La beauté, c'est la façon d'être et de s'aimer, d'aimer, de donner et de pardonner, de partager sa bonne humeur avec les autres et surtout, d'écouter et de comprendre. C'est être capable de se mettre à la place de l'autre, sans jugement ni critique

Aimer est un soleil qui illumine notre vie. Une étoile qui nous guide la nuit qui nous joues une douce mélodie sans bruit.

Comme des parois d’une pyramide cristalline je tremble, je vibre de bonheur, d’émoi. Je vois l’univers émerveillé devant l’éternité fécondée par l’instant.

A chaque fois que l'on passe d' un âge à l'autre (de l'enfance à l'ado et de l'ado à l'adulte et de l'adulte à la vieillesse)

Ce puzzle se construit et on ne l'achève qu'à notre mort.Nous avons tant de choses a découvrir qu'il serait temps que tu construise ta vie, la tienne ou que tu la reconstruise pour savoir ou tu en est, si tu es sur le bon chemin ... Si quelqu'un te tend la main pour t'aider Aate relever... Donc ce puzzle ne l'arrete pas en plein milieu!

J'ai besoin d'écrire. Écrire les couleurs, les sons et les odeurs. Écrire le ciel, la mer et les ruelles. Écrire la terre, ses ombres et la lumière. D'écrire mes pas, les embûches et les chances. Mes peines, mes joies et mes souffrances. D’écrire les rêves, les coups de foudre et les amours sans trêves. Écrire l’histoire, la mienne, la notre, la leur. Celle de ces inconnus qui passent et s’échappent de nos mémoires. Écrire à l’encre indélébile sur tous les bouts de papier, sur les murs des maisons, les arbres et les nuages en cotons. J'ai besoin d'écrire la vie, d'écrire ma vie. Que quelque chose se grave, s'imprime et s'exprime. J'ai besoin d'écrire le monde, pour moins m'y perdre.

Les cicatrices sont comme les tatouages, ou certains bodypaints , mais avec une plus longue histoire...

Ode à la vie .Ode à une femme. Parce qu'elle porte le monde.

Le Chemin de la sérénité est clairement le plus éprouvant. Il ne s'ouvre qu'après avoir beaucoup souffert, il ne s'emprunte qu'une fois allégé des souffrances du passé et il n'est possible d'y avancer que libéré de tout ressentiment

Il y a ceux qui ressentent la lumière que tu reflètes devant toi... Ce que tu donnes, ne se voit pas, c'est une chute libre dans le vide en toi... L'image inchangée du reflet de ce que tu es, de tes aspirations, ta respirations... Il y a ceux qui ressentent la lumière que tu reflètes devant toi... Ce que tu donnes, ne le regarde pas. Un jour, tu feras face à l'ombre que tu vois... L'image inchangée du reflet de ce que tu es, Tu ressentiras la lumière que j'ai reflété pour toi.

J'appréhende les départs, comme des mauvaises notes, qu'on ne fait que répéter, afin de mieux les jouer... J'appréhende les départs, comme si c'était une fin d'histoire, qu'on a mille fois écrite dans son livre, afin de mieux pouvoir fermer les yeux, une fois la nuit tombée... J'appréhende son départ, comme si ce qui m'a nourri pouvait creuser des vides... comme s'il allait partir avec ce que j'ai vu, ressenti et reçu de lui...