Elle filme un homme qui pousse son chien dans un chariot, le monde entier pleure en découvrant son histoire

Une histoire vraiment très touchante et surtout une magnifique histoire d’amour.

La semaine dernière, alors qu’elle se trouvait près de chez elle en Italie, Sabrina la Grotteria a été témoin d’une scène qui a touché son cœur. Mais pas que. Puisque quelques temps plus tard c’est un pays entier qui a été touché. Une scène très touchante

En se baladant dans les rues de Vibo Valentia, Sabrina a assisté à une scène assez extraordinaire.

Face à elle, un homme en train de pousser un chariot sur lequel se trouvait un chien, visiblement incapable de marcher seul.

Etonnée, Sabrina décide de filmer toute la scène afin de montrer au monde entier le dévouement de cet homme envers son chien.

« J’étais tellement émue que j’ai décidé de tout publier sur Facebook. » Car en réalité, le chien était handicapé. Immédiatement, la vidéo devient virale et a été visionnée des centaines de milliers de fois, faisant la Une des journaux à travers le pays. Une histoire qui fait le tour du monde Sabrina ne sachant absolument rien au sujet de ce chien et de son maître, ce sont les médias locaux qui ont mené leur petite enquête.

Il s’avère que cet homme, nommé Tonino Vitale, promène son chien Dylan, âgé de 13 ans, chaque jour depuis que Dylan a perdu l'usage de ses membres arrière à cause de l'arthrite. La preuve d’un amour sans faille qui dure depuis des années. Touché face au succès de son histoire, Tonino a expliqué qu’il ferait tout pour le bonheur de son petit compagnon et que tout cela était totalement naturel pour lui.

Respect.

Ci-dessous, vous pouvez revivre cette histoire magnifique en vidéo. 

https://youtu.be/kzQoGkCbZDw

Dans les forêts d'Estonie, un soldat a rencontré un magnifique élan qui semblait avoir besoin de son aide. Et le militaire était ravi de lui rendre service.

Un jour, Erich Jyri Prikko, un membre de la force de défense estonienne, s'est aventuré dans les bois pendant des exercices militaires. 

Dans une interview pour The Dodo, Prikko a déclaré que pendant qu'il cherchait des « toilettes alternatives » dans la forêt, il a entendu un bruit qui a attiré son attention. Au début, il pensait que c'était un chat ou même un petit bébé alors il a décidé d’aller voir. Mais avant même d’aller jeter un œil plus loin, un « adorable animal » s’est avancé vers lui. Prikko a été surpris quand il a réalisé qu'il était face à un bébé élan.

Il a dit : Au début, il m'a fait penser à un chien, mais très vite, j'ai réalisé que c'était un petit élan qui essayait de me dire quelque chose. L’élan se méfiait un peu du soldat. Ne voulant pas stresser la créature davantage, Prikko s'est assis calmement sur place et a regardé le bébé élan. Il s’attendait à ce que sa mère vienne bientôt le retrouver ou à ce que le petit élan continue à la chercher, mais il ne s’attendait pas à ce qui s’est passé par la suite.

Aujourd’hui, c'est réconfortant Super boulot monsieur, je suis sûre que vous n'oublierez jamais le petit baiser d’un élan. Les animaux veulent juste être aimés ou être en liberté L’élan s’est avancé vers le soldat. L'animal était incertain et d'une timidité compréhensible, mais quand il s’est rendu compte que Prikko était digne de confiance, il s’est vraiment rapproché de lui.

Ce soldat a vécu une expérience merveilleuse. C'est un honneur d'avoir la confiance d'un animal sauvage. Le bébé élan était seul et probablement affamé. Tout s'est bien passé.

Jolie histoire.

Quand l’élan s’est suffisamment approché de lui, il a commencé à utiliser sa bouche pour fouiller sous l'aisselle de Prikko. Il était évident que l'animal avait faim et qu’il cherchait du lait.

Et même si l’élan n'a pas trouvé ce qu'il cherchait, il était apparemment réconforté par la présence du soldat. Comme il a ressenti le besoin de l'aider davantage, le militaire a appelé les bureaux vétérinaires qui lui ont conseillé de laisser l’élan tout seul, mais de le surveiller de loin pour voir si sa mère allait revenir. Ils ont envoyé un vétérinaire sur les lieux avec du lait juste au cas où la mère ne viendrait pas. Je parie que la maman a été reconnaissante que ce soldat au bon cœur ait gardé son enfant gratuitement !

Prikko était triste de laisser l’élan tout seul, mais il savait que c'était pour son bien. S'il était resté trop près, il aurait pu effrayer la mère de l'animal. Le soldat a gardé une distance de sécurité mais il a quand même gardé un œil sur son nouvel ami. Puis, effectivement, la mère de l’animal est venue et ils ont couru ensemble vers le coucher du soleil.

Toulouse : les pompiers sauvent un chien coincé sous terre pendant 20 heures

La petite Zelda, une Jack Russell Terrier, se promenait avec son maître lorsqu'elle est entrée dans un trou creusé par des rongeurs...

Plus de peur que de mal pour ce Jack Russell. La petite Zelda a été sauvée jeudi 26 juillet au matin par les pompiers de Toulouse, après être resté coincée sous terre pendant une vingtaine d'heures, dans le quartier de Tournefeuille, rapporte La Dépêche.

L'animal s'en sort sans séquelles, de quoi soulager Gilbert et Marie-France, ses propriétaires.

"Je faisais mon footing avec mon chien mercredi vers midi et j'ai décidé de lui enlever sa laisse" raconte Gilbert. "Elle est rentrée dans ce trou, j'ai patienté pendant 4 heures en l'entendant aboyer (...) puis j'ai compris, en début de soirée, qu'elle pleurait et qu'elle était coincée".

Au petit matin, la cellule sauvetage, déblaiement et manœuvres des pompiers de Toulouse est intervenue pour venir au secours de Zelda. Armés de pelles et de pioches, les pompiers ont réussi à la dégager au bout d'une heure et demi d'efforts. Elle était bloquée à un mètre de profondeur, dans une galerie creusée par des rongeurs.

"C'est assez atypique comme intervention mais c'est notre mission aussi de protéger les animaux comme les personnes", a réagi dans La Dépêche le lieutenant Vendelin-Clicques.

Vivant mais blessé, le chiot disparu dans Marly a été retrouvé Kalash, le chiot de 21 mois qui avait disparu le 13 juillet dans Marly, rue Jean-Jaurès, a été retrouvé par son propriétaire grâce à des amis, dans la cour d’une habitation non loin de chez lui.

Vivant mais blessé, l’animal a pu retrouver les bras réconfortants de son propriétaire.

Kalash a été retrouvé vivant ce samedi après-midi.Kalash a été retrouvé vivant ce samedi après-midi.

« Je suis le plus heureux du monde, je pleure toutes les larmes de mon corps depuis que j’ai retrouvé Kalash », confie, très ému, Christopher, le propriétaire du jeune American Staffordshire Terrier qui avait pris la fuite, près de son habitation, rue Jean-Jaurès à Marly, à cause du bruit des feux d’artifice vers 23h45.

L’animal a été retrouvé vivant, ce samedi, vers 18 heures, non loin de là où le jeune homme avait remarqué des traces de sang provenant des pattes de son chien.

Ce sont des amis qui lui ont signalé avoir retrouvé son chien, « au fond de la cour d’une habitation, derrière un grillage ».

Sa compagne et lui ont donc foncé pour le récupérer. Après, semble-t-il, quelques tensions avec les propriétaires du lieu, l’animal a pu se faire câliner par son maître.

« Il était tout faible » « Kalash était faible. On l’a emmené chez le vétérinaire qui nous a dit qu’il avait les coussinets arrachés, des abcès aux pattes, que sa tumeur s’était rouverte et qu’il fallait la cautériser. Mon chien était déshydraté, a perdu des poils et 5kg », explique, très affecté, Christopher.

Son animal est désormais hors de danger. Christopher compte porter plainte contre les propriétaires de la cour dans laquelle il a retrouvé son chien.

Voilà la plainte été déposée j’ai caché l’adresse des gens pour éviter les représailles malgré ce qu’ils ont fait à mon chien ... au passage la phrase qui m’a plus choqué venant de mon vétérinaire. Ton chien il lui restait à peine trois jours...

Un chien meurt d'une erreur courante, le propriétaire met en garde pour aider les autres

L'internet est une ressource étonnante pour rassembler les propriétaires d'animaux de compagnie.

Tu peux partager des histoires drôles et de jolies photos de tes animaux de compagnie, mais surtout, rester informé sur la façon de les garder en bonne santé et heureux.

Les propriétaires de chiens peuvent apprendre de la triste histoire que Christina Young a partagée. Christina était une propriétaire de chien qui aurait fait n'importe quoi pour son animal de compagnie, mais à cause d'une erreur courante et normale, son ami à fourrure est décédé tragiquement.

Elle a partagé son histoire pour prévenir les propriétaires d'animaux de compagnie de ne pas faire la même erreur commune qu'elle. Un jour où Christina était au travail, son chien a réussi à arracher un sac partiellement plein de chips du comptoir de la cuisine.

Il a mangé tous les chips et a mis sa tête dans le sac pour chercher des miettes. Son inspiration et son expiration ont rendu le sac de plus en plus serré au-dessus de sa tête jusqu'à ce que le pauvre chien suffoque. Elle a été choquée que son chien intelligent n'ait pas réussi à enlever le sac avec ses pattes.

Mais après avoir fait des recherches sur inyernet et entendu des histoires similaires de la part d'autres propriétaires d'animaux de compagnie au cœur brisé, elle a réalisé à quel point cette erreur est courante.

Elle affirme que les animaux de compagnie peuvent suffoquer sur les contenants et les sacs pour tout, comme les friandises pour chiens, les céréales, le pain, le pop-corn et les chips.

Christina ajoute que trois à cinq incidents de ce genre sont rapportés chaque semaine, et près de la moitié d'entre eux se produisent lorsque le propriétaire est dans la maison, ignorant que son animal étouffe. Il suffit d'environ trois minutes pour que l'étouffement se produise, de sorte que les propriétaires d'animaux de compagnie n'ont peut-être pas le temps de le remarquer et de sauver leur animal.

Elle a été surprise de constater à quel point cette erreur est courante, car elle n'en avait jamais entendu parler. Christina avertit les autres propriétaires d'animaux de compagnie d'être attentifs à ce qui reste sur leurs comptoirs et leurs tables afin que leurs animaux de compagnie restent en sécurité et évitent cette mort qui aurait pu être empêchée.

As-tu entendu parler d'un chien qui est mort comme ça?

Fais passer le mot au sujet de ce danger caché afin qu'il n'y ait plus de parents d'animaux de compagnie qui ont à subir le chagrin d'avoir perdu leur meilleur ami.

Parmi les loups : l’histoire de l’enfant qui a survécu dans la nature...

«J’ai la sensation d’avoir appris beaucoup des loups et très peu des humains».

C’est la phrase qui définit à la perfection la vie de Marcos Rodriguez Pantoja, l’enfant de Cazorla, qui a vécu pendant la période de l’après-guerre d’Espagne au milieu de la nature, avec pour uniques compagnies les loups. Pendant douze ans de sa vie, Marcos a dû se débrouiller pour survivre et il a réussi : il a appris à chasser sa propre nourriture, à se fabriquer ses vêtements et à vivre en meute.

Son père, qui n’avait pas de moyens pour l’entretenir, a dû le vendre à un pasteur, qui est mort au milieu de la forêt, le laissant complètement seul à 7 ans. Personne n’aurait pu imaginer que 12 ans plus tard, cet enfant ait pu s’en sortir et devenir un homme fort de 19 ans, que l’on a retrouvé.

Aujourd’hui, Marcos sent qu’il n’a pas fini de s’adapter à la société et note que le monde des humains est trop superficiel : «Les gens s’inquiètent des vêtements qu’ils portent, s’ils vont bien ensemble». Il ne comprend pas pourquoi les êtres humains se plaignent autant alors qu’ils ont tout pour aller de l’avant, survivre et être heureux. Comme il le dit si bien, cette étape de sa vie a été l’une des plus heureuses, surtout car il appris à chasser et qu’il n’a jamais manqué de nourriture.

Les loups pour seule famille

Quand Marcos était seul dans la forêt, il n’aurait jamais imaginé qu’une famille l’accueillerait et le choirait. Une meute de loups a en effet décidé de l’adopter. Il commença à leur donner la nourriture qu’il avait chassée et a joué avec leurs petits. Les loups adultes lui ont donc fait confiance et ont commencé à le considérer comme un louveteau de plus.

Contrairement à ce que l’on peut croire, le petit Marcos ne voulait pas revenir dans la société. Enfant, il avait souffert des coups de sa mère et de l’abandon de son père. Il avait souffert dans sa chair de la haine, de la cruauté, de la faim, de la pauvreté. Il rejetait donc tout ce qui avait un lien avec ce monde.

Dans cet autre contexte, il se sentait aimé par les animaux : les renards, les souris et surtout les loups qui prenaient soin de lui comme personne ne l’avait jamais fait. L’anthropologue qui a écrit sa thèse sur ce cas, Gabriel Janer, affirme que Marcos se sentait aimé, choyé et cela a contribué à son bonheur dans la nature.

Quand il pense au jour où la Guardia Civil (police espagnole) l’a contrôlé et où il est revenu dans la société, il ne sait pas vraiment si c’était pour lui faire du bien ou du mal, puisque dès lors, a commencé pour lui la dure vie de l’homme. Selon lui, plus dure que la vie dans la nature.

La vie en société

Revenir à la société signifiait faire des choses que l’on ne veut peut-être pas faire : travailler pour gagner de l’argent avec lequel on peut s’acheter à manger, souffrir de jalousie, de rancœur, des moqueries des humains. Selon Marcos, tout cela n’a pas lieu chez les loups.

Depuis qu’il est revenu dans le monde des humains, ces derniers n’ont eu de cesse de le tromper, de le trahir, de profiter de son ingénuité. «Je ne savais pas ce qu’était l’argent et je m’en fichais. Je ne comprenais pas pourquoi il fallait avoir de l’argent pour prendre une pomme.» La société, telle que nous la connaissons, est caractérisée par l’inculcation chez l’humain d’une série de besoins dont il n’a vraiment pas besoin. Ce sont des besoins faux.

Nous souffrons à cause de ces pseudo-besoins, alors que nous avons déjà tout le nécessaire pour bien vivre. La publicité mensongère que l’on nous bombarde est en grande partie responsable mais nous ne faisons pas grand chose pour contrer les idées que les autres défendent et qui ne répondent qu’à leurs propres intérêts.

Marcos ne comprend pas non plus pourquoi nous vivons dans un monde d’abondance. Certes, il ne faut pas chasser, les vêtements sont déjà fabriqués et prêts à être achetés, nous avons de l’eau potable et il est facile de vivre sous un toit. Et alors ? Nous habitons dans une société qui veut nous contrôler, nous manipuler pour nous faire tomber dans ce qu’elle attend de nous : consommer, nous dire à quelle heure nous devons nous lever, comment nous devons nous habiller ou quel travail exercer.

C’est pour cela que nous souffrons. Cette dénaturalisation de l’être humain le remplit de profonds sentiments d’anxiété. Marcos raconte qu’il ne vivait pas cela, qu’il vivait dans le présent. «Je savais seulement que le soleil se levait et qu’ensuite il se couchait, voilà tout.» Cette manière de vivre au jour le jour le rend libre et donc, heureux. Il est vrai qu’aucun d’entre nous aura la vie de Marcos, mais cela nous ferait beaucoup de bien si nous commencions à nous libérer de besoins absurdes : marcher plus léger-ère et observer l’abondance dont nous sommes entouré-e-s nous donnera des ailes et la lucidité nécessaire pour tordre le cou à tant de souffrance inutile.

Ce mâle cigogne parcourt 14 000 km chaque année pour retrouver sa femelle incapable de voler

 Certaines histoires d’amour entre les animaux pourraient inspirer les humains tant elles nous paraissent belles.

L’histoire de ce couple de cigognes prend son origine quand, en 1993, Malena -la femelle- est récupérée blessée par Stjepan Vokic, près du village de Brodska Varos en Croatie.

Comme ce gardien d’école l’explique à l’AFP : « Si je l’avais laissée blessée à cet étang, les renards l’auraient mangée, alors comme j’ai changé son destin, maintenant je suis responsable de sa vie. »

Car Malena était malheureusement désormais incapable de voler suite à ses blessures. Et cela fait donc 16 ans que Klepetan, le mâle cigogne, revient chaque année en volant depuis l’Afrique du Sud jusqu’à sa chère Malena.

Cette année encore, ils se sont retrouvés depuis la fin mars, ce qui promet de rajouter encore quelques enfants à leur grande famille qui compte déjà 62 rejetons depuis qu’ils se sont rencontrés. Klepetan ayant une bague de suivi, on a pu déterminer qu’il venait d’une zone près de Cape Town en Afrique du Sud, à près de 14 500 km de la petite localité croate.

Ce qui lui demande près d’un mois de vol pour faire le voyage. Les petits de l’année apprennent à voler avec leur père, pour partir en migration avec lui au mois d’août, en direction des régions de l’Afrique australe.

Pendant ce temps, Malena est choyée par Stjepan, qui s’occupe bien du confort de l’animal, il lui a d’ailleurs aménagé un bâtiment de stockage pour passer les hivers au chaud. Ce cycle amoureux entre Klepetan et Malena est plutôt inspirant, vous pouvez en voir plus sur les retrouvailles du couple dans la vidéo ci-dessous. Et pensez à la partager si vous la trouvez aussi touchante que nous.

Le propriétaire laisse son chien dehors dans la neige toute la nuit – la voisine prend les choses en main

C’est à croire que tout le monde n’est pas au courant des lois en vigueur aux Etats-Unis stipulant que les animaux domestiques ne doivent plus rester dehors lorsque la température descend en dessous de zéro la nuit…ou sinon, c’est que ces mêmes personnes sont volontairement malveillantes. Qui peut laisser son chien dehors alors qu’à travers la porte-fenêtre, on le voit grelotter? C’est le constat qu’à fait la voisine des propriétaires du pauvre animal lorsqu’elle a constaté que le chien était assis dans la neige en plein mois de décembre et pétrifié de froid. Il venait de passer une nuit dehors et s’apprêtait à y rester une deuxième nuit d’après Dogsome.

Ne supportant pas cette vue elle a décidé d’intervenir en contactant Theresa Sumpter du Détroit Pit Crew Dog Rescue afin de la mettre au courant de ce qui se passait et de savoir ce qui pouvait être fait. Craignant une confrontation directe avec son voisin, sans doute avait-elle vue juste car la suite de l’histoire va confirmer sa crainte. Intervenant rapidement, le personnel de l’organisation est tout de suite allé frapper à la porte du propriétaire pour lui expliquer que ce qu’il faisait était illégal au vu des conditions climatiques.

Ce dernier n’a évidemment rien voulu entendre et a fermé sa porte au nez des gens. La voisine, se sentant aidée par le personnel du refuge a passé un long moment de l’autre côté de la porte pour expliquer au propriétaire que ce qu’il faisait était mal, et c’est ainsi que l’homme a fini par ouvrir sa porte et a accepté d’abandonner son chien au refuge. Dès qu’ils ont pris le chien avec eux, ils ont remarqué que ses pattes étaient gonflées et gelées par le froid. Ils l’ont donc amené au chaud au refuge où il est resté une nuit entière en observation pour voir si tout allait bien.

A partir de là, il a pu intégrer sa nouvelle famille d’accueil en attendant d’être adopté définitivement par une nouvelle famille qui s’occupera bien de lui et l’aimera. Blizzard passe maintenant ses journées en compagnie de ses nouveaux amis de la famille et il reste bien au chaud lorsque l’hiver pointe le bout de son nez! Souhaitons lui un bel avenir entouré d’amis et d’amour!

Une chatte errante miaule devant la porte d’une clinique

– La raison fait chaud au ♥! ELLE A CHOISI DE MIAULER FORT POUR DEMANDER DE L’AIDE À L’EXTÉRIEUR D’UNE CLINIQUE. ELLE AVAIT DES PROBLÈMES D’ALIMENTATION MAIS AUSSI PARCE QU’UN BEAU MOMENT L’ATTENDAIT.

La raison fait chaud au ♥! (Vidéo)

Dans cette vidéo, nous découvrons une chatte errante, qui miaule devant une clinique en Turquie. La raison est simple, elle cherchait une aide médicale ! La chatte avait des problèmes d’alimentation, et a donc choisi de miauler fort pour demander de l’aide à l’extérieur de la clinique.

Le personnel s’est rapidement demandé d’où ces sons déchirants provenaient, et a fini par ouvrir la porte. Ils ont immédiatement constaté qu’elle était enceinte, et l’on donc conduite à un vétérinaire à proximité de là, afin uqu’il puisse prendre soin d’elle.

Après un examen plus approfondi, le vétérinaire a constaté que la chatte enceinte allait avoir du mal à donner naissance par elle-même et il a ainsi entrepris de réaliser une césarienne. Grâce à l’aide du vétérinaire, le chat a réussi à donner naissance à quatre chatons en bonne santé, et même si elle a subi un acte chirurgical, elle se porte bien et peut prendre soin de ses petits chatons.

Un chat sacrément intelligent!

Le chat avait manifestement senti qu’elle ne pouvait pas donner naissance naturellement, et a donc choisi de chercher de l’aide auprès de cette clinique. Ici on peut parler d’un chat sacrément intelligent! Nous espérons qu’elle et ses bébés seront tous adoptés dès qu’ils sont prêts.

Regardez la vidéo et partagez si vous pensez aussi que les animaux sont incroyables! Lorsqu’on est propriétaire d’une chatte non stérilisée, il y a de fortes chances qu’elle tombe enceinte dès sa maturité sexuelle, qu’on le veuille ou non. Au fur et à mesure que la mise bas approche, la chatte paraît plus agitée ; elle se couche dans son panier et commence à avoir quelques contractions sporadiques préparatoires.

Lorsque les contractions deviennent plus rapprochées, la chatte peut présenter une accélération de sa respiration et une dilatation des pupilles. Dans tous les cas, elle ronronne, surtout si elle se sent encouragée par son maître.

https://youtu.be/ThIDcG6tGgs

L'unique façon de porter "du renard" est celle-ci : VIVANT

Un irlandais sauve trois renards et bouscule les clichés sur ces animaux

Ami des animaux, l’Irlandais Patsy Gibbons a sauvé successivement trois renards d’une mort certaine… et ceux-ci l’ont adopté naturellement, devenant des compagnons de vie. Mais, loin de leur sort heureux et des regards indiscrèts, un grand nombre d’animaux sauvages subissent une souffrance quotidienne dans des élevages destinés à la fabrication de manteaux de fourrure pour les riches. Les renards en sont les premières victimes…

Originaire du comté de Kilkenny dans le sud-est de l’Irlande, Patsy Gibbons est devenu, un peu malgré lui, une sorte de héros international. Vétérinaire et amoureux des animaux (il posséderait quatre chiens et chats et de nombreux canards et poules), il découvre un jour une renarde abandonnée sur un chemin.

Il lui vient en aide, la sauve et garde l’animal auprès de lui et qu’il baptise bientôt Gráinne. Son acte, pourtant simple, fait du bruit dans sa région. Plus tard, des randonneurs, ayant découvert d’autres renardeaux abandonnés et condamnés à mourir, vont les lui remettre.

À nouveau, les animaux décident de rester et l’homme les baptise Minnie et Henry. Voilà M. Gibbons entouré de trois renards qui se laissent rapidement domestiquer par leur bienfaiteur. Lui qui voulait les rendre à la nature et à leur condition sauvage, il doit vite se rendre à l’évidence : ils l’ont adopté et ne veulent pas se détacher de lui, ce qui lui a d’ailleurs valu des critiques, notamment de l’association de réinsertion à la vie sauvage d’Irlande (Wildlife Rehabilitation Ireland).

 La situation alarmante des renards et animaux d’élevage

Ces querelles entre amoureux des animaux sont bien peu de choses si l’on considère le sort heureux des renards sauvés par M. Gibbons. Il y a quelques années, 30 Millions d’Amis attirait l’attention sur la recrudescence du commerce de fourrures d’animaux sauvages dans le monde. Loin de reculer, en dépit des efforts des associations, celle-ci progresse dans l’indifférence d’une part croissante des consommateurs.

Un clip sanguinolent avait pourtant, dans les années 1980, marqué à ce point les esprits qu’il avait entraîné une chute brutale de l’activité de cette industrie (-50% aux États-Unis). Mais les mémoires sont courtes et les murs des industries ne sont pas transparents. D’après 30 Millions d’Amis, le secteur affichait en 2009 et depuis dix ans auparavant une croissance annuelle de plus de 10%. La France à elle seule affichait, selon l’association, un chiffre d’affaires du secteur de la fourrure de 263 million d’Euros en 2006.

L’Hexagone comptait une quarantaine d’élevages et sa production annuelle de peaux de renards et visons se chiffrait à quelque 280 000 produits par an. Des chiffres relativement faibles en comparaison avec ceux de pays tels que le Danemark, la Russie, la Finlande, la Chine ou les États-Unis où c’est par centaines de milliers que sont abattus les visons et renards d’élevage.

Les plus riches sont les plus polluants

Si l’argument de la cruauté à l’endroit d’animaux ravalés au rang de matière brute inanimée (dont une bonne partie est tuée sans que sa fourrure soit mise à profit : sur 180 animaux tués, seuls une quarantaine sont réellement utilisés) laisse beaucoup indifférents, l’argument écologique pèse peut-être davantage. De même que les élevages industriels d’animaux destinés à la consommation alimentaire en font la seconde industrie la plus ravageuse pour l’environnement, de même les élevages destinés à la production de fourrure sont désastreux sur le plan écologique.

Selon des estimations, il faudrait, une vingtaine de renards roux, 30 à 80 visons ou 150 à 240 hermines pour fabriquer un seul manteau ! Avant leur abattage, il faut donc les nourrir abondamment en viande et céréales, de sorte qu’un kilo de fourrure de vison nécessite plus d’une demi-tonne de nourriture. Or, c’est un ensemble de conséquences extrêmement polluantes qui en découlent : l’abondant lisier produit par les animaux, bien sûr, mais aussi la tannerie ou l’incinération des carcasses.

Le bilan est paradoxal, la fabrication d’un manteau de fourrure serait 20 fois plus polluantes que celle d’un manteau synthétique. Et pourtant, l’industrie de la peau garde cette image faussement « naturelle » alors qu’elle est déconnecté des traditions et du vivant.

 Au total, cette industrie cruelle et ses chiffres corroborent ce qui est un fait : pays ou individus, ce sont les plus aisés qui participent le plus à la perpétuation du secteur et apparaissent également les plus indifférents à l’environnement. Les coûts prohibitifs des vêtements de fourrure les réserve en effet à une clientèle qui a les moyens de dépenser plus de 1000€ pour un seul produit, c’est-à-dire une extrême minorité. Cependant, la pratique étant mondialisée, on peut également retrouver ce type de peau en doudoune des vêtements de grands chaines low-cost de l’habillement…