La violence est souvent plus rapide que l'espoir ... mais elle va moins loin. La violence est celle qui se cache, se tapit ... mais elle est faiblesse. Ferme la porte à la bassesse et quand la bêtise se met à penser, apprends à ne plus penser du tout

N’ayez jamais honte de vos cicatrices ou de vos blessures… Cela signifie juste que vous avez été plus forte que « ce » ou « ceux » qui ont voulu vous faire du mal

Je ne suis rien , je le sais, mais je compose mon rien avec un petit morceau de tout!

Ce qui est fait est fait, Ce qui est arrivé est arrivé, On ne peut changer le passé On ne peut que l’accepter, Aussi douloureux soit-il . Mais on peut construire son avenir, En regardant devant soi, avec comme bagage et expérience, les leçons apprises du passé !

Il est difficile d’expliquer aux gens ce qu’est un combat quotidien contre la douleur et la maladie.. La douleur et la maladie, n’est pas toujours apparente, mais elle est bien réelle pour ceux qui en souffrent !

N’espère rien des personnes… profite de chaque moments de ta vie.. Ne donne pas ton amour, ton temps à n’importe qui…éloigne toi de ceux qui te bloque, qui sont jaloux de toi… passe à des choses plus importantes dans ta vie, Ne regrette jamais les erreurs, les rencontres que t’as fais considère que c’était juste des expériences pour être prêt a affronter les mistères de cette vie.

Dans toutes les langues du monde existe le même dicton : ce que les yeux ne voient pas, le cœur ne le sent pas. Eh bien, j’affirme qu’il n’est rien de plus faux ; plus on est loin, plus ils sont près du cœur, les sentiments que nous essayons d’étouffer et d’oublier. Si nous sommes en exil, nous voulons garder le moindre souvenir de nos racines, si nous sommes loin de l’être aimé, chaque personne qui passe dans la rue nous le rappelle

Elle se sent aspirée par le vide et vacille comme une flamme. Alors, elle lutte. Il ne faut pas qu'elle s'éteigne. Il ne faut pas qu'elle chute. Parce que si elle tombe, personne ne la rattrapera avant qu'elle ne s'écrase

Pour tous ces corps humiliés, triturés, malaxés, labourés, pour toutes ces filles violées, exploitées, marchandées, sacrifiées, pour tous ces garçons vendus, meurtris, salis, brimés, je vous crache ma haine et mon venin, l'âme rebelle et révoltée ! Pour tous ces enfants marchandés, tabassés, abandonnés, pour tous ces ados désorientés, déboussolés, écoeurés, pour tous ces adultes impuissants, aigris et résignés, je vous flingue plutôt deux fois qu'une, mafia de financiers ! Pour tous ces paysages laminés, détruits, pollués, pour toutes ces beautés naturelles perverties, souillées, pour tout ce temps perdu à protéger quelques privilégiés, je vous adresse mon plus profond mépris, élite de banquiers ! pour toute cette souffrance écrasante, sordide, calculée, pour toute cette misère infantile choquante, calfeutrée, pour la Nature que vos taux d'intérêt oublient de respecter, je vous condamne à l'errance insatisfaite à perpétuité

Elle aurait voulu suspendre le temps, s'emparer de ce moment de bonheur et le mettre en bouteille. Le bonheur songea-t-elle, est fait de petites choses. On l'attend toujours avec une majuscule, mais il vient à nous sur ses jambes frêles et peut nous passer sous le nez sans qu'on le remarque