, Que je fondais quand tu etais là . Tu as littéralement changé ma vie, Grâce à toi, elle s'etait embellie. Je t'offre donc mon coeur, Inondé par tant de bonheur, Il t'appartient pour toujours, A toi, mon bel, mon tendre amour

Que tu sois présent ou absent mon esprit s'envole toujours vert toi Toi mon amour éternel Tu es entré dans ma vie Tu as pris mon coeur Tu y es entré Et jamais tu n'en sortiras

Il est venu le jour où mes yeux t'ont perdu Je cherchai dans mon coeur et ne te voyais plus Seul dans mon désespoir pleurant à pleines larmes Enfermé dans ma chambre à côté de tes photos