Le soir chante la forêt. Herbe tendre qui nous enchante .Frémissements de l'eau Souffle d'un roseau. A l'infini .terre si belle .Envoie-moi ton rêve. Ta bouche qui me désire. Tes mains sans me faire souffrir. Ardeur bonheur. Jusqu'au bout de la nuit. Au bout de la nuit. A l'infini

Quand on est surmené ,par la vie découragée, on a besoin de marquer Une pause, un arrêt. On regarde en arrière .Tout semble aller de travers .Alors on prend la décision qu’impose cette situation. Laisser place au silence. Alors nos incompréhensions, nos doutes, nos suspicions seront remisées au passé .Nous serons de nouveau prêts à avancer. Alors faire une pause .Pour tous est salutaire .C’est souvent une clause qui permet de se refaire.

C’est avec beaucoup d’interêt que je l’ai observé surpris et intrigué du bonheur, qu’il exhalait... Lui droit comme un I Malgré la rigueur des ans lui disant "Venez ma Mie" de prévenance l’entourant... Elle plus retive, plus mutine ,de quelques mots .Sachant se faire attendre .Mais d’un regard le comprendre... Leurs enfants  sont grands. Et bien loin d’eux. Revenant de temps en temps,retrouver les jours heureux... Pour moi qui les observe, quelle touchante réserve. Ils sont l’image de l’Amour Immortel malgré la fuite des jours... Les années ont passées sur ce vieux foyer n’en haltérant en rien l’harmonie qu’ensemble, ils ont bâtis... Jusque dans l’éternité .Je vous souhaite aujourd’hui De toujours vous aimer

Qui donc pourrait m’indiquer le vrai chemin du bonheur. Il est si souvent caché sous des tonnes de rancœur. On marche droit devant soi ,sans regarder ni de gauche, ni de droite .Alors on s’égare parfois. Mais on retombe toujours sur ses pattes. Quelques détours en plus . Encore un de convaincu que c’est la félicité complète. On enrubanne de promesses et abreuve de serments .C’est le temps de la tendresse .Chacun y est partant. Mais le chemin du bonheur est souvent bordé d’épines .On y distille la douleur Et l’on court à la ruine.

Quand tu croise quelqu'un qui ne sait plus avoir le sourire, Offre lui le tien, Car nul n'a plus besoin d'un sourire ,Que celui qui ne peut en donner

Trop tôt, ou trop tard ? Dans le vertige et le doute, Comme une armée en déroute, J’attends, Qu'une étoile guide ta route, Dans ce vide que je redoute, J’attends, Tout va vite, Paumé dans le noir, Tout va trop vite, c'est le désespoir, Dis-moi juste ; Si c'est trop tôt ou trop tard ; Ne parlons pas de malheur, Cela fait trop mal, On dirait la mémoire de l’oublie, Et mes larmes n'ont pas de prix.

La lune complice de mes pensèes, le soleil amant de mes journèes, le vent qui titille mes cheveux bruns, d'une douceur erotique, d'une chaleur mystique d'un moment mirifique, de ce feu qui brûle en moi, de cette odeur de toi, de la terre sans loi ,des promesses de joie de regards avides, de nos yeux humides, d'une vie si rapide.

Prends moi par la main, rentrons dans cette forêt enchantée, dans le dédale des chemins au pays des elfes et des lutins, allons vers cette rivière, s'allonger sur ce lit de bruyère, doux et chaud a la fois, du bruit de l'eau, des oiseaux sans effroi, de tes lèvres sur les miennes, de tes mains effleurer, caresser, sous le regard anxieux des habitants de cette châtaigneraie, de gens ailés, de notre présence chambouler, de notre union mythique

Sur se chemin tout épineux. L'on ne doit pas désespérer, mais vivre. Apprendre à avoir confiance, mais que faut-il croire, que la vie est ainsi ? Ou que l'on  a choisi ? Quand on voie tous les malheurs, peut-on encore penser au bonheur ? Se dire que la vie est ainsi et reprendre le dessus ? Il y a des gens qui y arrivent, mais moi j'ai un ♥ trop fragile, La mémoire trop chargé, et je ne voudrais avancer.

S.O.S Comme un fou va jeter à la mer, des bouteilles vides et puis espère, que l'on pourra lire à travers ; S.O.S. écrit dans l’air, pour te dire que je me sens seule, je dessine à l'encre vide un désert, et je cours, essayant de me raccrocher à la vie, je me soule avec le bruit, des corps qui m’entourent, comme des lianes nouées de tresses, sans comprendre la détresse, des mots que j'écris, difficile d'appeler au secours, quand tant de drames nous oppressent, et les larmes nouées de stress, de ceux qui sont dans la faiblesse, et dans un dernier espoir: Disparaissent :