Avez-vous jamais senti comme la danse... de laisser votre esprit s'envoler dans la forêt par une belle matinée? C'est comme si vous êtes atteint d'une connexion que vous avez toujours eu, mais a tendance à s'estomper par le train-train quotidien.

La vie parfois nous donnes un lourd fardeau à porter .A chacun le sien, que ce sois maladif ou sentimental. Ont à tous quelques chose qui nous pèses au fond de nous. C'est comme ca la vie ,elle est faite ainsi ,tu as ta croix et il faut l'assumer. Une fois que tu à cibler ce qui ne vas pas, tu doit agir. Essayer du moins, se battre contre les démons .C'est parfois un combat lourd et intense. Mais faut se battre encore et encore. Au bout du tunnel il y à une petite lumière. Cible là et vas droit au but. Pose toi les bonnes questions et avance. Un jour la corde lâchera et ton poids restera sur place. Pendant ce temps, toi tu reprendras goût à la vie

La vie, c’est un éternel recommencement… seconde après seconde, le temps refait le tour du cadran. Nos jours sont rythmés par ces heures immuables qui reviennent toujours dans le même ordre.

Ainsi s’installe la routine qui nous fait répéter les mêmes gestes, plus ou moins aux mêmes moments de notre journée. Nous voudrions sortir de ce carcan, mais la nature aussi nous emprisonne, elle qui a piégé nos corps avec sa maudite horloge biologique.

L’usure est le seul changement que nous percevons clairement alors que nos humaines conditions nous ont pourtant donné d’autres armes : nous avons le pouvoir de penser et d’imaginer.

Nous pouvons bouleverser notre manière d’envisager le monde et ces autres qui nous entourent.

En somme, même si la vie est un éternel recommencement, il suffirait que nous sachions regarder les choses différemment pour la parer de nouvelles couleurs et la trouver plus belle et plus intéressante.

“ Le verbe “aimer” pèse des tonnes. Des tonnes de chagrins, de joies, d’inquiétudes, de chair, de sang, de doutes, d’extases et de cris. Ne le fuis pas. Le verbe “ne pas aimer” pèse encore plus lourd.”

Souvent passe un regard, un regard soutenu. Tes yeux sur les yeux de l'autre. Deviner la signification de leur éclat. Lire le futur immédiat plus loin que la pupille. Vouloir dire beaucoup de choses, mais retenir son envie. Serrer les lèvres. Permettre que circulent les idées sans qu'elles sortent à l'extérieur. Augmenter l'espace entre les questions et les réponses. Laisser les muscles se dessiner sur le visage. Attendre un signe. Maintenir la respiration. Penser que l'autre aussi pense. Analyser, espérer

Sauve moi.... Garde moi de l'ennui, de la vie qui s'enfuit, laisse moi me blottir dans tes bras et dormir oublier la folie de ce monde où la nuit n'en peut plus de nourrir trop de haines

Faire le don de son amitié... c'est prêter son cœur sans chercher à en tirer profit...

La sensibilité n’est pas fragilité... C’est l’incapacité de rester superficielle... C’ est aller toujours au fond dans les choses... Dans les personnes... dans les émotions.

Nos peurs sont les blessures que notre âme n'a pas encore guéri.

Un chien se fiche éperdument des grosses voitures des belles maisons ou des vêtements de marque. Un morceau de bois mordillé ça lui va très bien.

Les chiens se moquent que vous soyez riches ou pauvres, beaux ou laids, intelligents ou bêtes, donnez lui de l’amour et il vous en donnera.

Combien d’humains sont capables de ça ?

Combien de gens sont capables de vous donner le sentiments que vous comptez vraiment pour eux ?

Combien de gens arrivent à vous donner l’impression que vous êtes unique au monde ?