Tu peux répandre tes larmes parce qu'il est parti Ou sourire parce qu'il a vécu. Tu peux fermer tes yeux et prier pour qu'il revienne Ou les ouvrir et voir tout ce qu'il a laissé. Ton cœur peut être vide parce que tu ne peux pas le voir Ou être plein de l'amour que vous avez partagé. Tu peux tourner le dos au futur et vivre dans le passé Ou te ravir du futur, car il y a eu le passé. Tu peux te souvenir de lui en te disant seulement qu'il est parti Ou chérir sa mémoire et le laisser subsister au travers de cette mémoire. Tu peux pleurer, fermer tes yeux, te sentir vide et tourner le dos au reste Ou tu peux faire ce qu'il aurait voulu que tu fasses : Sourire, ouvrir tes yeux, aimer

Nous avons chacun des rôles différents, des aptitudes et compétences différentes, nous avons tous un potentiel différent. L’important, ce n’est point de faire comme son voisin ou de vouloir lui ressembler, l’important c’est d’aller chercher votre propre rôle unique qui vous appartient. Nous avons tous des missions différentes, l’important c’est de comprendre quelle est la vôtre et de vous réaliser sur votre propre chemin. Ce qui est bon et juste pour vous, ne le sera certainement pas pour votre voisin. Là où se trouve votre potentiel et force intérieure, ne sera certainement pas semblable à celle de votre voisin. Nous avons tous notre propre rôle à jouer et notre propre mission à accomplir. Personne n’est exclu et il y a de la place pour tout le monde. C’est sur cette voie là que nous devons nous réaliser. Tous ensemble car ensemble en y mettant chacun notre propre couleur et vibration, nous pourrons construire et réaliser notre propre édifice intérieur. Une maison a besoin de différents corps de métier pour prendre forme et se construire, chaque corps de métier apportant sa différence et sa connaissance. Nous sommes les bâtisseurs de ce monde, Tous ensemble dans le respect et le partage de nos différences.

Les mains sont caresses du ♥, Chemin aveugle vers ces terres de bonheur, La se love silencieusement et en douceur ,la tendresse paisible de deux âmes soeurs.

Quand démons et anges se confondent et se mélangent dans ton tableau étrange

Rien n’est plus contagieux que l’enthousiasme

Tu es mon oxygène, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaînes, L'indispensable qui coule dans mes veines. Tu es l'objet de mon existence

Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie

Il y a autant de façons d'aimer que de manières de penser. Certains n'aimeront qu'un jour, en seront marqué pour toujours. J'ai aimé ne serait-ce qu'un instant, ma souffrance a grandit avec le temps. Prends la vie comme elle vient, tu ne sais pas de quoi est fait demain

Parti trop tôt . . . parti trop jeune . . . parti avant son heure . . . ou . . parti tout simplement . . . mais pourquoi eux ??? trop de questions . . En regardant le ciel, on se dit qu'ils veillent sur nous. On pense souvent à eux . . . Le matin . . . Le midi . . . Le soir en regardant les étoiles . . . la lune . . . Une date . . . Une chanson . . Un endroit . . . Une odeur . . . Une photo . . . et une larme qui s'échappe . ... En mémoire de ceux qui nous ont quittés partagez ce texte sur votre page si vous aussi quelqu'un vous manque

Ailleurs, une autre vision, un autre horizon, une autre raison de vivre, sous un autre ciel, un plus beau soleil où rien n’est vraiment pareil. Trouver sur la terre l’endroit où espèrent les fous, les solitaires, vers d’autres habitudes, quelque part au Sud où la mer nous enivre. Infiniment loin, peut-être tout près, peut-être en dedans, tu trouveras l’envie. Ici ou ailleurs, d’où viennent les saisons gorgés d’émotion, une autre façon de vivre, dans un paysage où tourner la page, trouver la route à suivre. Se donner la chance que tout recommence, l’illusion d’être libre. S’envoyer au large, ouvert au messageque le vent nous délivre. Infiniment loin, peut-être tout près, peut-être en dedans, tu te donnes à la vie. Larguer les amarres, violer les frontières, un nouveau départ, voguer la galère, braver l’océan, sortir du désert, quitter le néant, changer de repère. Ici ou ailleurs. De quel pays perdu, rêves-tu en secret, ce décor idéal, là où l’on t’attendrait. Rencontrer le bonheur et puis l’apprivoiser, aucune ombre n’oserait t’empêcher de briller. Ce merveilleux voyage repoussé à demain ressemble à ce passage à coté de ta main. Embrasser la chance que tout recommence. L’illusion d’être libre.