Qu’ils soient revolver ou couleur menthe à l’eau, les yeux des hommes comme ceux des femmes trahissent souvent leurs pensées. Que serions-nous sans cette lumière d’amour projetée sur nous, le regard d’une mère, de l’être aimé ou de ses pairs et de ses maîtres

J'ai besoin de rêver et de prendre ma plume.. J'ai besoin de danser sous un clair de lune.. J'ai besoin de vivre un amour éternel.. J'ai besoin de sourire aux couleurs du ciel.. J'ai besoin d'une douce mélodie.. De notes de musique me disant belle est la vie.. J'ai besoin de te dire je t'aime  a la tristesse de mon ♥.. De le sentir vibrer dans la quête du bonheur et de pouvoir enfin aimer

Les animaux sont des amis si agréable ; ils ne posent aucune question et ne font aucune critique

S'éloigner, prendre de la distance, rester seul, se parler à soi-même, se comprendre , méditer, comprendre la nature, les gens, la vie, reconstruire ses idées, ses visions et puis s'approcher pour mieux comprendre sa vie

Le bonheur est souvent la seule chose qu'on puisse donner sans l'avoir et c'est en le donnant qu'on l'acquiert....Le bonheur supprime la vieillesse

Ceux qui n'ont jamais souffert ne savent rien ; ils ne connaissent ni les biens ni les maux

beaucoup de personnes veulent prouver qu'ils sont forts avec tout ce qu'on leurs dit , mais a force la caparace se casse , et les choses blessante atteignent le coeur

Deux mots entre parenthèse remplis de tristesse, Je suis la plume qui recouvre son infini, image souriante cachant ma mélancolie ! Larmes d'amour qui n'auront pas de destin à sa vie. J'ai brisé le miroir qui me laisse découvrir les faits, ouvrant mes yeux sur les mirages sans lendemain, trompé! Larmes de tristesse qui n'auront pas de doux matins. Deux mots entre parenthèse remplis de passion, Je suis l'encre qui coule doucement sur la page, parfum du souvenir gardé dans ma mémoire ! Larmes d'émois qui n'ont pas eu ses émotions. Larmes débordantes, déçues, pas d'éternellement. Deux mots entre parenthèse remplis de morosité, Je suis le buvard qui absorbe ce moment de notre histoire, Le plaisir de son corps était sa première attente ! Larmes de femme qui n'aura pas le bonheur

Une fois de plus, Je n'ai pas su éviter les impasses, Alors comment pourrais-je me regarder en face ? Je ne vise plus mes rêves depuis ce jour, Où tout à basculer à l'encontre du " pour ". Les ratures de ma vie se retrouve sur papier. Je m'envole loin d'ici juste avec un bic et un cahier. Je ne demande pas l'or du monde où la vie éternel, Juste la liberté d'écrire pour déployer mes ailes.

Par crainte de la douleur, nous essayons presque tous, à des niveaux différents, d'éviter les problèmes. Nous temporisons en espérant qu'ils disparaîtront. Nous refusons de les voir, prétendons qu'ils n'existent pas, ou nous les oublions. Nous avons tendance à les contourner plutôt qu'à leur faire face, essayons d'y échapper plutôt que d'affronter la souffrance qu'ils nous imposent.