La souffrance d’autrui, même lorsqu’on connaît la cause est une porte verrouillée de l’intérieur contre laquelle on ne peut que frapper discrètement pour que l’autre sache qu’il n’est pas seul

Des blessures qui nous empêchent d’etre nous-mêmes.
Saviez-vous que nous souffrons tous d’au moins quatre des cinq blessures de l’âme qui sont :

le REJET, l’ABANDON, l’HUMILIATION, la TRAHISON, l’INJUSTICE ?
Et tout d’abord qu’est-ce qu’une blessure ?

C’est une douleur émotionnelle vive, ressentie au cours d’une relation où nous nous sentons dans la frustration. En réaction à cette douleur nous sommes portés à réagir en accusant l’autre ou soi-même. Nous pouvons imager ce phénomène comme un chaos émotionnel vécu dans l’isolement où s’enracine un sentiment de REJET , d’ABANDON , d’HUMILIATION ,de TRAHISON , d’INJUSTICE.
Chacun d’entre nous naît avec ces blessures puisque leur guérison fait partie de notre plan de vie. Toutes nos blessures sont activées, éveillées en nous avant l’âge de 7 ans, en réaction à une situation que nous vivons.
Toutes les situations que nous allons vivre de 7 ans à la fin de notre vie sont une répétition des situations survenues dans notre petite enfance.
Ainsi, chaque problème que nous vivons, dans quelque domaine que ce soit, est toujours lié à une blessure qui nous fait souffrir. Le degré de notre souffrance physique et psychologique est une indication de l’ampleur de notre blessure.
Nous ressentons davantage nos blessures lorsque d’autres personnes les activent. Tout comme une plaie que nous aurions sur notre main est plus douloureuse quand une autre personne la touche en nous serrant la main pour nous dire bonjour. La personne voulait-elle nous faire mal ? Non ! Elle a juste touché une partie de nous qui n’est pas guérie et qui a réveillé la douleur.
Ce n’est jamais une autre personne qui nous blesse, mais plutôt notre propre perception de l’incident en question, car nous percevons les événements à travers nos filtres – nos blessures – quand nous souffrons. Lorsque nous laissons nos croyances nous envahir et nous convaincre, nous nous faisons mal à nous-mêmes puisque chacune de nos croyances est liée à une des cinq blessures.
Parfois, certaines situations sont plus douloureuses que d’autres, ce qui peut faire en sorte qu’une blessure est plus active qu’une autre à un moment précis de notre vie ou même que deux blessures soient activées en même temps.
Voici quelques exemples : une femme qui vient d’être licenciée vivra probablement du rejet et de l’injustice face à cette situation - un homme qui renverse sa tasse de café sur sa chemise blanche durant une réunion d’affaires importante, peut se sentir humilié, mais il est possible que cette situation ravive plutôt sa blessure d’injustice s’il a peur du jugement des autres sur son apparence – une femme qui découvre que son mari lui est infidèle peut souffrir de trahison et peut se sentir abandonnée – je fais une nouvelle recette, si je n’ai pas le résultat voulu, je peux me rejeter et m’abaisser devant mes invités en m’humiliant…..
Chaque blessure fait vivre des émotions et des réactions différentes.
Ainsi blessés, nous sommes portés à adopter des comportements réactionnels qui vont à l’encontre de ce que nous voulons. Ces comportements, aussi appelés « masques », nous éloignent de notre vraie nature et nous empêchent d’être nous-mêmes. Nous créons des masques en pensant qu’ils nous protégeront. Mais, c’est une illusion de notre mental qui est contraire à nos besoins véritables. Tant et aussi longtemps que nos blessures ne sont pas acceptées, et que nous mettons de l’énergie à les ignorer ou les repousser, elles seront des obstacles à notre évolution...Mais pourquoi nos blessures font-elles si mal ?
C’est parce que nous ne savions pas, jusqu’à maintenant, comment les guérir, et ainsi nous avons répété les mêmes situations en étant persuadés que nous avions raison d’agir comme nous le faisions.
Seule la compréhension de nos fonctionnements et l’amour véritable nous apporte la guérison. Et comme l’amour est synonyme d’acceptation, plus nous développons l’amour de soi, plus nous installons au plus profond de nous la sérénité.
Par la voie du cœur, notre âme se libère de ses souffrances et nous nous dirigeons vers la paix intérieure..

Je garde en mémoire ces instants qui ont marqué ma vie.. Et me la font apprécier doublement depuis.

La sagesse, c’est de comprendre que tout ce que tu vois, tout ce que tu ressens, est aussi éphémère qu’un rêve, une illusion, une goutte de rosée, un éclair dans la nuit, une bulle à la surface du torrent. La méthode c’est d’être empli de compassion pour tous les êtres ; en gros, c’est d’avoir bon Cœur. Sans sagesse, tu perçois tout de travers, et sans compassion, ta sagesse ne vaut pas grand-chose

Regardez autour de vous. Vous voyez toutes ces personnes filant dans la rue, sans s’arrêter ? Le regard bas, presque agressif. A présent on ose à peine saluer les gens que l’on connaît. On marche tout droit, sans...ralentir, certains allant parfois jusqu’à bousculer les autres. Croyez-vous qu’ils s’arrêteraient pour s’excuser ? Non, juste un rapide « désolé » sans se retourner, et encore. Saluez quelqu’un dans la rue que vous ne connaissez pas, il vous regardera surpris, ou bien s’écartera en faisant semblant de ne pas vous avoir entendu.
Quand on sait que dans certaines villes ont peu être violemment tué pour un simple regard… Ca fait peur… Oui, tout le monde le dit. On parle d’insécurité. Mais cette insécurité, par qui est-elle amenée ? Ne répondez pas, je connais vos réponses. Elles cibleront toutes une catégorie de personnes.
Que diriez-vous si je répondais simplement : « par nous tous » ? Forcément, ça ne fera pas des heureux : « comment pourrions-nous apporter l’insécurité ? J’ai toujours respecté les règles, enfin presque ». Mais si, l’insécurité vient de nous. Parce qu’on ne sait plus dire un simple « bonjour » aux autres, parce qu’on ne sait plus donner quelques sourires aux passants, ni même remercier ceux qui font preuve de gentillesse. On jette des regards suspicieux, et le monde entier devient alors comme cela. Des hommes seuls, se déshumanisant, ne parlant plus ou peu. Comme chacun fais cela, personne ne peut avoir confiance. Et la peur nous noue le ventre.
Imaginez. Une société où chaque individu, sans pour autant s’aimer, saluerai l’autre. Ils se décrocheraient des sourires sincères, un petit hochement de tête même. Un simple remerciement par politesse lorsque la courtoisie intervient. Et lorsqu’il bousculerait quelqu’un par inadvertance il s’arrêterait et demanderait si tout va bien, et ne repartirai que lorsqu’il serait sûr que tout est bon. On se sentirait tout de suite mieux non ? L’insécurité n’existerait pas si tous se sentent à l’aise dans la rue.
Vous devez vous dire que je suis fou, ou que je vis dans un monde de rêves. Ce n’est pas totalement faux, je vis de mes rêves, je ne suis pas Rêveur pour rien. Un monde comme celui-ci pourrait exister, si l’homme décidait de penser avec son cœur et non avec sa tête. J’ai donc bien peu d’espoir qu’il se crée un jour, alors je l’invente dans mes écrits.
 

Entre les croquis et la toile, la couleur fait foi de tout, la couleur crée l'émotion et laisse jaillir l'étincelle de la création!!

D’avoir quelqu’un dans la vie qu’on aime est un souhait, qu’il soit une personne charmante et adorable est un espoir, que cette personne nous aime autant qu’on l’aime est un rêve et de réaliser à la fois les souhaits, les espoirs et les rêves ça est un miracle.

Faites un vœu et placez-le dans votre cœur. Tout ce dont vous avez envie, tout ce que vous voulez. C'est bon ? Bien. Maintenant croyez que ça peut se réaliser. On ne sait jamais quand un miracle peut arriver, un sourire ou un souhait se réaliser. Mais si vous croyez que ça peut arriver au détour d'une rue et que vous ouvrez votre cœur et votre esprit à cette possibilité, à cette certitude, il se pourrait que vos souhaits se réalisent. Le monde est plein de magie. Il suffit d'y croire. Alors faites un vœu. C'est bon ? Bien. Maintenant croyez-y de tout votre cœu

j'ai trouvé une lampe il y avait un génie :)) que lui demanderiez vous ??